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 SFFF : Fruit de l'égo ?

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Flora a écrit:
Quant au fait de faire passer des messages dans une civilisation fictive, ou lui transposer des problèmes contemporains, je pense que beaucoup d'auteurs le font le sans y penser, tout simplement parce qu'ils contribuent à rendre cette population plus crédible et plus intéressante.
Je suis d'accord.
Je n'aborde pas tel ou tel sujet pour faire passer un message particulier, c'est juste que mes thèmes de prédilection vont aussi bien en fantasy qu'en blanche. (Chaque fois que j'essaie du léger, ça ne marche jamais vraiment...  pale )
 
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La SFFF a ma préférence pour une raison très simple : je suis trop perfectionniste pour laisser passer des approximations/erreurs dans un texte réaliste et trop fainéante pour chercher des réponses à toutes les micro-questions de mon roman. Un exemple tout bête : dans un de mes écrits, mon personnage principal subit un grave traumatisme et décide de se rendre chez un psychologue. Je n'ai jamais été chez un psychologue et j'étais gênée de demander aux amis qui en avaient un comment se passait une séance, quels conseils il pouvait donner... alors que si j'écris cette scène dans un univers fictif, personne ne me dira "une séance ne devrait pas se passer comme ça" vu que tout se passe dans un univers imaginaire.

Mais c'est très personnel, je suis sûre que les autres ont des raisons plus solides :mrgreen:


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Shub
   
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Flora a écrit:
Un exemple tout bête : dans un de mes écrits, mon personnage principal subit un grave traumatisme et décide de se rendre chez un psychologue. Je n'ai jamais été chez un psychologue et j'étais gênée de demander aux amis qui en avaient un comment se passait une séance, quels conseils il pouvait donner... alors que si j'écris cette scène dans un univers fictif, personne ne me dira "une séance ne devrait pas se passer comme ça" vu que tout se passe dans un univers imaginaire.


C'est un peu une erreur. Tout dépend du climat général de ton roman sinon les erreurs ne passent pas inaperçues, surtout du genre visite chez des toubibs. Si c'est totalement imaginaire OK... Si tu es loin du réalisme ou de tout réalisme OK.
 
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Jo Ann : Donc pour toi lorsque le lecteur est poussé à faire un parallèle avec le monde réel, commun, c'est un fait involontaire ? Tu ne crois donc pas que l'écrivain en SFFF puisse être volontairement utile (au-delà du style, de l'évasion) ou bien simplement tu ne souhaites écrire de telle manière ?  

Flora : Haha oui je n'y avais pas pensé, il y a aussi de la simplicité. Effectivement c'est très pratique et amusant mais il faut faire attention à ces subterfuges, histoire de l'éloigner assez de la réalité !
 
Flora
   
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Disons que dans le cas d'une visite chez le médecin, par exemple, je peux me baser sur le petit écran ou sur des scènes glanées dans les bouquins pour écrire une scène "proche" de la réalité... mais je sais très bien que ça ne sera pas complètement réaliste, nous savons tous qu'on ne peut pas croire ce qu'on voit à la télé Wink J'aurais dans les mains assez d'éléments pour ça "passe" et mon imagination pour camoufler le reste.


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Flora a écrit:
La SFFF a ma préférence pour une raison très simple : je suis trop perfectionniste pour laisser passer des approximations/erreurs dans un texte réaliste
Quand je me suis lancée dans La Treizième Concubine (il y a dix ans), je n'avais pas l'intention d'écrire de la fantasy, c'est juste que ce que vivait l'héroïne était impossible dans notre monde actuel, ou alors très particulier (on doit avoir un ou deux pays où ça ne serait pas impossible). C'est de cette façon que je suis tombée dans la marmite de la fantasy, autrement, je me serais cantonnée à la littérature générale sans connaître l'infini des possibles.

Panthéon a écrit:
Jo Ann : Donc pour toi lorsque le lecteur est poussé à faire un parallèle avec le monde réel, commun, c'est un fait involontaire ? Tu ne crois donc pas que l'écrivain en SFFF puisse être volontairement utile (au-delà du style, de l'évasion) ou bien simplement tu ne souhaites écrire de telle manière ?
Je n'ai pas dit que c'est involontaire. J'ai dit que *moi* quand j'écrivais, ce n'était pas pour le message, mais que mes thèmes étaient les mêmes en SFFF et en blanche.
 
