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 [Avis ME] Kirographaires : je suis édité! Mais, que faire???

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SergentMajor
   
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SergentMajor  /  Pour qui sonne Lestat


Avec au moins un vrai contrat.

Si je ne rencontre jamais l'éditeur

S'il me demande la liste de mes proches

S'il imprime "A la demande"

Si aucun sur ses centaines de bouquins, depuis les années qu'il exerce, n'a jamais été vendu

Si je ne retrouve jamais aucun de ces centaines de bouquins chez un libraire

S'il n'y a pas de diffuseur

S'il n'a aucune stratégie commerciale à part la fameuse liste de mes proches

Je ne signe pas!

Je n'ai pas posté mes écrits, non.

Mais tu sais, que j'écrive comme un pied ou comme Balzac, ce n'est pas ça qui compte pour un éditeur.
Il faut comprendre que l'éditeur n'est pas un gentil mécène. C'est un homme d'affaire qui a des comptes à rendre à ses investisseurs. Il s'en fout de la qualité de ta prose, c'est combien ça va rapporter sa principale préocupation.

Tu peux être le nouveau Hugo, si tu n'es pas "dans le bon réseau", c'est Loana et Ségolène Royal (dont les bouquins sont en plus écrits par des nègres!) qui seront éditées, pas toi!

On vit dans un monde ou la télé poubelle et la médiocrité commerciale vendent plus que le génie inconnu.
C'est comme ça!

Je ne baisse pas les bras, cependant. Je continue à écrire pour mon plaisir. Certains auteurs sont sortis du néant quelquefois, c'est donc que c'est faisable, malgré tout.
Si je suis éditée un jour, ce sera la cerise sur le gâteau, mais ce n'est pas non plus une fin en soi. C'est d'ailleurs ce qui me sauve des pseudo éditeurs, je crois.

Je vais te paraitre arroguante et cellective à outrance sur le choix des gens à qui j'accorde ma confiance, mais j'estime que mes livres méritent mieux qu'un parfait inconnu que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam et qui n'a pas fait ses preuves à mes yeux.





Dernière édition par SergentMajor le Dim 9 Sep 2012 - 11:50, édité 6 fois
 
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monilet a écrit:
C'est vrai : j'ai un "mal de chien" avec mes novellas.

P.S. : j'ai donc eu raison de te titiller un peu,moi aussi Wink
Oui, ce n'est pas parce que j'ai un sale caractère qu'il ne faut rien me dire.
D'ailleurs, c'est aussi Quia qui m'a fait réfléchir sur le sujet car j'étais un peu vexée qu'elle me fasse faire un amalgame que je n'avais pas en tête.
Surtout pas.
J'ai rencontré quelques petits éditeurs passionnés (pas par ce qui m'attire moi en littérature, d'ailleurs ) et tirant le diable par les cheveux. C'est comme dans tout secteur économique. Y'a des petits qui souffrent. des pas sérieux qui arnaquent, des gros qui sont efficaces, mais peut-être trop impersonnels, des qui ferment et que c'est injuste, des qui ferment et que c'est pas une grosse perte...
c'est aussi une rencontre je pense entre deux personnes, l'édition d'un roman. Faut que les deux y croient, s'investissent à 1000 % pour que le mariage soit parfait. D'où ma très forte réticence vis à vis de boites comme Kiro où je rejoins l'avis de Sergentmajor. Mais une belle rencontre qui porte ses fruits, ca, ça peut se faire aussi bien dans une grosse que dans une plus petite structure... la première aura les moyens, la seconde le temps pour faire vivre le titre...
 
