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 Pourquoi VOUS devez acheter vos livres en librairie

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Emésine
   
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Emésine  /  Crime et boniment


Citation :
La librairie est un secteur en crise, la concurrence d'internet ne donne même pas une décennie pour survivre.

Héééééééééé

Et pour le pourcentage, laissez-moi vous dire qu'on est loin des 40%, même pour les opérations. Ce qu'il faut, c'est évoluer. Personnellement, je ne vends pas encore de livres numériques ou tablettes mais c'est un marché en plein essor et sur lequel il faut se positionner mais il y aura toujours des libraires. À qui les gestionnaires vont commander les livres de latin de Hachette édition 2008 ?


Concernant Amazon :


Livres Hebdo a écrit:
Mobilisation contre Amazon
Publié le 03 janvier 2013 par ca

En France, des libraires indépendants et des enseignes commencent à se mobiliser contre les pratiques d’Amazon, alors que l’opinion britannique s’indigne du régime fiscal du géant de la vente en ligne.

Dans son numéro du vendredi 4 janvier 2013, Livres Hebdo publie les tribunes de Frédéric et Jean-Pierre Delbert, de la librairie Martin-Delbert à Agen, et du Syndicat des distributeurs de loisirs culturels (SDLC), qui entendent sensibiliser les lecteurs et les citoyens contre les pratiques d’Amazon, au moment où, en Grande-Bretagne, l’opinion s’indigne des pratiques du géant de la vente en ligne.

Libraires indépendants et enseignes dénoncent la communication tous azimuts d’Amazon et l’attitude jugée ambigüe des pouvoirs publics à son égard. Frédéric et Jean-Pierre Delbert jugent ainsi qu’«il est temps de dénoncer ce qui est une véritable imposture et de dire à nos consommateurs de livres: n’achetez surtout pas chez Amazon mais chez votre libraire! Et vous y gagnerez énormément!»

«Toute commande effectuée sur le site de ce cybermarchand diminue indirectement la recette fiscale locale, donc augmente vos impôts locaux et diminue également la recette fiscale du pays puisque cette société, dont le siège européen est basé au Luxembourg, paie une part infime de l’impôt sur ses bénéfices en France, grâce à une optimisation fiscale extrêmement sophistiquée. Et pourtant, malgré ce comportement peu éthique, l’implantation du dernier site d’Amazon à Chalon-sur-Saône en France est subventionnée par nos élus locaux à des taux stupéfiants», argumentent les libraires d’Agen.

Ces aides publiques, annoncées alors que le fisc français réclame 198 millions d’euros à Amazon, excèdent aussi les membres du SDLC. Les présidents d’Actissia (Chapitre), Cultura, Decitre, Le Furet du Nord, Starter et Virgin Megastore, se disent «révoltés par ce discours parfaitement contradictoire des pouvoirs publics.»

«Ces subventions, payées par le contribuable, ont vocation à procurer à cette entreprise un réel avantage sur ses concurrents en ligne pour la vente de produits culturels», estiment-ils. «Or, loin de constituer un modèle vertueux, c’est bien la conjonction du bénéfice de schémas d’optimisation fiscale mis en place par certains Etats membres de l’Union européenne, d’une part, et de la pratique du dumping sur les prix des produits vendus, d’autre part, qui a constitué la puissance d’un tel groupe en Europe. Comment peut-on raisonnablement financer la création d’emplois sur fonds publics d’une entreprise qui ne paie pas ses impôts en France? », protestent les membres du SDLC.

Emésine a écrit:
Moi aussi ça me révolte ces implantations d'Amazon et plus encore les échos très positifs dans tous les médias, comme si ce géant américain allait sauver la pauvre France du chômage et de la bêtise. Oh oui, créez quelques postes de magasiniers en tuant la librairie Française et indépendante. Le tout en créant un flou autour de "livres neufs" puisqu'il met aussi en relation des particuliers pour des ventes de livres. Il faudrait expliquer qu'un livre "neuf" ne peut être vendu qu'au prix imprimé dessus (voir avec -5%) mais si Kikidu02 vend un livre neuf, il vient de son placard, pas de chez l'éditeur... Société d'argent, mais j'estime que le livre n'est pas qu'un produit, c'est un plaisir, une rencontre, un apprentissage, une démarche. Pour moi, Amazon ne véhicule rien de cela...
 
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Merci de ta contribution, Emesine. Très intéressant.
 
