Merci !

Je ne les pratique pas non plus. Je vais voir ce que ça donne.

Alea jacta est.

Cool le projet de box

Oui. Il est bien classé sur Kobo et sur Amazon en ce moment mais ça va prendre fin quand il sera dans la box.
D'un autre côté, ça lui donnera un nouvel essor, il rencontrera d'autres lecteurs et il faut que j'apprenne à m'en détacher. Je dois terminer mon second roman.

Je viens de regarder pour la première fois depuis longtemps. Il est 31000e sur Amazon. Ce n'est pas terrible mais depuis 2017, il a toujours été dans les 100000 premières places, soit une vente de temps à autre. Je m'attends toujours à le voir sombrer définitivement comme mes autres textes avant lui.

Sinon, je m'interroge sur un autre de mes textes qui a connu un parcours étrange.
À la base, c'était une nouvelle. Je l'ai envoyée il y a deux ans à un AT chez Bozdodor qui m'a répondu que ce serait bien d'écrire une suite, car la fin laissait le lecteur sur sa faim. J'ai accepté d'écrire une suite, reçu un contrat dans la foulée.
Mais reprise par ma saga... et mon cher William Henderson, je n'ai pas écrit la suite.
Le temps a passé. L'Ivre-Book aurait aussi accepté de la publier. Mais comme j'avais déjà signé chez Bozdodor... et surtout parce que l'idée d'écrire la suite et d'en faire un roman me taraudait, je n'ai pas donné suite.
Au final, désormais, ces deux ME ayant fermé, je destine plutôt le roman que ça donnera une fois développé à l'auto-édition tout en pensant qu'une bonne ME serait aussi une option. Sauf que... mes expériences avec les ME m'ont refroidie. L'auto-édition pour moi n'a pas d'abord été un choix, mais de déception en déception, vu que plus de la moitié des ME avec lesquelles j'ai un jour signé ont fermé (parfois je n'ai même pas eu le temps de signer le contrat ou elles n'ont jamais ouvert), je ne vois pas trop comment signer encore des contrats le coeur léger. Je ne m'en sors pas si mal en auto-édition. Il y a du pour et du contre. Je pense que le principal est de ne pas être pressé(e).

Est-ce que l'univers de cette ex-nouvelle est du même genre que CR ? Si ça n'est pas trop éloigné, pourquoi pas l'auto-édition, tu as acquis des lecteurs qui auront peut-être envie de le découvrir.
Si c'est très éloigné, à voir... Les amateurs de CR pourraient être un peu déboussolés. Mais ça peut être l'occasion de montrer que tu t'intéresses à d'autres univers.

Au pire, tu peux écrire la suite, l'envoyer aux ME, voire si une répond. Tu auras toujours le temps à ce moment là de décider si tu veux re-tenter avec une ME ou continuer en auto-édition. Rien ne t'empêche par ailleurs de préparer l'auto-édition en même temps que les envois.

Menerva a écrit:

Est-ce que l'univers de cette ex-nouvelle est du même genre que CR ? Si ça n'est pas trop éloigné, pourquoi pas l'auto-édition, tu as acquis des lecteurs qui auront peut-être envie de le découvrir.

L'univers est très éloigné, mais CR n'est pas le premier tome d'une saga au sens traditionnel du terme. Le tome 2 démolit CR et surtout sa narration.   Je ne sais donc pas si ce second tome plaira aux lecteurs de CR. C'est particulier.
Mon ex-nouvelle a un univers très différent de celui de CR même si ça pourrait se rejoindre... dans très longtemps. Toutefois, ce n'est pas le même univers, pour l'instant.
Je pense que c'est plus vendeur que CR, mais de toute façon, les lecteurs de ma saga vont être déboussolés par le second tome de CR. Même Ahava : j'hésite à citer une des lignes de sa chronique au début d'un de mes chapitres.  

Merci Tengaar. Je tenterai les grosses ME de l'imaginaire, mais à part Bragelonne, je ne sais pas ce qu'il y a. Le souci, c'est que même celle qui m'avait contactée après la rupture de mon contrat avec Dreamcatcher a fermé, comme Dreamcatcher d'ailleurs. Bozdodor a fermé. Bref, j'irai voir dans le topic sur ce forum, mais ça m'inquiète un peu.

Bilan : depuis sa réédition, j'en ai vendu une centaine d'exemplaires (70 exemplaires numériques, une trentaine d'exemplaires papier), suffisamment pour rentrer dans mes frais. Il s'était vendu à 300 exemplaires quand il était édité, donc mes proches ne l'ont pas racheté une seconde fois. Ce n'est pas énorme, mais pour un roman non diffusé, on va dire que 400 ventes, c'est honorable.

C'est une bonne idée; l'auto-edition..