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À SergentpMajor:
Excuse-moi, mais,oui tu m'as l'air plus qu'arrogante. Et rassure-toi, tu ne rencontreras jamais d'éditeur avec des propos comme ça. Effectivement les éditeurs sont des pourris et l'écrivain qui arrive est le messie qu'ils attendaient depuis des siècles.
Avec des propos comme ça sur les éditeurs, je comprends qu'ils n'aient rien à faire des auteurs qu'ils publient. Si pour toi la relation entre éditeur et auteur est affaire de haine et de combat permanent pour moi ça ne l'est pas. Il ne faut pas s'étonner de l'indifférence de certains éditeurs avec certains auteurs aussi imbus de leur importance.
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SergentMajor
   
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j'aurais en tout cas plus de chances de trouver un vrai éditeur qu'en étant passée par Kirographaire et consors :mrgreen:

Et mes propos ne s'adressent nullement aux éditeurs.

Ils s'adressent à Kirographaire et consors qui pour moi ne sont absolument pas des éditeurs :mrgreen:

Si le contrat n'a pas le code NAF 221A, ce n'est même pas un contrat d'édition, c'est un contrat commercial car seuls les vrais éditeurs possèdent le NAF 221A (Et par parce qu'ils sont les voisins de Sherlock Holmes Wink )


Pour le véritable monde de l'édition et son côté commercial, hélas, il suffit d'aller dans les rayons de la fnac pour en faire l'amère constat.

Mais, il y aussi de la place pour nous, pauvre auteurs en mal d'éditeur, seulement elle toute toute petite et il faut parfois des années avant de la trouver. Mais elle existe.
Ce dont je suis certaine, c'est qu'elle n'est pas chez Kirographaire et consors.

Je n'ai pas de conseil à donner et chacun fait ce qu'il veut, mais, avant de signer, je vous invite à faire votre propre enquête (comme moi) et nottament à visiter le site de tout.pour.auteur.free.fr (désolée je ne sais pas mettre le lien :mrgreen:).

Il décortique les arnaques et les contrats des éditeurs "à la demande" et met au passage un vrai contrat d'édition.

Comme ça vous pourrez comparer les contrats Korigraphaire et consors avec un vrai contrat d'édition et avec d'autres "à la demande" (ils sont tous du même acabit) et signer en toute connaissance de cause.

(Non, non, ce n'est pas mon site Laughing J'ai trouvé celui-là mais on peut en trouver d'autre en lançant une recherche "contrat d'éditon (à la demande, à compte de ceci ou de celà), décortiqués ou expliqués")

 
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Juste une définition légale trouvée au hasard de mes lectures ( là, exactement)

L’article L. 132-1 définit le contrat d’édition comme : « le contrat par lequel l’auteur d’une oeuvre de l’esprit ou ses ayants droit cèdent à des conditions déterminées à une personne appelée éditeur le droit de fabriquer ou de faire fabriquer en nombre des exemplaires de l’oeuvre, à charge pour elle d’en assurer la publication et la diffusion. »

Kiro ( et d'autres encore, ce n'est la seule boite à procéder ainsi) ne propose donc pas tout à fait des contrats d'édition en bonne et due forme en laissant la charge de la diffusion à ses auteurs...
Deux hommes avertis en valent mieux qu'un... une fois bien informé, chacun peut décider de ce qu'il veut.
 
Pêche Melba
   
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Je suis bien d'accord.

Mes premières nouvelles ont été publiées dans des fanzines. Je n'y gagnais rien d'autre qu'une poignée de lecteurs et des exemplaires gratuits, toutefois les choses étaient claires et je n'ai jamais déboursé un centime. L'initiateur du projet faisait ça de façon bénévole, se démenait pour exister dans les salons et vendre quelques exemplaires à 2euros pièce à ceux qui s'intéressaient au projet.
J'en ai publié deux dans des supports pro (contrat avec deux voire trois exemplaires gratuits+quelque chose comme cinquante euros).

Dans les deux cas, les choses étaient clean et je n'ai jamais eu à mouiller ma chemise pour me promouvoir, même à moindre échelle (bon, on n'est pas tout seul dans une anthologie, hein, faut rester modeste...). Mais NE PAS payer pour être édité est une règle d'or, c'est même la preuve que notre travail intéresse quelqu'un.
Pour ma part, et j'en ai fait le choix il y a longtemps quand j'ai commencé à écrire, tout ce que je suis prête à fournir est mon texte et rien que mon texte. Je ne donnerai ni liste de contacts, ni temps à faire le job du diffuseur, encore moins de l'argent. C'est pas mon job.