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Donc tu écris en te servant d'un thème comme pilier et le message vient après, ou pas (si j'ai bien compris).
Pour en revenir à la question de départ, ce thème va-t-il alors te servir à assouvir ton propre besoin d'un écrit précis, ou bien à présenter au lectorat un cadre pour mieux le faire s'évader/ce que tu veux ?
 
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Je n'écris pas pour faire passer un message, il n'y a pas de morale à la fin de mes histoires. Même basé sur des faits réels, le lecteur prendra ce qu'il voudra.
 
Le Condor des Andes
   
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Le Condor des Andes  /  Rapace du monde


Citation :
Les post sonnant un petit peu comme de l'orgueil ou du dédain (oui le "après, on pourra causer" passe mal)

Je veux bien le croire, mais je me permets de te signaler que tu récoltes ce que tu as semé. Il ne s'agit ni d'orgueil ni de dédain (pas mon genre) mais d'un réel et profond agacement à l'égard d'une certaine vision archaïque d'un genre littéraire que j'affectionne particulièrement et que je défends, cette vision archaïque que je retrouve à chaque ligne de ton post initial.

J'aurais pu répondre un simple "non" général et absolu. Je doute que tu aurais mieux apprécié. Mais tu l'aurais sans doute plus facilement ignoré.

En particulier, je vomis l'idée selon laquelle ces littéraires dites "d'imagination" sont faites avant tout pour "s'évader", "rêver", "sortir de la griserie du quotidien" ou que sais-je. Quand justement, la SF est probablement le genre le plus pessimiste et le plus politique de toute la littérature contemporaine. Quand ce qui fait le succès des productions les plus récentes de fantasy, c'est la complexité des personnages, de leurs interactions, de leurs motivations. Quand le fantastique se présente le plus souvent sous l'aspect de l'insécurité, du doute, de la crainte, de la peur, du danger, de la menace surnaturelle qui pourrait peser sur notre réalité.

Bref. Je pense que tu as faux sur toute la ligne en ce qui concerne ta vision de la SF, du fantastique, de la fantasy et de la littérature en général (telle que tu l'exprimes ici). Je pense qu'en lisant davantage d'oeuvre de ces genres - avec un regard naïf, dénué de préjugés - tu saisirais rapidement à quel point. Dès lors, il est difficile de discuter à partir d'un fossé aussi large... d'où le "après, on pourra causer".

Encore une fois, tu ne cherches sans doute pas à blesser ou à être blessé, mais c'est le jeu d'une discussion franche, on ne peut pas toujours être d'accord. Je préfère te dire franchement mon désaccord complet. Et comme on dit, "à force d'enculer les gens avec du miel, ils ont le cul qui fait ventouse".
 
Hiver
   
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Hiver  /  La Papesse


Je suis d'accord... pourquoi englober ces trois courants ? C'est un peu bête et réducteur.

Au niveau du Fantastique, je me permets de rectifier deux trois choses puisque ce pauvre courant du XIXe se prend bien trop souvent des gros et vilains clichés dans la tête. Et qu'il faut bien lui rendre justice de temps en temps.

Non, le fantastique n'a pas pour vocation première (ni unique) de faire s'évader le lecteur dans je ne sais quel monde merveilleux plein de créatures irréelles, tout ça tout ça.
Si ce courant emmène le lecteur quelque part c'est par le biais de frayeurs inexplicables que l'on peut justifier (tout le paradoxe et l'intérêt du truc) en partie par des découvertes faites à l'époque par des choses concrètes, scientifiques, liées au monde réel et à l'être humain (psychanalyse, somnambulisme et j'en passe).
Pour résumer brièvement avec de gros sabots -comme il est apparemment coutume dans ce sujet : il faut se détacher des idées reçues et des aberrations telles que "le réalisme est justement chassé, car il ne permet pas l'évasion".
Car si le fantastique existe, c'est en très grosse partie par la dose de réalisme que l'on y intègre. C'est l'un des ingrédients principaux (et indispensables) de ce courant. Si il n'y a que des faits irréels, que du surnaturel, alors c'est du merveilleux. Pas du fantastique. C'est tout.

J'ajoute même (pour rigoler grassement vis à vis de l'absurdité de certains propos) que des auteurs dits comme réalistes tels que Balzac ou encore Zola ont écrit des nouvelles considérées comme fantastiques. Surprised

Je te conseille d'aller lire des oeuvres d'Hoffmann, de Villiers, de Tarchetti ou encore de Poe (je cite ces auteurs mais il n'y a pas qu'eux) pour te faire une idée de ce qu'est vraiment ce courant, histoire de savoir un peu de quoi tu parles avant de déblatérer des âneries.
 
