Dessin nocturne (je n'arrive plus à dormir). Il est un peu flippant, d'ailleurs, mais bon, réalisé au bic sous l'inspiration du moment :

Ca oui, il est flippant !
C'est quoi, les lignes sous ses yeux, symétriques au sourcils ? Des cernes ?

Je me serais attendue à des cheveux gominés... ce doit être sa période "tournée des bars"

Des cernes.

c'est bien sa période "tournée des bars et des maisons closes". Je suis en plein dedans.

Se retrouver face à lui et à Meredith en même temps, ça doit être bien flippant.
Pourquoi est-ce que je consacre autant de temps à des personnages pareils, moi ?
M'enfin !

Il faudrait que ce soit plus diffus, la zone sombres de cernes. En dégradé vers le bas.


Bah... à part dans les textes romance (et c'est de moins en moins garanti), on a tous quelques zigotos inquiétants ici ou là. De ce que j'ai lu sur le forum, je décerne la palme au personnage du roman de Nattoto. Ce sont nos démons et nos anges intérieurs qui s'expriment...

Si c'est le cas, je ne veux rien savoir. Peu importe que Sherlock Holmes soit Conan Doyle ou Cosette, Victor Hugo. Ce qui leur donne de la valeur, ce n'est pas de nous renseigner sur leurs auteurs, mais de s'en être éloignés en acquérant une dimension universelle, comme Gandalf ou Harry Porter.
L'écriture entrée dans l'ère du soupçon et expression du moi ne m'intéresse pas, en tout cas au niveau de la fiction.

Les démons en question ne sont pas forcément notre côté sombre... ils peuvent aussi être notre côté fragile et ses angoisses.

Pas besoin de dépiauter leurs origine, en effet.
Ils s'expriment et ça les apaise. Les triturer n'ajouterait rien !

Je préfère ne pas voir la littérature comme psychanalyse.

Donc projets actuels :
- faire en sorte que Chicago Requiem soit distribué dans les librairies (affaire à suivre)
- avancer dans l'écriture de Meredith. Dans l'idéal, atteindre 25000 mots dans une semaine. Histoire que le premier tome ne reste pas le seul.

Bon, pour la distribution de mon roman dans les librairies, je laisse momentanément tomber. Mieux vaut parier sur un des suivants, et donc finir de les écrire, que de parier sur ce vieux cheval.

Lancer d'autres romans, voir lequel se vend le plus sur Amazon, et le distribuer ensuite.
Mais pour ça, il faut bosser, écrire... et j'ai tendance à m'éparpiller dans le promotionnel.

Écris ça te détendra, te donnera le temps de réfléchir, et ça te fournira de la matière neuve.


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Bon courage !

Merci ! Je voulais atteindre les 18000 mots hier soir, et je me suis endormie à 18440, vers 2 h du matin...  
Bon mercredi !    

Edit du mercredi : on était mardi.

21175 mots.
Ça avance moins vite que prévu. Mais au moins, la machine est relancée.

J'ai eu ce très bel avis sur mon roman : https://culturegeeketcie.wordpress.com/2018/07/22/chicago-requiem/

Aucune vente en ce moment. Je regardais une des dernières chroniques reçues, excellente d'ailleurs, et qu'est-ce que je lis en dessous ?

Citation :

Le contexte a l’air intéressant et j’aime les thrillers ainsi que le cynisme quand il est utilisé à bon escient 🙂
Par contre, à force de le voir et surtout d’entendre à quel point l’autrice peut se montrer intrusive (je sais qu’elle ne pense pas à mal), je ne pense pas arriver à lire ce roman sans avoir un certain sentiment d’oppression…
En bref, ta chronique donne envie, le roman a l’air tentant, mais si je le lis, ça ne sera pas avant un bout de temps histoire de laisser le remue-ménage autour de celui-ci passer.

J'ai beau assurer que je suis la plus grosse conne de la terre, rien à faire : on continue de me pourrir par derrière, parce que je ne sais pas qui dit que je me montre intrusive, vu que personne ne me l'écrit, mais j'en ai ma claque. Et hop : encore une soirée où je pleure.

Le mieux c'est de ne rien faire. Je sais que c'est compliqué pour toi car tu es émotive et qu'en plus, ce n'est jamais très plaisant d'entendre que l'on ne veut pas lire ton roman à cause de ta personnalité. Mais réagir d'une quelconque manière ne ferait qu'empirer la situation.
Ceci dit, la personne ne me semble pas non plus malveillante. C'est juste un peu triste, évidemment.