Si je dois rester dans l'oubli et mes textes avec moi, tant pis.

J'ai lu quelques réactions épidermiques à ce que je considère pourtant relever du bon sens, même si chacun est libre de ses choix.

JeBookine, tu parles d'arrogance. Sans vouloir te fâcher : de celui qui pense que son texte doit être publié à n'importe quel prix (y compris en piochant dans ses deniers personnels) OU de celui qui est prêt à revoir sa copie cent fois, à ramer et à accepter finalement de ne jamais être publié par des gens qui connaissent leur métier, je me demande bien qui est le plus arrogant.
 
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Ni l'un ni l'autre. Un auteur ne doit pas payer pour se faire publier. J'ai juste l'impression que certains JE prennent l'éditeur pour l'ennemi suprême, c'est ce que m'inspire les propos de Sergentmajor.
Il y a d'autre relations possibles entre éditeurs et auteurs que de partir en guerre contre l'editeur. Si on demande à un auteur de faire un peu de com sur son livre, je pense qu'il peut le faire.
Je trouve que certains ont une vision très archaïque des relations auteur/éditeur.
Il y a des auteurs qui se battent, il y a des éditeurs qui se battent pour essayer de faire bouger les choses. Si personne ne se bouge, l'auteur restera le parent pauvre de la littérature.
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Clementh
   
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Je soutiens à 100% les paroles de jeBookine...
 
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Au contraire, l'éditeur n'est pas l'ennemi, c'est un partenaire très important car il prend le risque financier. Cela implique qu'il ne prenne pas l'auteur pour ce qu'il n'est pas. Il n'a pas à se taper toute la com' pendant que l'éditeur se contente de l'afficher dans un coin de son site et de dire "ça y est, j'ai fait ma part, à toi de jouer mec".

C'est vrai, l'auteur s'implique dans la promo de son bouquin en étant présent dans des salons, en faisant l'effort d'aller signer en librairie MAIS ce n'est pas à lui de démarcher pour provoquer l'événement et encore moins à lui de payer pour avoir un stand. Tout cela est organisé par l'éditeur qui chapeaute le plan marketing. C'est d'ailleurs l'intérêt d'avoir un éditeur, dans le cas contraire, autant s'auto-éditer. Tu raques, mais au moins tu récoltes toutes les billes de ta peine (même s'il n'y a pas beaucoup de billes...)

Je ne dis pas que toutes les maisons d'édition sont dans ce cas. Loin de là. Mais celles qui vont se bouger pour promouvoir un auteur sont celles qui sélectionnent drastiquement les manuscrits, c'est une loi de cause à effet.
Il faut qu'ils trouvent ça bon pour contacter les libraires, obtenir une tête de gondole (le rêve! bon ça dépend des ventes, aussi), organiser la venue d'un auteur, investir dans un espace dans les salons, etc...
C'est du temps et de l'argent !

Alors quand une boîte apparaît (ce qui suppose qu'elle ne s'est pas encore faite une santé financière) et déclare qu'elle s'apprête à publier cinquante manuscrits par an, j'ai un doute...

 
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D'accord avec le dernier message de Pêche Melba.
Maintenant, prenez un éditeur qui décide que la part qu'il touche sur le livre sera sensiblement la même que celle que touchera l'auteur. Dans ce cas-là je pense que l'auteur peut faire des efforts quant à la promotion de son livre.
Quant à un nouvel éditeur qui décide de publier 50 œuvres (originales) par an, je doute un peu du suivi.
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Vous prenez toujours les éditeurs en mauvaise part, mais pas mal d'auteurs sont des têtes à claques.
 
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Clementh a écrit:
Vous prenez toujours les éditeurs en mauvaise part, mais pas mal d'auteurs sont des têtes à claques.