J'y suis déjà.
Je pense que d'ici 20-30 ans, on y viendra tous si la disparition des petites ME se poursuit.

PS : je viens de recevoir une invitation à un salon, la 3e cette année. Mais je n'ai plus envie d'aller dans des salons. Je me trouve nulle pour vendre. Pas mon truc. ça m'embête parce que je sais que normalement on fait des dépôt dans les librairies, qu'on participe à des salons. Or je suis invitée. Mais j'ai envie de rester chez moi. on m'a déjà écrit sur FB que si c'est comme ça, je n'ai qu'à arrêter d'écrire. Mais j'aime écrire. Le dernier salon dans lequel j'étais m'a mise mal à l'aise, fin septembre. J'ai annulé celui où je devais me rendre en novembre. J'ai besoin d'une pause ou alors c'est plus profond, mais en ce moment, ça ne me dit rien.

En passant, welcome back Maddy, puisque tu sembles revenir par ici... J'espère que tes projets d'écriture avancent comme tu veux !

Bonjour, je m'y suis justement remise. J'ai plusieurs débuts sur mon ordinateur... mais en 2019 / 2020, j'ai surtout lu des mangas, des BD et des romans, à raison d'une chronique par jour sur Instagram, voire plus.
Ma seule actualité est un album jeunesse paru fin 2020.
Mais si tout se passe bien, fin 2021 / début 2022, je vais autoéditer un ou plusieurs de mes romans (ou alors continuer à accumuler les premiers chapitres...).

Une chronique par jour, ça en fait du boulot !
Cool que l'écriture avance, tu préfères toujours éviter les éditeurs ? Tu vas faire une suite à Chicago Requiem ?

J'y ai réfléchi d'autant que je suis fonctionnaire, mais comme on n'est plus obligé d'être auto-entrepreneur pour s'auto-éditer depuis le 1er janvier 2021, je vois encore moins de raison de passer par une maison d'édition qu'avant.
La suite est attendue, mais j'ai surtout écrit un roman avec les mêmes personnages qui se passe en même temps et qui est presque fini. Sinon, le roman qui est dans le prolongement (et n'est donc pas le même) est en partie écrit aussi (mais il est moins avancé).
Et puis il y en a d'autres. Je ne pense pas que j'aurai la patience de passer par des maisons d'édition. J'ai déjà les couvertures, ou des idées précises des couvertures.
Dans le même temps, je ne veux pas devenir écrivain. J'aime beaucoup mon métier d'enseignante, même si j'adore écrire. Mais l'écriture est pour moi une passion et un loisir, pas mon métier que je tiens à conserver, bien que je sois perfectionniste et que j'aime tout contrôler. Je l'ai prouvé avec Chicago Requiem : dans la version auto-éditée, j'ai tout réalisé, la couverture, la mise en page, les corrections, la promotion, et ça m'a plu. Ce qui m'ennuie est plus l'idée de perdre de l'argent (ce qui n'a pas été le cas jusqu'alors, mais je n'ai rien gagné) et tout l'aspect administratif qu'on n'a pas à gérer quand on est édité. Mais bon : ça crée d'autres soucis et beaucoup d'attente.

Ah d'accord, tu as pas mal avancé dans ton univers Chicago Requiem je vois, tant mieux pour toi (et ceux qui te suivent) L'essentiel c'est que ça se passe comme tu le souhaites !

J'ai toujours le même problème : j'aime écrire mais je ne veux pas en faire mon métier et je dois admettre que ça me mine. Je lis beaucoup, j'ai commencé plusieurs romans et j'espère les finir cette année. Mais je ne veux ni me mettre à temps partiel ni cesser de travailler. Je veux écrire à côté de mon travail, donc je ne veux pas consacrer trop de temps à la recherche d'éditeurs, aux dédicaces, aux salons, et quand je regarde autour de moi, je vois que la plupart des écrivains veulent intégrer une grande ME mais mes ambitions sont plus des ambitions professionnelles en tant qu'enseignante. Maintenant que je suis agrégée avec un poste tranquille, que tout se passe bien, je n'ai AUCUNE envie de devenir écrivain (en tant que métier). Ma seule ambition à ce niveau est d'écrire à mon rythme les histoires que j'ai envie d'écrire sans dépendre d'aucune ligne éditoriale. Mais je me sens en marge et, de plus, je sais que ça discrédite d'emblée tous les romans que je vais écrire parce qu'il n'y aura pas le "cachet" du nom d'une ME sur la couverture... sauf que là, ça ne serait plus de l'écriture plaisir mais du travail.
Et de toute façon, écrire un livre formaté, je n'y arrive pas... je mélange systématiquement les genres à l'intérieur de mes écrits.
Bref.