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Daenerys  /  Pippin le Bref


Je ne suis pas du tout d'accord avec la position très réductrice adoptée par certains dans ce post. Je trouve pour ma part que les magasins comme la FNAC ont "démocratisé" l'accès à la culture.
Peu importe ces histoires de marge revendeurs.
Comme l'a si bien dit une personne plus haut, les libraires sont des commerçants et font du business à leur échelle. Le libraire passionné, qui ne vends que des livres pour lesquels il a eu un coup de cœur, n'existe plus ou bien il se fait de plus en plus rare.
Personnellement il n'y a aucunes librairies près de chez moi valant le détour. La seule que j'avais trouvé potentiellement intéressante s'est avérée être tenu par un gros connard, qui mets les gens dehors dès qu'ils prennent plus de 5mn à "fouiner" dans les rayons. Certes ils ne sont pas tous ainsi, mais après une telle rencontre je n'ai aucuns scrupules à acheter sur la Fnac ou Amazon. Ces sites ont facilité l'accès aux bouquins ! Le secteur a évolué, tout comme le numérique a fait évolué le milieu musical. Les pratiques de ces grands groupes ne sont pas parfaites, mais sont-ils les seuls ? Sûrement pas. Toutes ces grosses enseignes sont destructrices pour les plus petites structures en dessous. Ceci vaut aussi pour les épiceries, les bouchers, les charcutiers etc qui se sont fait manger par les supermarchés.
Le monde change, l'économie aussi, et si les libraires ne proposent aucunes plus-values à côté de ces monstres du secteur, il ne faut pas s'étonner qu'ils se meurent à petit feu.
 
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Je peux me tromper mais je ne crois pas qu'on devient libraire dans le dessein de devenir riche. La marge revendeur, c'est le nerf de la guerre. Tu t'en fous peut être mais pour ceux qui vivent sur ce théorème, c'est un autre enjeu.

Je vais être franc : je n'ai jamais rencontré de libraire "extraordinaire". Mais une chose est sûre, quand l'un d'eux prend la peine de me parler d'un auteur, je creuse. Et ca a un tout petit peu plus d'impact que la rubrique "les acheteurs de ce produit ont aussi aimé..."


Mon appel n'est pas une vindicte contre les gros distributeurs et leurs tendances à raisonner au rythme du tiroir caisse. Il se fonde sur un constat découvert à l'occasion de plusieurs échanges avec des éditeurs indépendants : pour trouver leur livre, le moyen le plus efficace est de tourner dans les librairies car ils ne sont pas distribués, ou très mal- ailleurs.

Alors, Paul et les autres qui crachent dans la soupe : allez donc proposer vos textes aux gros éditeurs, voir si le raisonnement a du bon.

 
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Et il y a libraire et vendeur de livres. AUCUN libraire que j'ai croisé n'était un "Ollivander dulivre" pour faire référence à Larry Crouteur.

A la place,qu'est ce que j'ai constaté?

- Des délais impensables (3 semaines en moyenne)

- Un prix supérieur à Amazon, souvent

- Refus de service de base (j'ai commandé un livre qui a mis 3 semaines à arriver, et il avait la couverture COUPEE en deux, ils ont refusé de me le remplacer)

- Et le rapport au client, froid et vide.

Je ne crois plus à cette image de l'allumé passionné qui me guide. Peut-être les bouquinistes sont plus comme ça.

En tout cas je ne pleurerai pas la mort de libraires dans ce genre, et si des libraires passionnés existent, eux ne meurent pas puisque leur librairie a une clientèle et du sens.


 
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Daenerys  /  Pippin le Bref


Fabre a écrit:
En tout cas je ne pleurerai pas la mort de libraires dans ce genre, et si des libraires passionnés existent, eux ne meurent pas puisque leur librairie a une clientèle et du sens.
Entièrement d'accord.
 
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Fabre, même si ces libraires-là se font plaisir dans leurs achats ils restent tributaires des phénomènes de masse (best seller et magazines people...) Donc ton raisonnement ne tient pas en pratique. Pour faire un parallèle, le phénomène est encore marginale mais de plus en plus courant : les pharmacies. Là-dessus, je peux le dire : j'ai des pharmaciennes formidables... elles ont des grandes pharmacies générant de grands CA au vu du nombre d'employés (une petite dizaine de blouses blanches). Leur argent, elles le font sûrement sur les produits annexes, voir carrément pas liés à la santé (crème solaire...). Avec la concurrence des grandes surfaces, elles ont su (j'ai trois pharmacies en tête à des lieux différents) fidéliser leurs clientèles. maintenant qu'elles se font concurrencer sur leur produit dédié - le médicament- elles flippent sérieusement. Est-ce à dire qu'elles n'ont pas su d'adapter ? (pas mal de la part de gens qui ne sont pas confrontés au travail de balancer ça...) Non. La vérité c'est que le consommateur, comme pour sa viande ou son sel, cherche le moyen le plus économique, au détriment du service (vous avez déjà obtenu un renseignement dans un hypermarché ?) Là où il est important de sauvegarder ces professionnels, c'est lorsqu'ils sont un acteur majeur du circuit de distribution des petits éditeurs. Ces mêmes petits éditeurs que nous finirons tous par démarcher avec notre manuscrit relié sous le bras, parce qu'on aura bien compris que GalliGraSeuil n'ont rien à faire de ce qu'on leur envoie. Mais essayez, faites fi de cette réalité et quand on comptera ensemble nos lettre de refus, nous verrons si ce discours là est vain.
 
