C'est incroyable... Je ne vois vraiment pas l'intérêt de poster un tel commentaire. En tout cas, je vois parfois passer certaines de tes publications sur Facebook et je n'ai jamais trouvé rien à y redire Je comprends que ce genre de remarques soient extrêmement décourageantes, surtout lorsqu'elles deviennent récurrentes. C'est d'autant plus frustrant que ces personnes parlent à mots voilés et nuisent sans émettre une critique qui pourrait paraître productive. Je sais que je n'y arriverais pas à ta place, mais c'est vraiment important de ne pas se laisser atteindre.

Restes-en à la critique positive!

je ne comprends pas non plus. C'est surtout le verbe "entendre" qui me fait tiquer ("surtout entendre"...). De temps en temps, des rumeurs sont évoquées, j'apprends que des gens inconnus parlent de moi dans l'ombre.
Mon roman évoque justement l'omerta.
Etant très émotive, ça m'affecte et j'ai du mal à ne pas être atteinte. Puis, je me pose des questions : ma personnalité suscite le rejet. Ça n'a pas empêché Rousseau d'écrire, mais il a fini par écrire Rousseau juge de Jean-Jacques.

Le terme "intrusive" m'étonne (ou intrigue)
Pour écrire ça, il faut que la personne te connaisse un peu, et si c'était le cas, tu serais sûrement encore plus choquée de le voir écrit dans un commentaire sur le Net.. du coup... pige pas

Pour mon prochain roman, il n'y aura aucun service presse.
Je trouve le constat délirant. J'ai aimé la plupart des chroniques parues, elles sont souvent très argumentées, bien écrites. J'ai eu l'impression de dialoguer avec la plupart des chroniqueurs, et sur Simplement Pro, mon roman a souvent été chroniqué sans que je pourrisse qui que ce soit (pour autant que j'ai pourri quelqu'un, mais c'est apparemment ce qui se dit... je pense que c'est encore à cause du motif de la rupture de mon contrat d'édition, je n'ai pas été assez punie comme ça).
Or le nombre de chroniques n'a eu aucun impact significatif sur les ventes.
Les gens se lassent à force de voir mon roman sur les réseaux sociaux, puisqu'il y a parfois jusqu'à une chronique par jour, et que ce qui est retenu, ce n'est pas "Oh tiens ! Encore une chronique positive ! Il faut que je le lise !", non... ce qui est retenu, c'est "Punaise ! Encore lui !" Que même les chroniqueurs pensent ça est un comble, mais je l'ai lu : "Je ne veux pas de ce livre parce qu'à force de lire qu'il est bien, j'ai peur de le lire et de le trouver mauvais."
On ne peut pas donner son avis sur les chroniques. C'est une règle absolue. Mais d'un autre côté, le chroniqueur lit le livre gratuitement en échange d'un service.
J'ai la réputation de pourrir les jeunes chroniqueurs. Quand je me balade sur Simplement Pro, je vois comment les auteurs notes les chroniqueurs, et j'ai l'impression d'être sympa en comparaison. Je me remets en cause, je dialogue, je ne suis pas toujours d'accord sur tel ou tel point, mais je n'ai jamais flingué ou pourri le moindre chroniqueur dans mes évaluations, une fois la chronique parue.   Je reste de toute façon ouverte au dialogue.
Au bout d'un moment, vraiment, je suis lasse. Je vais finir par être vue comme leur bête noire sans comprendre pourquoi. On dirait qu'ils sont quelques-uns à m'avoir mis un panneau "Attention, auteur méchant !" Et sincèrement, ça me chagrine d'autant plus que depuis le temps que je partage les chroniques, like les pages, mets en valeur telle ou telle chronique que je trouve très bien écrite, qu'elle soit bonne ou mitigée, je ne comprends pas. Je ne pense pas que ça vienne de tous les chroniqueurs de mon livre, mais comment savoir desquels ça vient ?

Au contraire, je t'ai toujours trouvée très sympathique dans nos échanges, continue comme ça.
Si le problème vient de la surexposition des chroniques, peut-être faudrait-il varier un peu plus le contenu dans les réseaux sociaux, et parler des autres romans que tu écris/a publié?

La personne qui a écrit ce commentaire n'a jamais lu mon roman, ne me connaît pas, on ne s'est jamais vu IRL et on n'a jamais pris le temps de discuter. Elle avait mis mon roman dans sa wishlist, je le lui avais proposé en SP si elle le souhaitait, elle n'avait pas le temps et c'est bien la seule fois où on a échangé deux messages. Elle s'est construit une image de moi uniquement parce qu'elle me croise sur les réseaux sociaux, d'après ce que j'écris, ce qu'elle lit, les avis sur mon livre.

Merci Montecristo. Je suis en train d'écrire mon second roman et vais m'y remettre.

Coucou,

il y a trois jours, une chroniqueuse a fait le récapitulatif de ses dix meilleures lectures de l'année 2018, sans ordre, et mon roman y était.
Hier, je l'ai vu sur FB mis en valeur par un auteur qui l'a aimé et l'a lu il y a deux ou trois mois mais en avait jusqu'alors peu parlé.
J'ai donc lancé une promo à 1,99 euro pour le weekend et eu la surprise de voir une 3e chroniqueuse le mettre en avant parce qu'elle l'a adoré aussi quand elle l'a lu il y a plusieurs semaines.