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Bon bon bon, Hoffmann et Poe, c'est déjà fait. Il ne me manque plus que Villiers et Tarchetti et je devrais pouvoir faire partie de la secte-des-gens-biens-qui-ont-une-idée-parfaite-de-ce-qu'est-le-fantastique. N'empêche à parler d'ânerie, c'est d'une sacrée violence verbale, je trouve, simplement pour me dire que je serai un terrible profane !

SFFF, c'est le terme qui revient le plus souvent lors des appels à texte. Je le reprends car il permet d'englober des genres différents mais similaires dans leur traitement de l'imagination.

Pour le reste ... C'est assez étrange en fait, votre réaction. Je dis justement que je m'ouvre à toute autre perception du sujet, et vous vous excitez parce que vous en avez une. Je pose une question, vous vous excitez comme des petits fous en brandissant simplement une réponse. Le Condor, je n'ai pas UNE vision, c'est seulement la vision qui ressort le plus dans mon entourage. Tu peux lui vomir dessus, c'est un fait, tout ce que j'attendais c'était justement que tu m'expliques - bon tu ne l'as pas vraiment fait, tu as juste critiqué l'idée que se font une majorité des gens sur ces genres, mais on va dire que ça me suffit. Ton premier message était donc totalement inutile, de même que la moitié du second; je ne vais pas te tirer les vers du nez pour une participation franche, pacifique, et constructive.

C'est aussi un peu de ma faute, j'ai été trop direct dans le premier message, et trop précis. Mais de là à avoir une telle réaction, ce n'est qu'un genre, qu'une idée. Et tant qu'à mettre de cette fougue, essayez de me convaincre judicieusement.


Dernière édition par Panthéon le Ven 13 Juin 2014 - 12:07, édité 1 fois
 
Jean-Jacques
   
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Jean-Jacques  /  Tycho l'homoncule


Avant de participer au débat, il me semble qu'il faille d'abord aborder la manière d'en tenir un. Je rejoins Panthéon dans son interrogation quand à une réaction si vive de la part de certains membres. Il ne demande - du moins le fait-il maintenant - que d'apprendre, n'est ce pas ? Et comment peux t-on se convaincre qu'on apprend aux autres en leurs tapant sur les doigts ? Qu'il manque de connaissances sur le sujet est peut être vrai, mais sommes nous nés en sachant nous essuyer les fesses ? La moindre des choses fut qu'avant de foncer tête baissé, il fallut commencer à connaitre un minimum Panthéon et donc le fond véritable de son questionnement avant d'en venir au constat de sa supposé bêtise (qu'au fond il ne semble pas avoir...).

En considérant que chacun verra son erreur de lui même, je passe donc au vif du sujet.

J'ai longtemps considéré la science-fiction dans tous ses genres comme quelque chose de désuet et sans intérêt. Puis j'ai lu Poe et j'ai compris qu'à travers le fantastique - comme tu l'expliques très bien Horritman, des choses de talents pouvaient se créer. Puis j'ai vu déferler devant mes yeux les Harry Potter, les Narnia, les Twilight, etc, etc et j'en ai conclu que la fiction en général était de la merde pour minette et dégénéré en manque de sensation, incapable de regarder en face la réalité. Puis par hasard, j'ai repris, cette fois grâce à Burroughs, puis ensuite grâce à K. Dick et de nouveau, j'aboutissais au lointain constat que la transposition d'éléments réels (et même d'éléments irréels) dans un univers imagé arrivait parfois à quelque chose d'une extrême intelligence.

Mais ce n'est pourtant pas pour ça que je soutiendrais la FFF, car mes préoccupations me poussent plutôt à parler clairement de ce que nous vivons, sans y changer quoi que ce soit, car il n'y a à mes yeux qu'une littérature du réel qui puisse nous sauver du réel. Se trouver un univers, un style d'écriture, une "patte", c'est pour moi saborder le plus important, le fond et je ne peux le concevoir. Burroughhs à beau m'avoir subjugué, je ne peux que clairement rejeté sa manière d'avoir accompli son œuvre, même si elle ne manque pas de panache et encore moins de génie.

