Une fille comme les autres de Jack Ketchum.
Le roman raconte l'histoire horrible d'une jeune fille qui se fait torturer à mort par sa tante et ses enfants. L'auteur saisie tellement bien la psychologie des personnages que sa fait froid dans le dos mais c'est tellement bien écrit que tu ne peux pas t'arrêter. A la fin du livre, j'étais déjà dans un drôle d'état puis j'ai regardé les toutes dernières pages du bouquin où l'auteur expliquait que c'était une histoire vraie et qu'il n'avait pas tous dit car il y avait des détails trop horrible. Ça a finis de m'achever.

"L'Homme révolté" d'Albert Camus

Un classique de l'Existentialisme qui malheureusement sombre dans l'oubli populaire et se mortifie dans les programmes scolaires.

"Les Frères Corses" de Dumas.

Lu pour les cours à la base, mais il m'avait... marqué !

Hemingway, Un tramway nommé désir
Montaigne : que c'est beau !
L'oeuvre de dieu, la part du diable, Irving

Si c'est un homme de Primo Levi. C'est la seule et unique fois ou un livre m'a tiré des larmes.

Ba perso Si c'est un homme m'a interesser pour le coté témoignage je dis pas mais j'en garde un souvenir plutôt négatif, un peu comme le journal d'Anne Franck... L'écriture ne m'a pas porter, ça m'a limite ennuyer... je ne me souvient même que ça ai été sobre en faite, je l'ai lus par obligation, j'ai apprécié le témoignage et il ne m'en reste presque rien... pourtant c'est un sujet qui me touche.

Une oeuvre qui m'a marquer sur le sujet : Maus, une BD hybride, un homage familiale, une interogation filiale, une histoire individuel qui devient universelle...
Mais aussi les Disparus de Mendelshon, pour sa quête, son écriture, sa façon de passer de son histoire perso à sa recherche et au analyse de la bible...

Cosmétique de l'ennemi d'Amélie Nothomb. La chute est si imprévue et si perverse. C'est un des rares livres que j'ai reposé sur ma table de chevet avec une sensation de malaise.

Je plussoie aussi pour Primo Levi. Je crois qu'il n'y a pas meilleur livre pour décrire l'enfer des camps de la mort et la cruauté dans laquelle peut plonger l'ame humaine.
Dans un registre plus léger mais pas sans rapport, l'un de mes livres préféré est " Le cercle littéraire des amateurs d'épluchure de patate" d'A Shaffer. J'aimerais un jour pouvoir écrire un livre aussi accompli. L'auteur parvient non seulement à mettre en avant un style assez rebarbatif qu'est le roman épistolaire, mais aussi à manier l'humour et le réalisme de maniere si subtile que l'on sort de ce roman avec un sourire bouleversé. Ce roman décrit l'amitié entre une écrivaine londonienne en quête d'inspiration et un cercle de lecteurs improvisés de l'île de Guernesey, qui a été le seul territoire anglais (ou l'un des seuls, je ne suis pas sure) à avoir été occupé par les allemands durant la seconde guerre mondiale.
Et enfin, dans un tout autre registre par contre, deux oeuvres m'ont particulierement marquée : "L'assommoire" et "Au bonheur des dames" d'Emile Zola. Le premier m'a rendue malade, le second a exacerbé mon romantisme (qui n'en demandait pas tant).

Le Pacte des Marchombres. L intégralité de la saga ma littéralement transportée ! Je ne saurais assez le recommander.

1984, de George Orwell

Faux. Cyrano de Bergerac, d'Edmond Rostand. Définitivement.

Faudrait que je lise d'autres choses d'Edmond Rostand, tiens.

Le Capital de Karl Marx...
Bon je rigole mais c'est pas totalement faux en fait.  

En fait j'ai un faible dans la littérature pour les personnages à la naïveté désarmante, donc Bartleby de Melville et Monsieur Plume d'Henri Michaux. Je rêve d'en créer un comme celui-là...
Mon prochain roman sans doute...

Les liaisons dangereuses.

Gatsby, le Magnifique de F.Scott Fitzgerald.

Le Joueur d'échecs de Stefan Zweig.

Le sujet et l'écriture sont incroyables. D'ailleurs ça me donne envie de le relire !