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 [Contrat d'édition] Votre avis

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Paul.Art.Bear
   
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Paul.Art.Bear  /  Autostoppeur galactique


Merci Aventador. Je précise juste que c'est Ikor Edition qui a mis fin aux négociations, pas moi (j'ai jusqu'au bout tenter de négocier, mais je paie pour les échanges houleux sur le forum... J'assume : c'est moi qui ai lancé le sujet, ça a dérapé, tant pis.). Je vais viser d'autres éditeurs ayant fait leurs preuves.
 
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Float  /  Tapage au bout de la nuit


Eh ben, vous n'avez pas froid aux yeux. Y a tentative de viol et vous remerciez le type en lui disant "peut-être une autre fois, il faut que j'y réfléchisse". 


Citation :
En revanche traiter quelqu'un qu'on ne connait pas d'escroc, d'arnaqueur est bien le signe d'un problème qui va bien au delà de l'échange éditeur/auteur.





Ah parce que pour traiter quelqu'un d'escroc il faut tout connaître de sa vie ? Méthode d’escrocs = escroc. Si vous buvez du thé ou du café changera rien à l'affaire. Et un commerçant qui se fait passer pour un éditeur, qui se vante de ne faire aucun travail éditorial, qui s'inscrit sur un forum en demandant à ce qu'on ne fasse pas attention à ses fautes d'orthographe, qui prend bien le soin de ne pas répondre aux questions qui fâchent, oui, ce sont des méthodes d'escrocs. "Même les escrocs ont besoin de vivre" vous me direz. 


Citation :
Je serais prête à parier que derrière ce profil anonyme il y a autre chose qu'un simple internaute. En général la haine traduit plusieurs sentiments : la jalousie, la rancoeur, l'envie.





Quelle perspicacité dites donc ! Derrière un simple internaute se cache une vraie personne ! Comme c'est étonnant... Et une personne qui supporte pas les petits escrocs dans votre genre. C'est les plus crapuleux. Ils s'entourent d'avocats pour rester toujours dans les clous, ne jamais se mettre à la faute. Vous êtes de la race de ces vendeurs indélicats qui font les portes des vieilles bonnes femmes pour leur vendre n'importe quoi. Bien sûr, chacun doit vendre sa soupe. Il semblerait malgré tout que vous trouviez beaucoup de clientes dans le coin. "Dites-le avec des fleurs..." "hum elle est tellement gentille, elle peut pas me vouloir du mal." L'attribut numéro un de l'arnaqueur, c'est sa sympathie. Et vous n'en manquez pas. Bravo. 

Citation :

qu'apportez-vous au prétendant à l'édition ? pour ça, il y a ce fil et la possible expérience de l'ami Paul.Mais il y a aussi sa propre analyse de vos clauses et surtout, de votre maison.




Le coup des fleurs et le sourire niais ça fait son effet... Elle ne veut pas y répondre. Quand on choisit les questions auxquelles on veut répondre, c'est qu'on omet volontairement les autres parce qu'elles nous gênent. C'est compliqué à comprendre ?

Le petit chaperon rouge a écrit:
Ca doit être fatiguant de voir le mal partout.




Ça fait moins mal au cul, au final.
La fée clochette a écrit:

Malheureusement, il existe un fort pourcentage de personnalité paranoïaque : méfiance envahissante, la personne s'attend à ce que les autres se servent de lui, lui nuisent ou le trompent, elle discerne des significations cachées, menaçantes dans des discussions même anodines, réagit par l'agressivité, l'injure...
Ce type de personnalité est très pénible pour les autres, établit un malaise et plombe tous débats d'idées.
Heureusement, la jeune femme de chez Ikor édition a l'air d'avoir la tête sur les épaules et de ne pas de formaliser outre-mesure, le mieux étant d'ignorer les élucubrations pitoyables de Float.




Relisez le sujet. Vous attendez de vous faire violer pour commencer à être méfiante ? Quand on pose des questions et qu'on y répond pas, ça vous met pas sur la voie ?


Madonna a écrit:
Ikor éditions a eu le courage de répondre à quelques interrogations, le fair-play de ne pas répondre aux attaques gratuites.




Oui, c'est le "quelques" qui pose problème. Et ça ne fait pas "des autres questions" des attaques gratuites. Quand on se pose des questions sur un contrat, toutes les questions sont légitimes.
Paul a écrit:

(j'ai jusqu'au bout tenter de négocier, mais je paie pour les échanges houleux sur le forum...



Nouvelle preuve du sérieux de cette boîte. Ils vous ont répondu quoi par mail ?
 
