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 Lire ou ne pas lire: le débat sans fin ici.

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TheWolf
   
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TheWolf  /  Petit chose


J'adore lire mais le temps me manque vraiment hélas... Mais je continue d'acheter des bouquins régulièrement en espérant pouvoir en profiter pendant les vacances ^^...

Trop occupé par l'écriture en ce moment aussi, je préfère ne pas ouvrir un bouquin de peur d'être "influencé". Pas forcément par l'histoire, mais davantage par le style, le vocabulaire... Je préfère rester concentré sur ce que j'ai commencé, mes personnages, le sens de mon histoire, ce que je veux raconter...

Après, lire ne peux pas faire de mal (en principe) donc s'il y en a que cela ne gêne pas, why not ?


 
thibz
   
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thibz  /  Tycho l'homoncule


Comme TheWolf, j'ai dû entasser une bonne dizaine de livres achetés ces dernières années mais sans les lire faute de temps principalement mais aussi de peur d'être trop influencé.

Pour ma part, je pense qu'il est préférable de ne pas lire si on est jeune auteur lorsque l'on commence à écrire une histoire (à moins d'avoir un style d'écriture vraiment propre à nous qui nous préserve ainsi de l'influence des autres écrivains). Pour ma part, j'ai attendu d'avoir écrit le premier tome et commencé le second avant de lire à nouveau. L'expérience s'est révélée assez enrichissante. Cela m'a permis de repérer certaines améliorations/corrections possibles pendant la phase de correction du premier tome mais aussi de "jalonner" un peu mieux la suite du récit sur certains aspects qui n'était pas suffisamment précis dans mon esprit.

Donc, de mon expérience, je conseille pour les jeunes auteurs de ne pas lire en phase de "démarrage" d'un récit mais de s'y remettre en cours de route, une fois que votre style est bien posé et que vous êtes imprégnés de votre histoire, de ce que vous souhaitez écrire par la suite, etc.  Very Happy 
 
Molly
   
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Molly  /  Sang-Chaud Panza


Une phrase comme "je préfère ne pas lire, de peur d'être influencé quand j'écris" me laisse tout à fait perplexe.

Pour moi, c'est tout le contraire. Plus je lis, plus j'ai envie d'écrire, plus j'aiguise mon jugement et mon style, plus les idées me viennent. Je lis toutes sortes de livres, dans des genres extrêmement différents. Je n'ai pas fait d'études littéraires, et à part la lecture, rien ne m'a préparée/formée à l'écriture. Vraiment, je ne pourrais pas m'en passer.

J'imagine un compositeur qui n'écouterait pas de musique, de peur d'être influencé... scratch Ou un cinéaste qui ne mettrait jamais les pieds au cinéma ou ne regarderait pas de DVD...

Je peux à la rigueur concevoir qu'on arrête de lire pendant une période de "création", mais qu'un auteur lise très peu, ça me surprend énormément.

Après, chacun son truc.
 
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Invité  /  Invité


L'influence vient de moi, de mon mur imaginaire. Je sais comment maîtriser mon imagination pour le rendre en image. Alors si je ne lis pas,je risque de former des choses tordues, car notre mémoire répète en améliorant notre quotidien. ceci est un débat sans queue car on oublie réellement ce peut sous-entendre la norme; un écrivain, au delà du fantasme, est celui qui écrit une histoire structurée. En temps que contemporain, je ne devrais plus dire que l'édition est une chose ignoble ou ne fait pas partie de moi, mais que celle-ci joue un rôle important pour le devenir d'un postulant à la plume d'or.

J'ai la conviction que les idées sont toutes bonnes. Mais il faut savoir faire la part des choses, savoir ce qui est à moi et à autrui. Aimez vous avant tout, ce n'est pas tout d'être auteur. Vous avez tout le temps de faire de bonnes choses en lisant. N'est-ce pas important de savoir pourquoi un auteur a donné un tel titre à son oeuvre?  Very Happy
 
art.hrite
   
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art.hrite  /  Chantre brahmane ज्ञानयोग


Molly a écrit:
mais qu'un auteur lise très peu, ça me surprend énormément.

ces peureux de l'influence, on les connaît, ce sont les mêmes qui depuis la nuit des temps participent du concept de médiocrité

 
TheWolf
   
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TheWolf  /  Petit chose


Molly a écrit:

Je peux à la rigueur concevoir qu'on arrête de lire pendant une période de "création"

c'est tout à fait mon cas...
je lis beaucoup mais tant que je suis plongé dans l'écriture, je ne touche à rien d'autre.
après c'est effectivement chacun son truc...
 
