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 Doit-on à tout prix faire sans cesse preuve d'originalité en littérature ?

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Tengaar
   
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   Pensée du jour  :  CI-GÎT TENGAAR QUI SUCCOMBA À UNE SURDOSE DE FANFICTION Elle ne l'a pas volé, on l'avait prévenue, déjà que la fantasy c'est pas de la littérature, alors la FF, bon... enfin, c'est triste quand même
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Tengaar  /  (de Dunkerque)


C'est assez difficile de qualifier l'originalité. Les romans que je qualifierai de non original ont souvent une combinaison de ces facteurs : un style "plat" (sujet+verbe+compléments, où l'auteur dit que le personnage pleure quand il est triste et qu'il est heureux quand il est heureux), des descriptions peu intéressantes (décrire la personne en train de s'habiller ou une forêt lambda), des personnages sans personnalités (l'héroine qui a toujours raison, qui ne se trompe jamais etc), avec une surabondance de clichés utilisés de la façon la plus 1er degré qui soit (l'élu, le triangle amoureux, la prophétie, le quiproquo, la première nuit parfaite, je suis ton père) etc. qui conduit à ce que le lecteur ne soit absolument jamais surpris.
En gros une copie moyenne d'un bon roman.
 
Jdoo
   
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Jdoo  /  Maîtrise en tropes


Oui mais pourquoi, dans certaine expérience, lorsque l'on dit que le fatalisme existe, les gens modifient leur comportement en conséquence ? Et je pense que tu peux raisonner comme tu le fais si tu es un fataliste/optimiste, mais en aucun cas un fataliste/pessimiste pourra le faire. De toutes les manières on pourra toujours rétorquer qu'il subit son destin et qu'il ne peut rien y faire, pourtant je ne peux pas m’empêcher de penser que cette conviction à une conséquence rétroactive sur le comportement. Ce qui me semble un peu contradictoire avec le fatalisme. Autre point, quand tout se passe bien effectivement, on peut se dire que c'est ça l'important d'être heureux. Mais quand tout va mal, ça ne marche plus, on cherchera forcement à changer les conditions de son destins. Et je pense que si on ne peut rien y faire si on pense que le monde est fataliste, et dans ce cas à quoi bon agir ?

Donc pour revenir à la question de départ, Si on est peut être dans un univers déterministe fort, alors nous n'avons pas le choix que de faire semblant qu'il n'en est rien. Et cela vaut le coup d'essayer de faire preuve d'originalité et de créativité en littérature. Dans les autres cas, je dirais que ça vaut le coup aussi.

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Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


Profsamedi a écrit:
C'est comme quand tu manges quelque chose d'absolument délicieux et que tu en reprends en te régalant, tu adores ça, mais si on t'apprend qu'en fait ce sont des oreilles de chauve-souris marinées dans un brouet de larve de coléoptère, tout d'un coup, ça n'a plus le même goût... stupide n'est-il pas ? :mrgreen:

Dans un des livres que je suis en train de lire, et qui n'est rien de moins que le récit de l'expédition Lewis & Clark, par extraits des journaux de voyage (donc texte direct et qu'on peut supposer sans intention d'épater le lecteur), une des tribus rencontrée prépare une soupe excellente à partir de viande pourrie.
Évidemment, les explorateurs sont un peu écœurés par l'ingrédient... mais ils semblent avoir apprécié le plat. Il n'est pas précisé si la quarantaine d'hommes que comptait l'expédition étaient tous du même avis sur cette spécialité gastronomique.