Fabienne Kisvel
   
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Fabienne Kisvel  /  Clochard céleste


Bonne chance Paul, nous sommes tous à la recherche du graal et l'entraide, le partage des idées restent ce qu'il y a de plus bénéfique, même si, hélas, parfois, il y a quelques dérapages...
https://www.facebook.com/FKisvel-Auteur-111657178897704/
 
Paul.Art.Bear
   
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Paul.Art.Bear  /  Autostoppeur galactique


Je ne dirai pas ici ce qu'ils m'ont répondu par mail. C'est privé. Merci de votre compréhension.

Je pourrais être en colère, mais ma vie est ailleurs alors j'essaie de relativiser. Je ne vais pas en faire tout un plat.

Je suis déjà édité en numérique et les retours sont très positifs. Je ne me fais pas de souci sur l'avenir de mon roman.
 
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Float  /  Tapage au bout de la nuit


Recherche du graal... Belle conception de l'écriture. Et c'est moi qui ai des délires paranoïaques ? Arrête de croire que c'est du miel. Regarde l'inscription sur le pot : y a inscrit "vaseline."
Citation :

Je ne dirai pas ici ce qu'ils m'ont répondu par mail. C'est privé. Merci de votre compréhension.

Si c'est privé pourquoi l'avoir évoqué ?
 
Paul.Art.Bear
   
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Paul.Art.Bear  /  Autostoppeur galactique


Je l'ai évoqué car certains ont demandé des nouvelles. Ce qui est normal : on a tous envie de connaître la fin du feuilleton. J'y ai répondu. Je ne m'étalerai pas davantage.

Le sujet de ce topic devait se limiter au départ à de simples commentaires sur un contrat. Ca a dérapé vers une discussion houleuse mettant à mal l'éditeur, ce que je ne souhaitais pas (au départ, le contrat était anonyme). C'était le risque sur un forum public. Était-ce une erreur de ma part ? Peut-être. Mais je n'ai pas l'impression d'avoir raté ma chance, car de toute façon je n'aurais pas signé dans l'état actuel des choses. Leur offre ne correspondant pas à ce que je recherche personnellement chez un éditeur. Cela conviendra peut-être à d'autres. Pas moi.
 
Marc Anciel
   
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Marc Anciel  /  Sous-chef de projet démoniaque chez Édilivre


Au pire, Edilivre propose la même chose en un peu mieux il me semble. Donc si t'éprouves des regrets, tu peux toujours t'adresser à eux. C'est toujours pas de l'édition mais c'est mieux que rien.
Pour le reste, non, ce n'était pas une erreur de ta part. Tu avais des questions légitimes. Tu les as posé avec le bon réflexe de taire le nom de l'éditeur, il est arrivé la fleur au fusil pensant trouver... des Bisounours ravis de le recevoir. Il s'est pris la réalité dans la tronche. Donc si quelqu'un a merdé, c'est pas toi. D'autant que je suis pas du tout d'accord sur la forme avec Float, mais sur le fond... il ne dit pas que des conneries, disons.
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Ikor éditions  /  Homme invisible


Paul.Art.Bear a écrit:
Merci Aventador. Je précise juste que c'est Ikor Edition qui a mis fin aux négociations, pas moi (j'ai jusqu'au bout tenter de négocier, mais je paie pour les échanges houleux sur le forum... J'assume : c'est moi qui ai lancé le sujet, ça a dérapé, tant pis.). Je vais viser d'autres éditeurs ayant fait leurs preuves.


je vous souhaite de trouver un autre éditeur car votre livre est un livre de qualité. Dommage que nous n'ayons pas discuter avant Smile
 
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Ikor éditions  /  Homme invisible


Aventador a écrit:
Vous me direz, il peut s'agir d'un compte d'auteur déguisé en compte d'éditeur, et le syndrome kiro n'arrange rien à la méfiance ambiante qui règne ici entre auteurs et éditeurs.

________________________________

Merci aventador. Je le répéte nous ne sommes pas un éditeur à compte d'auteur. JAMAIS vous n'aurez à débourser un centimes pour vendre vos livres, cela ne comprend pas les livres vendus sur salons qui nous sont remboursés à 70% du prix de vente (soit 30% de droits d'auteurs sur ces exemplaires). Nous allons même plus loin puisque la grille d'augmentation des droits d'auteur se cumulent entre les livres vendus.
Imaginons un cas d'école (ce n'est pas les chiffres du contrat volontairement c'est pour faciliter les calculs et la compréhension)
Vous avez 1 premier livre chez nous, vous commencez à 8% de droits d'auteur.
Nous vendons avec ou sans votre aide 101 livres (qu'ils soient papier ou numérique ou audio) vous touchez 9% de droits d'auteur sur les suivants.
Vous nous proposez un nouveau roman qui est accepté. Ce dernier démarre à 9% automatiquement
Ce roman se vend moins bien que le premier :
50 exemplaires seront vendus du premier (soit 150 livres en tout)
50 exemplaires sont vendu du second (soit 200 livres en tout)
Vous passez automatiquement à la tranche au dessus à savoir 10% de droits d'auteur sur les 2 romans.
En ce qui concerne les droits autres que l'impression papier, numérique et audio (seulement si vous souhaitez les 2 dernières options) ils vous appartiennent, nous n'intervenons dans les négociations uniquement si vous faites appel à nos services et cela fait l'objet d'un contrat séparé. Nous ne voulons pas prendre les auteurs en otage, juste les accompagner dans l'aventure, en étant toujours gagnant/gagnant.
 
