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 [Outils] Une deuxième chance ?

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Invité  /  Invité


En tout cas, pour recevoir une réponse comme ça, la prochaine fois, je m'abstiendrai.

Bonne chance quand même.
 
bozdodor
   
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bozdodor  /  Bile au trésor


Moi, si je refuse le texte d'un auteur et qu'il me le renvoi après l'avoir retravaillé en prenant compte des remarques, alors je le relirai sans souci. Je ne pense pas être la seule à le faire.
http://www.editions-bozdodor.com
 
Pêche Melba
   
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Pêche Melba  /  Pour qui sonne Lestat


Et payer quelqu'un pour une réécriture (je ne parle pas de correction), ça ne choque que moi sur le principe ?
 
Kal'
   
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Kal'  /  Der grüne Fennek


Ca me choque aussi, mais bon, après on va me dire que je suis anti-Shub  Very Happy 
 
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Invité  /  Invité


Après réécriture, ce roman sera-t-il encore le tien ? Moi j'aurais l'impression d'avoir eu recours à un ghostwriter, et d'être juste le nom sur la couverture. Bof ! Ou une star du foot illettrée qui publie "ses" mémoires à 23 ans. On est très loin de la création, de l'écriture. Le principe me gêne beaucoup.
 
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C'est certain qu'on se rapproche du concept de "nègre littéraire".

Il faut l'assumer, ensuite.

Certains auteurs en font un métier (qui n'est donc pas celui de correcteur), et certains "écrivains" s'en accommodent fort bien.

A savoir que dans ce cas, le nègre littéraire touche une rémunération avant publication plus un pourcentage sur les ventes.
 
Pêche Melba
   
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Pêche Melba  /  Pour qui sonne Lestat


Ah, bon, je ne suis pas encore folle...
 
bozdodor
   
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bozdodor  /  Bile au trésor


Pêche Melba a écrit:
Et payer quelqu'un pour une réécriture (je ne parle pas de correction), ça ne choque que moi sur le principe ?

j'ai juste répondu à la question de départ. Après, je pense que ça dépend de la conscience de chacun. Certains s'en accommodent, d'autres pas. En tant qu'auteur, je n'aimerais pas qu'on réécrive mon texte, j'aurais l'impression que ce n'est plus le mien.
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Lourinki
   
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Lourinki  /  Barge de Radetzky


Entre la correction standard (orthographe, grammaire etc.) et la réécriture, il y a quand même un juste milieu, qui est exactement ce dont je rêve pour mon manuscrit : un conseiller professionnel (avec expérience dans une / des maison(s) d'édition), qui me dirait : "L'histoire est déséquilibrée, ce chapitre est trop court ou inutile, celui-ci mériterait d'être plus développé, cette partie de l'histoire est ch..., celle-ci est rigolote mais elle ne fait pas assez évoluer l'histoire centrale, etc." Pour moi il pourrait ne pas toucher à une seule lettre de mon texte, l'important serait qu'il porte sur lui un regard objectif, et se mette dans la peau du lecteur pro qui a reçu mon roman et s'apprête à le présenter (ou pas) à un comité de lecture.

J'ai l'impression de chercher le Prince Charmant !  :mrgreen: D'ailleurs, si il pouvait aussi être grand, blond aux yeux bleus... pardon, je m'égare !  Pompom girl
 
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Invité  /  Invité


Un bêta-lecteur, Lourinki, pourrait te convenir, en ce cas. Plusieurs, même, pourquoi pas ?
 
Granita
   
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Granita  /  Homme invisible


Comme toi Pêche Melba (comme vous tous(tes), plutôt), le concept de faire réécrire son oeuvre à un tarif discount me laisse perplexe.  pale 
 
Lourinki
   
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Lourinki  /  Barge de Radetzky


Coline a écrit:
Un bêta-lecteur, Lourinki, pourrait te convenir, en ce cas. Plusieurs, même, pourquoi pas ?
Les bêta-lecteurs sont souvent des potes qui lisent pas mal, mais ils ne connaissent pas les besoins et demandes d'une maison d'édition ! C'est pourquoi je suis assez attirée par la notion de "diagnostic de manuscrit" dont j'ai parlé sur un autre topic...
 
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Flotte en Mai  /  Petit chose


Il faudra te contenter de bêta-lecteurs. Parce que ce que tu demandes, c'est une sorte de script doctor. Certains excellents correcteurs font certainement ce travail, mais puisqu'ils sont efficaces et reconnus, ils ont déjà du travail et ils le réservent à ceux qui ont les moyens de payer leurs talents et qui ont déjà un niveau certain (donc probablement déjà édités). Je doute que ce soit très répandu en France cela dit : il faut les moyens, et il faut avoir l'envie et la conscience qu'un travail peut être amélioré par un tiers (je l'imagine plus au cinéma où la notion de travail d'équipe est tout de même plus répandue et acceptable).