Pour ma part : je confirme...
Savoir qu'un excellent pâté est confectionné avec des mouches me débecquetterait "un peu".
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Shub
   
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Shub  /  Roberto Bel-Agneau


Le problème est surtout que les auteurs(es) n'osent quasiment plus se lancer dans ce qu'on peut qualifier d'œuvre originale par peur d'être refusé rapidement et radicalement: ou alors on les lit ici ou ailleurs, on les encourage au vu justement de l'originalité mais ils finissent par se faire éditer quand ils ont des sous bien sûr par Edilivre faute d'un coach compétent qui saurait les guider pour essayer de rendre leurs livres plus conformes à la tradition littéraire et de "ce qui est dans l'air du temps". Un Brett Easton Ellis serait impubliable ici, en dehors de son côté "américain" très prononcé bien sûr.
Par contre Houellebecq, ça lui aura porté chance d'être dans l'air du temps
du coup avec l'auto-censure, on retombe dans les poncifs décrits plus haut qui font la matière de tant de best-sellers.
L'économique finit par primer mais c'est un peu un problème général dans toutes les activités artistiques quelles qu'elles soient, ce qui fait que des Modigliani ou des Van Gogh sont morts dans la misère. Et ici ce n'est pas comme aux USA où des Jack London ont pu faire leurs armes en publiant des nouvelles dans le New York Times je crois mais à vérifier: le genre "nouvelles" n'a pas la cote chez nous ce qui est bien dommage au contraire des pays anglo-saxons et de l'Italie
 
Jdoo
   
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Jdoo  /  Maîtrise en tropes


C'est sûr que plus on fait "original", plus on a de chance de se prendre des baffes !
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Profsamedi
   
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Profsamedi  /  Didon de la farce


jdoo a écrit:
Oui mais pourquoi, dans certaine expérience, lorsque l'on dit que le fatalisme existe, les gens modifient leur comportement en conséquence ? Et je pense que tu peux raisonner comme tu le fais si tu es un fataliste/optimiste, mais en aucun cas un fataliste/pessimiste pourra le faire. De toutes les manières on pourra toujours rétorquer qu'il subit son destin et qu'il ne peut rien y faire, pourtant je ne peux pas m’empêcher de penser que cette conviction à une  conséquence rétroactive sur le comportement. Ce qui me semble un peu contradictoire avec le fatalisme. Autre point, quand tout se passe bien effectivement, on peut se dire que c'est ça l'important d'être heureux. Mais quand tout va mal, ça ne marche plus, on cherchera forcement à changer les conditions de son destins. Et je pense que si on ne peut rien y faire si on pense que le monde est fataliste, et dans ce cas à quoi bon agir ?

Donc pour revenir à la question de départ, Si on est peut être dans un univers déterministe fort, alors nous n'avons pas le choix que de faire semblant qu'il n'en est rien. Et cela vaut le coup d'essayer de faire preuve d'originalité et de créativité en littérature. Dans les autres cas, je dirais que ça vaut le coup aussi.

Je parle de déterminisme et pas de fatalisme.
Les deux ne sont pas semblables.
Pour faire court :
- Le fatalisme prône que tout est inéluctable et que rien ne peut y faire.
- Le déterminisme prône que les mêmes causes produisent les mêmes effets, mais qu'un effet peut être produit par différentes causes.

Spoiler:

En fonction de quoi, il apparait que seul l'être humain, doué de raison et possédant un libre arbitre serait susceptible de modifier selon son humeur le devenir de toutes choses en modifiant les causes. Peut-être plus largement pourrait-on étendre la notion au vivant, seul capable d'agir alors que le minéral n'aurait qu'à subir.
Ce qui voudrait dire que hors l'apparition du vivant depuis le Big Bang, tout aurait été prédéterminé puisque rien n'était susceptible de changer les causes créées par ce qui les a produites.  
Or donc, jusqu'à l'apparition du vivant, l'univers serait gouverné par une sorte de fatalisme et plus depuis son apparition.
Ne penses-tu pas que, au vu de l'immensité de l'Univers, que le vivant, soit à dire pour ce qui nous concerne, l'homme, se donne une importance qu'il serait loin d'avoir ?
Alors non, je ne suis pas le moins du monde fataliste mais je pense qu’effectivement, les mêmes causes produisent les mêmes effets, mais qu'un effet peut être produit par différentes causes et que l'on peut modifier les causes sans que ce soit fatalement prédéterminé. :mrgreen: .
 