Marc Anciel
   
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Marc Anciel  /  Sous-chef de projet démoniaque chez Édilivre


Et vous n'êtes pas non plus un compte d'éditeur puisque l'auteur doit prendre à sa charge les corrections et la distribution, ce qui représente, et vous le savez forcément, un coût non négligeable.
Vous êtes donc ce que Roger Gaillard appelle un "compte à demi". C'est légal, pour moi, vous n'êtes pas un escroc (sauf en ce qui concerne la prise d'otage des droits d'auteur s'ils ne dépassent pas les 70€. C'est pas bien de s'approprier l'argent des autres, sous quelque prétexte que ce soit...) MAIS vous admettrez que votre prise de risque dans l'affaire est très limitée. Pour être clair, vous engagez peu de frais, par rapport à un éditeur plein et entier. Ce qui est surprenant, d'ailleurs, puisque si le livre est si bon que vous le dites, à vos yeux ("bon" étant une notion très subjective et très abstraite), vous ne devriez pas hésiter à investir sur ce bouquin.
C'est d'ailleurs la réponse que j'avais formulée à un compte d'auteur, contacté par erreur, qui louait les qualités de mon livre et me proposait un contrat où je devais débourser plus de 3000€... Je lui ai répondu, très logiquement, que s'il trouvait mon livre si bon que ça, il ne verrait aucun inconvénient à parier sur lui et donc à risquer son argent plutôt que le mien. Parce que c'est ça le boulot d'un éditeur, l'une de ses plus value: déterminer la rentabilité d'un bouquin et l'augmenter. Sinon quel intérêt? Moi aussi je connais un illustrateur, la mise en page c'est pas bien méchant et s'inscrire sur Dilicom, ça coûte pas grand chose. Concrètement, je pourrais moi aussi créer ma boîte et proposer la même chose que vous. Je ne le fais pas parce que ça ne suffit pas pour être éditeur, très loin de là.
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SergentMajor
   
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Ikor éditions a écrit:
David a écrit:
Bon, histoire de sauver ce topic : si une âme charitable veut bien compulser le tout et tirer au clair les tenants et aboutissements d'un tel contrat.

Je suis preneuse, ce n'est pas parce qu'un avocat a fait le contrat qu'il ne peut pas avoir fait des erreurs Smile
 
Bon, ben j'y retourne alors...
 
J'adore la mention de l'avocat sans en avoir l'air, ça donne tellement confiance. Mais entre nous, il n'y a rien à redire sur ce contrat. Il est parfaitement en règle ce contrat. Je n'ai jamais dis qu'il était illégal. Tous les contrats des publieurs du net sont légaux.    
 
La proposition du-dit contrat prête à confusion cependant, car on emploie le mot édition, mais là encore aucune loi ne l'interdit.
 
Cette proposition c'est d'offrir à l'auteur la possibilité de se faire éditer sans débourser un centime. Et c'est vrai, jusque là rien à redire...mise à part que la correction reste à la charge de l'auteur et qu'à moins d'avoir un correcteur professionnel dans sa famille, il va commencer à payer.Wink
 
Mais il n'est pas obligé de payer chez Ikor, il peut aller voir ailleurs. Seulement comme les correcteurs en Free-lance sont hors de prix, et que c'est plus facile de contater des gens qu'on connait, à qui va-t-il s'adresser au final? A l'ami Ikor bien sûr!
Mais bon, imaginons que le texte n'a pas besoin de corrections et qu'il signe sont contrat tout content de n'avoir pas déboursé un centime.   
 
La où ça va corser c'est pour l'aprés signature du contrat, parce que ce n'est pas le tout d'avoir un éditeur gratuitement, encore faut-il mettre les livres en vente.
Et là...c'est le drame! Car Ikor, de son propre aveux, n'a pas les moyens. C'est que ça coûte trés cher d'imprimer et de diffuser des livres en librairies.
 
