Volte a écrit:

Bon et bien la passe-miroir aura tenu 4h30...

J'ai plus rien à lire.

Aha, je te comprends, moi aussi je l'ai séché en très peu de temps ^^ C'est toujours aussi sympa.

Et du coup, puisque j'en entends tout le temps parler ces derniers temps, j'ai commencé La servante écarlate. C'est sûr, ça va envoyer du lourd.

Récemment:
Lindsay Lee Johnson - L'endroit le plus dangereux du monde. C'est pas mal mais c'est pas exceptionnel non plus
Agatha Christie - ABC contre Poirot
Ernest J. Gaines - Colère en Louisiane. Puissant

Je me lis sinon dans le même temps
Pete Fromm - Lucy in the sky
Jim Harrison - En marge

Passion marque ta page et lectures éparpillées:

Je me suis dit si j'en termine au moins trois rapidement, je rejoins le JE bouquine...
C'est pas gagné !
faudrait réveiller un peu ce topic dites !
Vous lisez quoi ?

Ha ha, j'ai arrêté d'en lire plus de deux à la fois... en essayant même de les lire un par un.

Je sors de Récits en peau de hérisson de Svetoslav Minkov, dix neuf nouvelles écrites durant la première partie du vingtième siècle, toutes un peu cocasses, parfois fantastiques, parfois frôlant la science fiction, parfois caricaturales. Ça m'a fait penser aux nouvelles de Roald Dahl, mais en moins noires, avec un humour plus pince-sans-rire.

Là je commence La forêt des pendus de Liviu Rebreanu, un classique de la littérature roumaine, sur fond de première guerre mondiale et de chute de l'Empire Austro-Hongrois.

Et à partir de demain, je vais devoir entamer Volodine.

Depuis un mois je commence des livres sans les finir. Quelle idée en même temps de ne démarrer que des pavés gigantesques : La Famille Royale, le Silence et le Livre de l'Intranquilité !

Je pense que je vais lire Oui-Oui.

Roman russe a écrit:

Après : Suite française, Némirovsky, La Guerre de la fin du monde, Vargas Llosa, et... Pseudo. PEUT-ÊTRE.

J'ai donc lu... rien de tout ça.

À la place : fini Memory, Sorrow, and Thorn qui, mouais, bof, pas trop mal parfois et parfois mauvais. Ça fait l'job pour l'avion et le bus. Relu La Chatte, de Colette, qui est un roman bizarre, bon though, comme tout Colette (en tout cas, tout ce que j'ai lu jusqu'ici). Une après-midi au soleil près d'un lac plus tard, Instrument des ténèbres, Nancy Huston, grossièrement décevant. L'Évangile selon Jésus Christ, des deux bouquins lus de Saramago, il est très constant, il y a des passages qui bordent l'exceptionnel, et puis, finalement, ça ne va pas jusqu'au sublime. Enfin, c'est très très solide, j'aime beaucoup, c'est un plaisir de le lire. Lu le dernier Hervé Le Tellier, Toutes Les Familles heureuses, et, mh, lisez plutôt Assez parlé d'amour, c'est bien meilleur. Parmi les choses que j'avais en vue depuis un bout : Roman avec cocaïne, M. Aguéev, globalement pas à la hauteur, même si j'ai quand même pas mal aimé... juste un peu plat, dans le sens des platitudes. Et Parlez-moi d'amour (décidez-vous !), aka Beginners, aka What We Talk About When We Talk About Love — enfin, là, c'est la version originale and in English du fameux recueil de nouvelles de Raymond Carver... décidément pas mon genre préféré, la nouvelle, j'ai donc apprécié en hochant la tête, garde quelques moments fameux dans le battant de ma machine à laver neuronale, oublierai le reste.

Côté régressif-l'été-est-fini : deux Gavalda pour deux nuits d'insomnie, ça tient compagnie, Les Mystères de Larispem tomes un et deux, par Lucie Pierrat-Pajot, moui, bon, Vango tomes un et deux, Timothée de Fombelle, chouette.

Sinon, je mélancolise à mon gré à travers L'Homme rapaillé de Gaston Miron, et l'Œuvre poétique, 1950-1990 d'Anne Hébert.

La fonction du balai, David Foster Wallace.

Spoiler:

J'ai lu Frappe-toi le coeur de Nothomb. Le thème m'a plu, ça se lit très vite. Parfois, c'est trop confus, l'histoire s'esquisse très vite, rien n'est vraiment approfondi, c'est dommage.
Puis Chanson Douce de Leïla Slimani, glaçant, mais sans en faire trop.

La fonction du balai c'était vraiment trop cool. Il faudrait faire des impressions d'écrans d'à peu près tout le livre.

Tiens, j'ai fini par prendre la pièce de théâtre Harry Potter à la bibliothèque.

Alors, je dois bien l'avouer, au cours des premières pages, j'ai parfois eu l'impression de lire une fan fic relativement cheap.

Mais ça s'améliore tout de même peu à peu, et en tant que suite officielle, j'ai très envie de connaître la fin désormais (ça se lit vite mais j'ai à peine le temps de lire quelques scènes par jour, alors ça traîne).

En revanche je me demande comment les théâtres se débrouillent pour mettre tout ça en scène :'-)

J'ai fini Le Maître des illusions, de Donna Tartt. Plutôt pas mal dans sa façon de retranscrire une ambiance, de singulariser des personnages pour mieux les démystifier ensuite et les faire tomber de leur piédestal.
Mais il y a beaucoup de longueurs. Vraiment beaucoup. Comme un remplissage de scène banales destinées à symboliser le passage du temps en attendant le prochain événement marquant.

Puis j'ai commencé Je suis un tueur humaniste, de David Zaoui. Euh, ouais. Le côté faussement naïf et enfantin doit être trop subtil pour moi, j'accroche pas.

Diversity in Disney Films Critical Essays on Race, Ethnicity, Gender, Sexuality and Disability, Johnson Cheu
Pour un séminaire sur la représentation, la Norme, l'Autre, qui a le pouvoir de voir et qui est vu
Pas mal de mes cours en Angleterre sont portés sur les questions sociales et les rapports de domination, là où en France, il y a un espèce de tabou

On writing de Stephen King.
Ou comment préparer son NaNo haha

Je viens de finir la promesse de l'aube et je suis en train de lire la vie devant soi : gros coeur sur romain gary