39.
C'est le nombre de versions de mon tome I à ce jour, produites en 8 ans.
Et quand je pense que j'étais déjà assez satisfaite à la 3ème...
Tout ça pour dire que je ne crois pas, mais alors pas du tout, à l'autocorrection. Que ce soit pour le style, la cohérence, et même l'orthographe et la syntaxe. Sans regards extérieurs, je pédalerais probablement encore dans la choucroute côté production.
Et j'imagine qu'on peut estimer que je pédale toujours côté ventes, dans le sens où je suis très loin de pouvoir en vivre.
Pour ma part, j'ai préféré changer mes objectifs plutôt que de perdre le plaisir que je prends à écrire - ce qui se produirait à coup sûr si je devenais une "travailleuse du livre". Mais chacun définit le mode de fonctionnement qui le satisfait le plus, évidemment.