Il y a parfois des occasions à saisir.
D'ailleurs, il a fait un bond dans le classement Kobo, de la 4000e place à la 82e.

Bravo! Ton roman est intuable.

Il semblerait. Je pense toujours que c'est fini et puis... je le revois.

Il y a 18 h :

Citation :

Bonsoir à tous,

Ce week-end, Chicago Requiem de Carine Foulon est en promo à 1.99 euros, sur le site Kobo.

Je vous remets ma chronique concernant cet énorme coup de cœur que j’ai eu.❤️

Bonne nuit,😘.

Et quelques heures plus tôt :

Citation :

En résumé, c'est un très grand roman qui fait partie des « standards » de ma bibliothèque. Cet ouvrage est auto édité, à priori par choix de l'auteure, mais on le regretterait presque tant il semblerait plat et banal de dire qu'on a vu moins bien dans le catalogue de grandes et prestigieuses maisons d'édition.
Un livre à découvrir absolument !

C'est génial !

J'ai dû dépasser les 500 lecteurs, sans doute plus. Je n'ai pas les chiffres exacts mais si j'additionne, j'en suis à peu près là.

Bravo, Maddy et coucou au passage !

Merci Monilet et coucou !

Pour moi, ça se confirmera ou pas au second tome.

Hier, je discutais avec le personnel de la crèche de ma fille et ils veulent acheter mon album jeunesse quand je le dédicacerai dans une des librairies du coin. Ils m'ont demandé de leur donner la ou les date(s). Mais au final, beaucoup de gens n'achètent pas un livre hors du circuit traditionnel. Ça dépend des personnes.
Du coup, rendre Chicago Requiem disponible en librairie sur commande me dirait bien, mais je pense le faire avec un autre roman, le 2d ou le 3e, pour tester, et voir ensuite pour Chicago Requiem. Je ne veux pas dépenser pour rien.
Mais sur Babelio, j'ai même eu des avis de lecteurs anonymes, que je ne connais pas, dernièrement. C'est à chaque fois une surprise (ça ne me renvoie à aucun blog) :

Citation :

Biboo54 19 août 2018

C'est un premier roman.
C'est une ambiance des années 20 décrite ici dans laquelle je n'ai pas retrouvé la noirceur et la folie de l'époque.
La couverture ne m'a pas engagé lorsque j'ai eu entre les mains le roman. Ma compagne a adoré, moi, je suis resté insensible à la galerie de personnages et à l'intrigue. Peut-être que la mise en place est trop complexe et que tous les efforts consentis à la lecture des premiers chapitres m'ont amené vers la lassitude.

Citation :

Camironet 06 octobre 2018


Je ne lis pratiquement pas de livres auto-édités. J'ai fait une exception pour Chicago Requiem, attirée par la couverture et le résumé qui me promettaient une ambiance que j'apprécie.

Les personnages sont bien campés. On s'y perd un peu au début (j'ai lu le livre sur liseuse, se référer à l'arbre généalogique du début est moins évident dans ces conditions), mais on les identifie rapidement. J'ai trouvé particulièrement intéressant d'avoir des points de vue croisés sur chacun d'entre eux. [Texte masqué.] C'est pour moi l'un des points forts du livre.
Je suis moins convaincue par Meredith, qui cumule tellement de tares que j'ai fini par trouver ça un peu trop. J'ai aussi été étonnée de voir une femme si attachée aux différences de classes, aux convenances, se glisser sans problème dans un rôle de mère maquerelle et agir comme elle le fait.
Le cadre de l'histoire de tous ces gens, ce Chicago mafieux, reste en arrière-plan (même si bien présent) : pas de souci pour moi. Je n'avais pas d'attentes particulières à ce sujet car j'ai vraiment lu ce livre comme un drame familial avant tout.

J'ai aimé le style de l'auteure. Chicago Requiem est un livre très bien écrit, qui se lit tout seul, sans que l'on bute sur des aspérités. L'histoire m'a entrainée et j'ai ressenti une certaine tension lors des passages-clés : a-t-il retourné sa veste ? Ou pas ? Ce qui était sans aucun doute le but recherché... et atteint !
J'ai moins accroché aux derniers chapitres et notamment à la toute fin. J'ai eu l'impression que les enjeux perdaient en intensité, qu'on repartait vers un autre épisode de la saga familiale. Épisode qui se trouve, du coup, un peu "expédié", traité et résolu trop rapidement à mon sens.

En bref, il s'agit d'un drame familial dont je conseille sans hésiter la lecture !

Pour ceux qui sont sur FB, j'ai partagé le prix gagné par Ybachea et... là, j'ai eu la surprise de lire un commentaire d'une amie perdue de vue depuis 20 ans à qui j'avais prêté mon tout premier roman écrit à la main.
Je n'avais jamais osé la recontacter pour le lui réclamer. Peut-être au début...
Puis je ne sais plus. C'était déjà mon univers, un manoir, un jeune châtelain amoureux de sa cousine, un aspect un peu vintage.
Bien sûr, ça n'est pas publiable.
Mais j'y avais passé du temps. J'étais ado
C'était mon premier roman.
Et là, surgissant du passé, le voici revenu. Au moins sa photo.

Emue je suis.