Sebi
   
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Sebi  /  Clochard céleste


Art. Ri a écrit:
ces peureux de l'influence, on les connaît, ce sont les mêmes qui depuis la nuit des temps participent du concept de médiocrité

Voilà bien une parole d'une médiocrité absolue qui montre bien que les écrivains n'ont pas tous des capacités intellectuelles très développées, ni forcément un coeur, et que les "érudits" peuvent avoir beaucoup lu sans jamais avoir rien compris
 
art.hrite
   
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art.hrite  /  Chantre brahmane ज्ञानयोग


réponse érudite et pleine du haut mépris de l'orgueil :
l'histoire des génies littéraires est assez éloquente sur le sujet et n'importe quel confrère érudit - ou lecteur lambda (puisque le simple bon sens est si peu naturel à l'espèce homo sapiens sapiens telle qu'elle s'actualise en la personne de Sebi et de mille autres) n'importe quel confrère érudit, disais-je, se contentera de t'y renvoyer : prenons le dix septième siècle : Racine, Shakespeare, Pascal, dix huitième siècle : Rousseau, Voltaire, Diderot, Laclos, Crébillon fils, Goethe, Schiller, Novalis, etc. ; prenons le dix-neuvième siècle : Hugo, Th. Gauthier, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Balzac, Flaubert, Stendhal, Gogol, Tolstoï, Dostoïevski ; prenons le vingtième siècle : Valery, Tzara, Breton, Eluard, Aragon, Michaux, Ponge, Char, Genet, Kafka, Tchekhov, Pasternak, etc. ; je n'ai pas suffisamment de souffle pour cataloguer tous ces grands lecteurs
on n'a jamais vu le moindre talent se suffire à lui-même : la plupart des grandes œuvres abondent, par leur simple griffe ou par des références explicites, de la présence des lectures de leur auteur ; oh il est évident que la lecture ne suffit pas pour que le génie et la lumière soient, on ne cultive pas une nature inexistante, mais cessons là d'énumérer des truismes connus de tous, contentez-vous de cela : n'est pas moi qui veut.

réponse idéale :
me taire ici est de mise : la qualité d'écriture est souvent gage de qualité de lecture, je suis bien d'accord sur ce point si c'était là ton idée
quant à ma médiocrité je la laisse entre les mains, toujours si propres dit-on, de la postérité
ps : tu es un crétin
 
Sebi
   
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Sebi  /  Clochard céleste


Question de point de vue... Moi, on m'a toujours dit que l'intelligence sert à simplifier les choses et, de toute évidence, mes phrases ont plus d'effet que les tiennes... Je ne perdrais jamais mon temps à me justifier si longuement pour avoir montré pareil mépris envers autrui... ou à énumérer si abondamment une liste que tout le monde connait...

Les gens les plus bêtes passent souvent plus de temps que les autres à pointer du doigt "tous les cons qui existent" et la raison pour cela est qu'il faut de l'intelligence pour déceler en autrui de l'intelligence... Bien peu de gens connaissent le grand dialogue qu'ont tressé les anciens par-delà...

Ce sur quoi nous nous rejoignons, assurément  :woowoo: 

Il faut avoir lu pour écrire. Cela, je l'ai déjà écrit... et il m’apparaît clairement combien le style s'imprègne des lectures car j'ai commencé à écrire très tardivement, en bénéficiant donc d'un certain recul par rapport à la formation de mon style, plus que ceux qui voulaient déjà cela étant gamin.

D'une part, l'écriture n'est pas un sport de quadragénaire ou de sexagénaire... On écrit à tous les âges et nous sommes conçus malléables, pour pouvoir apprendre, ce qui fait que l'influence d'une lecture n'est pas la même à tous les âges. La personnalité fera également varier l'effet, selon que l'on soit plus ou moins dominant,...

D'autre part, il faut savoir répartir les charges, pour ainsi formuler les choses, au sens où écrire, c'est aller à la mine. Il ne sert à rien de faire sauter toute la montagne, ça n'aide pas à trouver les pépites.

Enfin, souligner que tous ces auteurs étaient de grands lecteurs pourrait amener à l'idée qu'ils étaient avant tout des gens attentifs. Aujourd'hui, beaucoup d'autres médias véhiculent les pensées de l'humanité...