Pour se faire corriger, il faut deux choses : soit avoir beaucoup de blé, soit avoir un bon carnet d'adresses. C'est comme tout, il y a un marché. Si un correcteur est bon, s'il propose des services qui améliorent considérablement la qualité d'une œuvre, sa valeur augmente et il n'est plus accessible à des "petits jeunes". Pour savoir qui est bon, il faut déjà être dans le milieu. C'est bien pour ça que le milieu, comme beaucoup d'autres, fonctionne en circuit fermé. Non seulement on peut être orienté vers des correcteurs reconnus proposant ce tu demandes (et encore une fois, s'ils existent ; des bêta-lecteurs professionnels quoi), mais en plus, quel que soit la qualité du produit initial, grâce aux relations, un pro acceptera toujours de travailler ou de donner un avis.

Il faut donc se satisfaire de ce que vous avez ici. C'est à vous de prendre contact avec des bêta-lecteurs (ou des correcteurs) dont vous avez suivi le travail pour leur réclamer quelques conseils. Et selon le principe du site, si j'ai compris, on vous le fera beaucoup plus facilement si vous-mêmes avez déjà offert vos services. Gratuitement. Ça revient à l'échange dont il est question dans le lien posté à la première page par Colline. Si on ne veut ni payer de sa poche, ni payer de son temps ou de son talent, pour recevoir en retour un service, il ne faut pas s'attendre à recevoir un service gratuit en retour. Et si on ne se sent pas capable de corriger, conseiller, donner des avis à d'autres jeunes écrivains, c'est tout simplement que vous n'avez aucune chance d'être écrivain. Vous voudriez être écrivain tout en vous sentant incapable de juger le travail d'autres jeunes écrivains ? Ça commence par ça. Si vous pensez le contraire, vous êtes dans un rêve. Au mieux vous permettez à des centaines de correcteurs de (sur)vivre, mais apparemment, il faudrait même que ceux-là, pour le travail produit, puisse le faire gratuitement. Eh ben, si tout est gratuit, à la fois la correction et la réécriture, que vous acceptiez que vos projets soient également libre de droit. Or la prétention du jeune auteur, c'est bien trop souvent, d'un côté de réclamer un travail approfondi sur ses textes qui soit totalement gratuit ("allez je te fais une fleur, tu vas pouvoir lire mon chef d'œuvre en exclu !"), et d'un autre, s'interroger sur les risques du plagiat. C'est pas compliqué, les meilleurs auteurs, parce qu'ils sont pros, savent reconnaître la valeur du travail d'un autre professionnel. Si on réclame la gratuité, on propose la gratuité. C'est une idée assez répandue qu'avec peu d'investissement, on peut gagner le jackpot. C'est vrai que quelques fois, c'est un jeu de loterie, mais si on veut faire les choses bien, on met toutes les chances de son côté : et ça se paie en temps et en argent. La qualité tombe pas du ciel.
 
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Invité  /  Invité


Lourinki a écrit:
Les bêta-lecteurs sont souvent des potes qui lisent pas mal, mais ils ne connaissent pas les besoins et demandes d'une maison d'édition ! 

Ce ne sont pas forcément des potes, non. Tu pourrais trouver ici des lecteurs non-complaisants, puisqu'ils ne te connaissent pas. 

Un lecteur de maison d'édition, c'est avant tout un lecteur... Ce qu'il attend, c'est d'abord un roman bien présenté, sans fautes, avec une syntaxe correcte. Ça, un correcteur te l'arrange. Ensuite, l'efficacité et la cohérence d'une histoire, n'importe quel lecteur aguerri peut les ressentir, ou non. En réalité, le problème n'est pas de trouver de bons lecteurs, mais des lecteurs qui sauront bien retranscrire leur ressenti. Il me semble que tu peux en dénicher ici. Il y a des commentateurs très affûtés.

Si tu veux connaître les attentes d'un lecteur de grande maison d'édition, je te conseille la lecture du livre de Bruno Migdal, Petits bonheurs de l'édition. Il y relate son expérience comme stagiaire chez Grasset, et chemin faisant, y pointe les faiblesses de la plupart des manuscrits. 

J'avais lu un article il y a plusieurs mois sur les "diagnostics littéraires" qui te font envie. Un journaliste en avait testé plusieurs, et le résultat n'était pas mirobolant. C'était un peu de l'argent jeté par les fenêtres.
Le comité de lecture fait cela gratuitement, sinon. J'ai testé, et c'est sérieux. Mais victimes de leur succès, il y a à présent une sélection et une liste d'attente.
 
Lourinki
   
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Lourinki  /  Barge de Radetzky


Flotte en Mai a écrit:
Si on ne veut ni payer de sa poche, ni payer de son temps ou de son talent, pour recevoir en retour un service, il ne faut pas s'attendre à recevoir un service gratuit en retour. (...) La qualité tombe pas du ciel.
Je n'ai jamais demandé de service gratuit, je fais allusion à un service payant (qui s'élèverait à 370 €, dans mon cas !) proposé par le site Enviedecrire.com. Mon post n'était peut-être pas très clair pris isolément, j'avais demandé d'éventuels retours sur leur offre de "diagnostic de manuscrit" dans un autre topic.
 
   
    
                         
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