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David a écrit:
(pas mal de la part de gens qui ne sont pas confrontés au travail de balancer ça...
Euh... Tu es bien gentil avec tes remarques mais je suis chef d'entreprise dans la communication pour ta gouverne, donc pour ma part j'y suis un peu confrontée au travail vois-tu.
Dans mon secteur il y a les équivalents, des grosses entreprises qui cassent les prix pour du boulot similaire à ce que je propose. Les grosses entreprises qui font leur taf à la chaîne sans aucunes proximités avec leur client.
J'ai énormément de mal aujourd'hui à faire accepter mes tarifs en comparaison de ces boites là, mais je propose une plus-value parce qu'avec moi le boulot est vraiment personnalisé et je suis proche du client durant tout le process.
Ces boites accumulent les contrats et bien qu'elles fassent du boulot correct, elles font avant tout du boulot impersonnel. Mais elles attirent dans leurs filets tous les clients pour qui mes plus-values n'ont aucune espèce d'importance. C'est le jeu ! J'ai bien essayé de me battre contre ça mais c'est comme pisser dans un violon, au bout d'un moment tu capitules parce que l'économie change, les structures évoluent et tu comprends que le seul moyen de continuer à exister c'est de te démarquer par la qualité du travail et de la relation client. Tout en sachant que ces plus-values n'intéresseront que 30 à 40% de ta cible potentielle, mais c'est largement suffisant pour être rentable.
Et bien pour les libraires c'est pareil ! Les librairies que j'ai visité n'apportait aucunes plus-values, alors je ne vois pas pourquoi j'irai + là bas qu'ailleurs puisqu’à service parfaitement égal cette fois-ci je paierai juste + cher.
 
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Juste une remarque sur un détail :

Fabre a écrit:


- Un prix supérieur à Amazon, souvent


En France, il existe une loi dite "du prix unique du livre". TOUS les livres neufs DOIVENT être vendus à leur prix (d'où son impression fréquente sur la couverture), quel que soit le vendeur. L'idée de cette loi était justement de permettre aux libraires indépendants de continuer à vivre à l'apparition des Fnac et consorts

Pourtant, Amazon et la Fnouc sont un peu moins chers. En réalité, il y a une possibilité de réduction limitée à 5%, qui a été négociée justement par ces groupes. Dans le détail, ils paient les livres le même prix aux diffuseurs/éditeurs/autres, et la même TVA que si le livre était vendu à plein tarif : la perte est compensée par les ventes des autres produits...

De plus en plus de librairies (qui n'ont pas le droit, elles, de faire ces réductions) proposent des cartes de fidélité qui donnent lien à des bons d'achat équivalents à 5% à partir d'un certain montant... et hop, la loi est contournée dans la légalité (cette phrase m’épate, mais je en sais pas comment l'écrire autrement). Selon votre consommation de livres (car j'insiste, ce n'est pas sale, c'est un fait, un livre est un bien de consommation, bien particulier, mais de consommation quand même), l'argument du prix ne tient plus.

C'était juste la minute "les prix plus bas ne le sont pas vraiment, et pas qu'à la Fnouc et chez Amazon!"
http://www.journalsemilitteraire.over-blog.fr
 
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Je pense avoir assez rabâcher le pourquoi du comment de ce topic. Donc une dernière fois : les libraires, je m'en contre carre. Mais si c'est chez eux que l'éditeur de mon premier roman fait son beurre, je ferai tout pour l'entretenir.

Quand je causais de vie active, je ne pensais pas particulièrement à toi, Daenerys. Maintenant, t'es mignonne toi aussi, mais tu peux exercer le métier que tu veux -et tant mieux pour toi si tu fais de l'argent dans ton secteur - mais dire que c'est aux autres de s'adapter, ça ne donne pas trop l'impression que tu connaisses l’humilité d'une trésorerie fragile, de contrats durement acquis et autres joyeusetés du business. Surtout que je ne sais pas si tu es au courant, mais c'est la CRISE. Comme si un commerce n'était qu'une question de compréhension du marché. Pour le coup ça ne donne pas envie de t'avoir comme prestataire.
 