PS : pourquoi ne pas entamer un compte des gens qui veulent être toi, messire?
 
Mikaroman
   
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Mikaroman  /  Jeune et fringant retraité


Pour le plaisir, je lis et je relis. Pour comprendre et apprendre, je relis.

Pour ce qui est des influences, tout nous influence, c'est évident. Mais il en va des influences comme des données statistiques : plus on en a, moins l'impact de chacune sur l'ensemble est important.

Ne pas lire pour ne pas se faire influencer, c'est se couper du bénéfice potentiel de ces influences choisies de peur des influences subies.
Lire beaucoup, c'est se charger progressivement de la masse des oeuvres étudiées, devenir l'astre le plus pesant du système, pouvoir choisir de laisser une influence s'écraser sur nous en sachant que cela fera à peine dévier notre trajectoire.

Métaphore balistico-gravitationelle, j'en ai conscience, mais c'est ainsi que j'aime raisonner.
http://romainmikam.free.fr/
 
Elouan
   
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Elouan  /  JE Lambda. (Cuvée 2012.)


Je pense qu'on perd son temps à essayer de trouver une corrélation entre bien lire et bien écrire. Encore une fois, lire n'a jamais été une obligation. Chacun y trouve son compte pour son plaisir ou son épanouissement intellectuel. Ou pas. Je ne comprends pas pourquoi la lecture devrait être une source d'enrichissement à part pour l'écrivain sous prétexte qu'on parle du même média.

Pour moi l'écrivain s'enrichit comme tout être humain avec toutes sortes de choses. Tout est bon à prendre, sans hiérarchie.

La discussion ici est tout à fait symptômatique de ce que, en France, la lecture est considérée comme une valeur. Ce qu'elle ne doit être en aucun cas. La lecture n'est pas une valeur, ce ne doit pas être valorisant de lire ou de lire plus que les autres. Lire, c'est un goût.

J'aime lire, mais ça ne regarde que moi.

Et il y a des gens qui écrivent magnifiquement bien sans lire.
 
art.hrite
   
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art.hrite  /  Chantre brahmane ज्ञानयोग


Elouan a écrit:
Je ne comprends pas pourquoi la lecture devrait être une source d'enrichissement à part pour l'écrivain sous prétexte qu'on parle du même média.

ce prétexte est pourtant loin d'être absurde pour qui consent à respirer, sentir, voir et imaginer dans une langue ; car c'est bien de ce média dont il s'agit : la langue, support fondamental s'il en est à la lecture comme à l'écriture (veuillez au moins m'accorder ce premier postulat), la langue, on la reçoit avant de la parler, et même, d'avoir le loisir de penser (au sens élevé du terme) ; second postulat que j'aimerai suggérer : l'expérience, quelle qu'elle soit, n'est jamais absolument pure, elle est toujours médiatisée, articulée, composée, par le langage ; et qu'il soit plaisant de lire, soit : c'est une expérience esthétique singulière, et ce cher Kant ne me contredirait pas, mais au-delà de l'expérience esthétique de la lecture, c'est aussi une expérience de la langue, une expérience, me semble-t-il de retour sur soi, une expérience réflexive en somme, certes comme tant d'autres expériences et, certes comme à peu près toute autre expérience - mais sans doute est-il permis, si l'on admet les deux premiers postulats, de douter légitimement de la validité d'une telle assertion : pour moi l'écrivain s'enrichit comme tout être humain avec toutes sortes de choses. Tout est bon à prendre, sans hiérarchie. de ne pas trop lui accorder d'importance (même si je suis grosso modo, et en dépit de sa tournure affreusement banale, d'accord avec la première partie) et de plutôt reconsidérer, avec un monocle nouveau, l'importance de la lecture sur notre propre expérience de soi, du langage, du monde, importance de la lecture sur notre propre faculté à expérimenter toutes sortes de choses, à les reconfigurer dans de nouvelles perspectives, de faire, par le style d'une oeuvre, qu'en cette faculté d'expérimenter se manifestent ou se révèlent certains possibles encore ignorés (et donc de reconsidérer l'importance de la lecture, ou de n'importe quelle expérience esthétique en général qui touche au langage, sur notre style, car le style est surtout qualité de vision comme disait si justement l'autre)