Jdoo
   
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Jdoo  /  Maîtrise en tropes


ha d'accord ! effectivement si tu parles de déterminisme c'est effectivement pas la même chose que du fatalisme (ou plutôt dans notre cas déterminisme fort). Mais il m'avait semblé que c'était ta position qui avait tendance par ailleur à annihiler toute tentative de créativité. Mais je me serais trompé. En tout cas, si pas fatalité,  c'est que pour moi cela laisse peut être de la place à l'indéterminisme, c'est à dire à des événements acausales, c'est à dire au pure hasard.  (stricto sensus : différentes causes pour un même effet ne me semble pas incompatible avec un déterminisme fort, je ne pense pas que ce soit là ce qui caractérise un déterminisme modéré).

En tout cas si l’a-causalité existe, c'est que des événement peuvent apparaitre ex nihilo, et que peut être aussi par rebond les idées et l'originalité. Et que c'est à nous d'être vigilant pour les attraper et que justement en restant attentif on peut les voir passer. Après ce n'est pas vitale non plus, mais voilà qui me semble bien plus stimulant que de se dire je suis une machine déterminée à être heureuse. Mais je ne voudrais pas tirer non plus mes conclusions sur les conséquences de ce que je crois vrai ou pas.

Je pense qu'il ne faut pas se laisser distraire par l'idée de la place que l'humanité a dans l'univers et encore moins de l'idée qu'elle pourrait en avoir. On ne peut pas, quelque soit sa place, s'en servir comme argument pour on contre le déterminisme.  Je pense que justement on a trop tendance à se positionner sur la question du libre arbitre, plus par rapport à nos convictions de la place de l'humanité dans l'univers que par objectivité. Voilà qui serait tirer ses conclusions sur les conséquences, ce qui serait une erreur de raisonnement.

Et je ne parle pas non plus de libre arbitre, car l’a-causalité, le hasard pur, à mon avis ne saurait en soit le garantir.  Maintenant ceci étant dit je n'ai aucune preuve dans un sens ou dans l'autre que l'univers possède un déterminisme fort (fatalisme) ou plus modéré. Ou même je ne pense pas avoir une idée précise de ce qu'est la causalité. comme disait Hume on y croit plus par habitude plutôt que parce qu’on en a la preuve.

Any way, dans tous les cas, je pense que ça vaut vraiment le coup de sans cesse faire preuve d'originalité. qui sait ce que ça nous donnera.

Voilà donc ma réponse à ta question.
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Profsamedi
   
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Profsamedi  /  Didon de la farce


@Jdoo

Ite Missa Est ! :mrgreen:

Pour en revenir au sujet du début, je réserverai donc mes efforts d'originalité aux choses que je maîtrise et connais plus ou moins bien, soit à dire la manière de présenter et de raconter, les péripéties de l'histoire, et encore, seulement lorsque j'aurais envie d'en faire l'effort. L'originalité n'étant pas  garant de qualité artistique.

J'écris pour le lecteur : pour le distraire, pour le faire rêver, parfois l'amuser.
Pour moi même, j'écris pour créer des univers que je ne trouve pas ailleurs, pour m'évader, sortir du quotidien, rêver également, me conter des histoires que je ne connaissais pas :mrgreen: .

Et surtout, surtout et par dessus tout... par plaisir.  :mrgreen:  Si d'aventure il advenait que devais écrire par obligation, j'abandonnerais tout de suite.  Very Happy

Quoi qu'il en soit, je remercie grandement toutes les participations (même si j'espère que ça n'est pas fini) qui par leur pertinence, qu'elles défendent un tenant ou l'autre,  ont apporté de belles pistes de réflexions sur le sujet.

En toute amitié, Philippe.
 