Donc pour répondre aux questions que tu posais dans ton premier message, il est évident que dans le FFF, comme dans la littérature en règle général, on se fout prodigieusement de notre gueule. Mais pourquoi se gêneraient-ils de le faire, puisque des gens achètent ? Je dis et répète souvent qu'un écrivain doit écrire pour lui même et surtout pour y développer quelque chose de nouveau, ou du moins pour approfondir une connaissance préexistante, sans penser en aucune façon à la rançon de son travail. C'est état d'esprit amène souvent je pense à des produits de qualités, mais se trouve rarement chez l'écrivain, ainsi que dans une libraire... Mais dans le fond, celui qui perd le plus au change n'est jamais l'écrivain, du moins pas celui dont je parle. L'économie de masse à le don de réussir à uniformiser la pensée, comme dans une dictature en somme.

Au final, de la science fiction bien amené ne me dérange pas, voir m'intéresse et me passionne. Mais il est vrai que voir sa surabondance sur le marché, fruit d'éditeurs avides et de petites gens incapable d'imaginer l'acte d'écrire autrement qu'à travers leurs personnes, en découragerait plus d'un de voir le genre comme quelque chose d'intelligent et de sérieux et donc de s'y intéresser. Puis pour ceux qui voudrait me parler de la détente, je répondrai qu'il y en a bien assez comme ça et qu'il faudrait arrêter de voir l'acte de réfléchir comme une corvée. Mais tout ça, c'est personnel.
 
Le Condor des Andes
   
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Bah, en fait de violence verbale, on est plutôt bisounours, jusqu'à présent... certes, j'exprime mon avis de façon tranchée, mais faut quand même pas crier au loup dès qu'on commence à exprimer des contradictions, hein... Pantheon, tu as pris comme une attaque personnelle une réaction (virulente, certes) qui n'en était pas une : j'ai simplement dit que selon moi, tu ne connais pas ton sujet. Si ça t'a blessé, j'en suis désolé, ce n'était pas le but, je le répète.

Expliquer pourquoi je pense que tu as tort ? Je ne pourrais pas, parce que ce n'est pas une question de logique, d'explication, mais de connaissance globale du sujet, justement. Tes affirmations du premiers post me font le même effet que si tu venais me dire que la papesse Jeanne d'Arc a gagné la guerre de 1914 grâce à la supériorité aérienne des escadrons de la mort. "Non, c'est pas ça. Révise tes connaissances historiques."
(bon, en moins loufoque, certes, je sors d'une nuit blanche et j'ai du mal à trouver une comparaison qui colle mieux. Ne m'en tenez pas rigueur)

Maintenant, si ton but était de susciter des avis, des réactions, des positions, tu ne peux pas te plaindre  Razz 

Jean-Jacques, je n'ai pas la prétention d'apprendre aux autres (et je pense qu'on apprend mieux par soi-même). Juste d'exprimer mon avis. Que les autres le prennent comme tel ou comme une marque de dédain ou une tape sur les doigts, ça ne me concerne pas vraiment. Par ailleurs, il me semble que les ventes de la SF ne sont pas au beau fixe... on en avait parlé ici : Clique clique ! Pantheon, je me dis que tu devrais y trouver pas mal de matière à réflexion aussi, du coup.

Citation :
SFFF, c'est le terme qui revient le plus souvent lors des appels à texte. Je le reprends car il permet d'englober des genres différents mais similaires dans leur traitement de l'imagination.

Hé bah justement, là-dessus, on a peut-être l'occasion d'approfondir sur une question relativement restreinte. Selon moi justement, ces trois genres sont radicalement différents dans la manière dont ils "traitent" l'imagination. Tout comme j'estime que la littérature dite réaliste relève également d'un travail sur l'imagination. Ca explique pourquoi je tique quand on classifie tel ou tel bouquin en "Science-fiction-fantasy-fantastique" et tel autre dans "Réalisme-contemporain-critique-sociale".

Mais là, effectivement, vu que je pars en weekend, il serait compliquer d'aller plus loin... d'autant que mes messages sont inutiles, hein...
 
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Coucou
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Sethi  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Je ne suis pas d'accord... L'originalité ne doit pas être recherchée. On la trouve quand on écrit dans son propre monde. Même si nos personnages sont clichés, que la trame n'est pas inédite, si on se plait dans ce monde, qu'on le connais comme le notre et qu'on sait y amener le lecteur avec nous, alors c'est digne d'être lu.
Pas besoin de chercher a ce que ça ne sois pas pareil. Si c'est véritablement ce que nous voulons écrire, du plus profond de notre coeur, alors je penses que c'est ce qui est "juste".
J'ai du mal a me faire comprendre je penses...
http://lecrins.wix.com/l-ecrins
 
   
    
                         
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