Personne ne prend les éditeur en mauvaise part, je parle évidemment des vrais éditeurs : ceux qui appliquent le contrat d'édition à compte d'éditeur.
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De toute manière le monde n'est n'y noir n'y blanc du côté des éditeurs comme des auteurs, il faut juste faire la part entre un véritable contrat d'édition à compte d'éditeur et un contrat commercial à compte d'éditeur. Après j'ai envie de dire : Chacun sa vie, ses chemins, ses amis, ses amours et ses emmerdes. On demande notre avis et si ça plaît pas et que la dite personne ne veut pas en prendre compte et bah tanpis mais faut pas venir pleurer après. Ecrivain ne fait pas vivre beaucoup de personne c'est bien connus, alors autant mûrir, attendre, s'offrir une bonne chance que de ce jeter sur le premier (éditeur ou éditeur commerçant) venu pour dire : Hé les gens je suis édité.
 
SergentMajor
   
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jeBookine a écrit:
J'ai juste l'impression que certains JE prennent l'éditeur pour l'ennemi suprême, c'est ce que m'inspire les propos de Sergentmajor.
Il y a d'autre relations possibles entre éditeurs et auteurs que de partir en guerre contre l'editeur. Si on demande à un auteur de faire un peu de com sur son livre, je pense qu'il peut le faire.
Je trouve que certains ont une vision très archaïque des relations auteur/éditeur.
Il y a des auteurs qui se battent, il y a des éditeurs qui se battent pour essayer de faire bouger les choses. Si personne ne se bouge, l'auteur restera le parent pauvre de la littérature.

Encore une fois, je ne fais pas le procés des vrais éditeurs, seulement des pseudo-éditeurs qui foisonnent sur internet. Ceux sont eux les ennemis des auteurs. Twisted Evil

Et dire que l'éditeur est un investisseur qui met de l'argent sur un livre en espèrant le vendre, rentrer dans ses frais et faire un bénéfice, n'a rien d'insultant, bien au contraire, je rêve de le trouver celui-là! (Pardon si je me suis mal fait comprendre, j'ai tendance à l'exagération. Embarassed )

Un vrai éditeur est celui qui fera tout son possible pour mettre ton livre en lumière. Pour le faire sortir de ton tiroir, lui donnait une visibilité et le faire connaitre du public.
Libre ensuite au public de l'acheter ou pas. Là dessus, ni l'auteur ni l'éditeur n'a de contrôle. Et si ton livre ne se vend pas, alors tu pourras te poser des questions sur sa qualité.

Mais prétendre que ton livre sans publication (si ce n'est à la demande) et sans présence papier dans les libraires, aura une visibilité et que le public saura qu'il existe alors qu'on ne misera pas un centime dessus, qu'on n'a même pas de diffuseur, et qu'on se permet de demander à l'auteur de "venir avec ses clients", ça n'a pour moi rien à voir avec l'édition.

A quoi sert de sortir ton livre de ton tiroir pour l'enfermer pour toujours dans celui de Kirographaire et compagnie?

Mise à part le plaisir d'avoir un exemplaire dans ses mains et d'en avoir vendu quatre à sa famille et ses amis, je ne vois pas l'intérêt...si ce n'est celui de Kiro et cie, bien entendu :mrgreen:

Une arnaque n'est pas seulement financière. Dans un contrat avec Kiro et compagnie, l'auteur n'aura certes pas perdu d'argent, mais il aura perdu son temps, ses illusions et pire que tout son livre. No

C'est ça que je trouve ignoble.














 
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"Mais prétendre que ton livre sans publication (si ce n'est à la demande) et sans présence papier dans les libraires, aura une visibilité et que le public saura qu'il existe alors qu'on ne misera pas un centime dessus, qu'on n'a même pas de diffuseur, et qu'on se permet de demander à l'auteur de "venir avec ses clients", ça n'a pour moi rien à voir avec l'édition. "
D'accord avec ça.
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