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VivianW  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Une fille a t elle besoin d avoir un visage unique au monde pour être désirable ? Non. C'est sa personnalité et son aura qui auront raison des jolis coeurs. Avec les livres, c'est la même. Une idée originale seule n'a jamais fait un bon livre. Certains vont même jusqu'à penser que toutes les oeuvres tournent inlassablement autour de trois idées : l amour, le sexe, le pouvoir. De là où je me trouve  j en vois d autres mais une chose est sûre : d autres les ont vues avant moi.
D'ailleurs cet absolu d'originalité s'oppose frontalement à un concept éprouvé : l'universalité d'un texte.

Vivian W, pour servir tous ceux qui ne l'ont pas demandé
 
Séléné.C
   
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Séléné.C  /  La femme qui tomba amoureuse de la lune


VivianW a écrit:
Certains vont même jusqu'à penser que toutes les oeuvres tournent inlassablement autour de trois idées : l amour, le sexe, le pouvoir. De là où je me trouve  j en vois d autres mais une chose est sûre : d autres les ont vues avant moi.
L'aventure...
Le mal de vivre...
La quête de soi...
La découverte de ce qui est derrière l'horizon...
La souffrance...
Le passé et ce qu'il nous a laissé...
L'inquiétude de l'avenir...
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Jdoo  /  Maîtrise en tropes


c'est vrai que l’originalité en soit ne suffit pas. Le contrainte non plus d’ailleurs. Mais peut être qu'il faut perdre le réflexe de dénigrer systématiquement ce qui se veut et tente d'être original. Par exemple quand on va dans une expo de la FIAC ?
Prof, moi je te donne juste mon point de vue, après je pense qu'il peut y avoir un grand plaisir (je ne le souligne pas, mais le cœur y est) à être orignal ou du moins à trouver l'originalité. En admettant qu'on puisse effectivement la trouver, en tout cas, si on ne la cherche pas, vraisemblablement on ne la trouvera  pas. Et en soit cela peut être une activité très ludique.

Mais bon La messe est dite, donc, dont acte...
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psychologie de comptoir...
 
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On fait c'qu'on peut...
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Profsamedi  /  Didon de la farce


jdoo a écrit:
c'est vrai que l’originalité en soit ne suffit pas. Le contrainte non plus d’ailleurs. Mais peut être qu'il faut perdre le réflexe de dénigrer systématiquement ce qui se veut et tente d'être original. Par exemple quand on va dans une expo de la FIAC ?
Prof, moi je te donne juste mon point de vue, après je pense qu'il peut y avoir un grand plaisir (je ne le souligne pas, mais le cœur y est) à être orignal ou du moins à trouver l'originalité. En admettant qu'on puisse effectivement la trouver, en tout cas, si on ne la cherche pas, vraisemblablement on ne la trouvera  pas. Et en soit cela peut être une activité très ludique.

Mais bon La messe est dite, donc, dont acte...

Ite Missa Est parce que j'ai trouvé que tu avais donné la bonne conclusion à ce débat. Celle qu'il méritait dans une bonne synthèse de ce que nous évoquions et qu'il me semblait que c'était si complet que je ne voyais rien à ajouter comme arguties. :mrgreen:
Je parlais là de la causalité et du fatalisme, pas de l'originalité.
 
Cédric1987
   
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Cédric1987  /  Homme invisible


Une idée n'est jamais mauvaise, c'est son application qui l'est (qui peut l'être plutôt, parfois). Chercher l’originalité pour avoir de l'originalité sera probablement aussi infructueux que de recopier étape par étape un genre de récit qu'on aura déjà lu des centaines de fois.

Tous les genre ont des codes à respecter, il n'empêche de retrouver des récits originaux parmi ceux-ci. La question " DOIT-ON À TOUT PRIX FAIRE SANS CESSE PREUVE D'ORIGINALITÉ EN LITTÉRATURE ? " me parait au mieux sans intérêt, au pire intimement liée à son désir artistique propre, et donc il n'y a pas de bonnes ou mauvaises réponses à donner.
 
   
    
                         
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 Doit-on à tout prix faire sans cesse preuve d'originalité en littérature ?

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