Je m'y suis penchée sur l'amour en écriture sans biaiser car à s'y pencher autant risquer d'y plonger... Je pense avoir oublié jusqu'à l'ultime convenance envers ce moi ou ce je (celui d'Anna, bien sûr) et m'être retenue en rien dans son personnage...Pour un premier roman, je me suis surprise, moi qui n'écrit pas ce genre de proses habituellement...en fait, je me suis bien amusée... Ah l'amour ! c'est bien ce qui nous reste de mieux quand on a tout oublié...

Il y a toujours de l'amour dans mes romans. Mais c'est souvent l'absence de réciprocité qui se manifeste. Cela dit, qu'il soit fraternel, "amoureux", ou encore plus proche de l'affection, il occupe toujours un rôle sans être forcément primordial

Dans un de mes romans, le héros est amoureux d'une jeune fille morte 50 ans plus tôt

en voilà un beau début

L'amour sous toutes ses formes finit toujours par se manifester naturellement quand j'écris... Cela dit, il peut vraiment revêtir des formes variées. Enfin j'espère. C'est un sentiment qui inspire beaucoup l'homme, c'est naturel je pense !

Et Xiep c'est vrai qu'en voilà un débat intriguant...