ce qui est symptomatique, outre ce si chauvin anti-chauvinisme, qui condamne je ne sais quelle french touch de la lecture pour je ne sais quelle raison absconde, ce qui est symptomatique, je crois DE NOTRE OCCIDENT CONTEMPORAIN (aristocrates et bobo du 16ème siècle, indignez-vous) c'est cette haine de la hiérarchie, cette vision si plane, si égalitariste, si démocratique, si confuse, si relativiste (je n'ose dire progressiste) des valeurs : la lecture, une expérience comme une autre, soit, mais alors, dites-moi ce qu'est une expérience et une valeur ; et puisque l'heure est grave et sérieuse, parlez-moi un peu de ce que vous entendez par l'enrichissement de l'être humain, et de l'être humain, et puis, puisque l'heure, toujours grave et sérieuse, est au questionnement, puisque l'être humain est un être, faites comme les grands et vieux philosophes et fondez votre opinion, voyons voir... éventuellement sur une ontologie catégoriale ; Aristote, par exemple, l'a fait et il est, de fait, plutôt convainquant lorsqu'il parle de poétique, de métaphore, de catharsis, etc. (quoiqu'il vieillit un peu). Aristote n'est pas un français, Kant non plus, non plus que Hegel ou Heidegger... mais... ah, pardonnez ma maladresse, je m'égare, revenons-en à nos petits moutons et ne nous occupons pas de l'herbe qu'ils broutent et des conditions grâce auxquelles ils peuvent brouter cette herbe. DONC LIRE OU NE PAS LIRE TELLE EST LA QUESTION  Surprised 
 
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Art. Ri a écrit:
ce qui est symptomatique, outre ce si chauvin anti-chauvinisme, qui condamne je ne sais quelle french touch de la lecture pour je ne sais quelle raison absconde, ce qui est symptomatique, je crois DE NOTRE OCCIDENT CONTEMPORAIN (aristocrates et bobo du 16ème siècle, indignez-vous) c'est cette haine de la hiérarchie, cette vision si plane, si égalitariste, si démocratique, si confuse, si relativiste (je n'ose dire progressiste) des valeurs : la lecture, une expérience comme une autre, soit, mais alors, dites-moi ce qu'est une expérience et une valeur ; et puisque l'heure est grave et sérieuse, parlez-moi un peu de ce que vous entendez par l'enrichissement de l'être humain, et de l'être humain, et puis, puisque l'heure, toujours grave et sérieuse, est au questionnement, puisque l'être humain est un être, faites comme les grands et vieux philosophes et fondez votre opinion, voyons voir... éventuellement sur une ontologie catégoriale ; Aristote, par exemple, l'a fait et il est, de fait, plutôt convainquant lorsqu'il parle de poétique, de métaphore, de catharsis, etc. (quoiqu'il vieillit un peu). Aristote n'est pas un français, Kant non plus, non plus que Hegel ou Heidegger... mais... ah, pardonnez ma maladresse, je m'égare, revenons-en à nos petits moutons et ne nous occupons pas de l'herbe qu'ils broutent et des conditions grâce auxquelles ils peuvent brouter cette herbe. DONC LIRE OU NE PAS LIRE TELLE EST LA QUESTION

Je suis assez d'accord avec ce que tu dis Art. Ri, même si je pense que la "haine de la hiérarchie" ne va pas sans un propension extrême à la hiérarchie (l'art du classement, de la note, des tops, des têtes de gondoles, etc. est assez développé). Après, je pense qu'avec ce genre de regard, l'on tombe nous-même dans l'égalitarisme forcené dont tu parles et que c'est un peu le risque lorsqu'on veut faire un diagnostic, même grossier, d'une situation (encore plus lorsqu'on parle de l'OCCIDENT CONTEMPORAIN).

Quant à ce que tu dis par ailleurs, ça me fait penser à ce que dis Walter Benjamin dans les Passages Parisiens (si mes souvenirs sont bons) et qui parlait d'un infléchissement du cours de l'expérience (quelque chose comme "le cours de l'expérience à chuté").

Après, je pense que le débat sur la nécessité ou non de lire n'est pas très pertinent, il implique forcément des pétitions de principe et des préjugés. La langue n'apparaît pas que dans les livres et je pense qu'on peut très bien la manipuler à l'écrit simplement en ayant baignée dans un monde oral assez vif et revigorant... Je ne sais pas.
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