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David, Je pense effectivement qu'au vu du ton que tu utilises , il vaut mieux pour toi t'abstenir de débattre sur un sujet par trop rabâché.
http://ennkhala.e-monsite.com/?fbclid=IwAR0jJzYjyIfWCqBflEI7iXmj
 
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Citation :
Je pense avoir assez rabâcher le pourquoi du comment de ce topic. Donc une dernière fois : les libraires, je m'en contre carre. Mais si c'est chez eux que l'éditeur de mon premier roman fait son beurre, je ferai tout pour l'entretenir.

Quand je causais de vie active, je ne pensais pas particulièrement à toi, Daenerys. Maintenant, t'es mignonne toi aussi, mais tu peux exercer le métier que tu veux -et tant mieux pour toi si tu fais de l'argent dans ton secteur - mais dire que c'est aux autres de s'adapter, ça ne donne pas trop l'impression que tu connaisses l’humilité d'une trésorerie fragile, de contrats durement acquis et autres joyeusetés du business. Surtout que je ne sais pas si tu es au courant, mais c'est la CRISE. Comme si un commerce n'était qu'une question de compréhension du marché. Pour le coup ça ne donne pas envie de t'avoir comme prestataire.


Tu es intelligent et intéressant,alors évite de ne pas donner envie de te lire avec un ton aussi cinglant qui interdit tout débat.
 
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David a écrit:
Mais dire que c'est aux autres de s'adapter, ça ne donne pas trop l'impression que tu connaisses l’humilité d'une trésorerie fragile, de contrats durement acquis et autres joyeusetés du business. Surtout que je ne sais pas si tu es au courant, mais c'est la CRISE. Comme si un commerce n'était qu'une question de compréhension du marché. Pour le coup ça ne donne pas envie de t'avoir comme prestataire.

Ahah j'hallucine... Tu es à la tête d'une boite toi ? Je ne crois pas vu tes écrits. Mais manifestement tu sais mieux que moi comment une entreprise doit se positionner. Respect.
J'ai connu la galère crois-moi, j'ai crevé la dalle, j'ai bouffé grâce aux Restos du Cœur, alors tes petites leçons me font doucement rire. Évidemment qu'une entreprise doit comprendre son marché, c'est un peu la base d'un bon entrepreneur même ! Et c'est justement avant que je fasse cette démarche que je ramais comme une conne.
Je te rassure, mes clients sont très satisfaits de mon travail et de ma proximité envers eux. Et tu sais pourquoi ? Parce que j'ai justement étudié ma cible et que je comprends parfaitement leurs envies et leurs craintes.
 
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Heu... oui, je suis gérant de ma PME. Et tant mieux si ça ne transparait pas dans mes écrits. Very Happy t'as tout compris et les autres doivent s'adapter... c'est assez insupportable à entendre vu la conjoncture. Mais grâce aux gens comme toi qui donnent l'exemple, ça donne des pistes. Attention : la concurrence arrive^^
 
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Et bien dis moi, gérant d'une PME et tu n'as pas encore compris que le client est roi ? Je n'ai pas dis que j'avais la science infuse, loin de là. Mais lorsque je te vois dire que c'est au client de changer sa façon de "consommer", et non à l'entreprise de se remettre en question, je rigole toute seule. Parce que tu ne dois pas vivre dans le même monde que moi... Le français a son petit confort, ses petites habitudes, et tu auras beau mouliner des bras pour te révolter il continuera d'aller faire ses petites courses où ça lui chante. Je n'ai pas dis que c'était bien, je n'ai pas dis que je cautionnais, je dis juste que c'est la réalité qu'on le veuille ou non. Si tu es posté sur un marché ultra-concurrentiel, tu as plutôt intérêt à trouver un moyen d'attirer le client et de le fidéliser. Et ça, c'est ce qu'on appelle une plus-value et c'est ce dont je parle depuis hier soir.
Amazon et la Fnac ne pratique pas de concurrence déloyale, ils vendent des livres à des prix tout à fait corrects et un peu moins chers qu'en librairie. C'est peut-être justement parce que c'est la crise que les gens y vont en masse. Si encore ils cassaient les prix, comme certains de mes "concurrents" peuvent le faire, là je comprendrais et je me révolterai avec toi. Mais ce n'est pas le cas, donc je trouve un peu facile ton raisonnement.


Dernière édition par Daenerys le Ven 25 Jan 2013 - 18:32, édité 2 fois
 
   
    
                         
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