On peut se poser la question de savoir pourquoi Ikor n'a pas prévu toutes ces dépenses dans son business plan, car aprés tout c'est un éditeur et l'impression et la diffusion font parti de ses charges fixes. C'est prévu dans son investissement de base constitué de son apport personnel et le cas échéant de son emprum bancaire, si son apport personnel ne suffit pas. 
L'argent qui lui permettra d'éditer, de faire imprimer et de diffuser les romans il doit l'avoir avant de sélectionner ses manuscrits, sinon il ne pourra pas un éditer un seul.
 
Mais Ikor, sans avoir l'argent necessaire, le fait quand même.
 
Et là, une nouvelle question se pose: Si un éditeur ne peut pas assumer l'impression et la diffusion des livres dans les librairies, pourquoi sélectionner des manuscrits et offrir des contrats à des auteurs?
 
Parce que faire imprimer et diffuser des romans en librairies, ce n'est pas son but, mais ça il se garde bien de le préciser à l'auteur. 
 
L'auteur a en fait signé un contrat de louage d'ouvrage (je me répète, je sais). Et là encore Ikor se garde bien de le préciser.
 
Dans ce contrat, Ikor propose à l'auteur un service de corrections et un service de vente directe. Le tout sans obligation d'achat, on vous l'a dit et répéter.
 
L'auteur pourra s'il le désire acheter des exemplaires de son propre livre pour aller les revendre où bon lui semblera.
 
Il n'est pas obligé, mais s'il veut avoir une chance de diffuser et de vendre ses livres, (Ikor n'imprimant et ne diffusant pas) il sera bien forcé d'en passer par là.
 
Et quand il sortira sa carte bleue pour payer l'impression de ses romans qu'il devra aller vendre tout seul dans son coin, sans espoir d'aide de la part de son éditeur et sans remboursement de ses invendus, il sera en droit de se demander s'il n'est pas tout simplement en train de se payer son édition à compte d'auteur à la demande en cédant au passage ses droits et en ayant signé pour le même compte d'auteur (à la demande, hien, on oblige personne) pour ses cinq prochains romans.
 
Il se consolera en se disant qu'Ikor lui fait une remise de 30% et ça c'est gentil. Ca lui fera 30% de droits d'auteur au lieu des 8% prévu au contrat.
 
Seulement la dernière chose qu'Ikor lui a caché c'est que ces 30% sont prévu depuis le début dans le prix de vente du livre! c'est la marge due au revendeur, en général un libraire, mais là le revendeur c'est l'auteur.
Non seulement ce ne sont pas des droits d'auteur, mais en plus Ikor lui sucre ses 8% de droits d'auteur sur les exmplaires vendu au prix libraire.
 
Qui paye la correction: L'auteur
Qui paye l'impression des livres: L'auteur.
Qui vend les livres: L'auteur.
ikor rembourse-t-il les invendus? Non.  
Que verse Ikor à l'auteur: Rien.
 
A part ça, c'est pas du compte d'auteur, juste du compte d'auteur "à la demande".  
 
Voilà. C'est ce que j'ai compris du contrat Ikor. Aucune erreur de la part de l'avocat, un contrat de louage d'ouvrage est parfaitement légal.Laughing


Dernière édition par SergentMajor le 14/6/2013, 13:30, édité 1 fois
 
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Marc Anciel a écrit:
vous n'êtes pas non plus un compte d'éditeur puisque l'auteur doit prendre à sa charge les corrections

C'est parfois préférable, en particulier quand l'auteur est édité par une "petite" maison d'édition. Ces petites maisons n'ont pas toujours (en fait, jamais) les moyens d'assurer à l'auteur une correction irréprochable (zéro fautes, zéro coquilles, style impec...). Il suffit de lire des ouvrages publiés par ces petites maisons pour constater les pb de mise en page, les fautes de français ou de grammaire, les coquilles... Je connais des auteurs publiés qui font appel, pour leur propre compte, à des professionnels pour éviter ce genre de problème. C'est ça, ou accepter les imperfections, ou encore décider de ne pas se faire publier, parce que si c'est pour avoir le staff des grandes maisons Rolling Eyes...
 
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Merci Sergent : c'est limpide. 

@Giratempu : les fautes, y'en a aussi dans des Folio, alors les coquilles, hein... Non : c'est plutôt une correction de fond qui importe car quoi qu'on en pense, un manuscrit mérite toujours un regard objectif, ne serait-ce que pour confirmer sa bonne construction.
 
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David a écrit:
les fautes, y'en a aussi dans des Folio, alors les coquilles, hein... Non : c'est plutôt une correction de fond qui importe car quoi qu'on en pense, un manuscrit mérite toujours un regard objectif, ne serait-ce que pour confirmer sa bonne construction.

C'est vrai que zéro faute, zéro coquille... c'est une vue de l'esprit. Toujours est-il que les ouvrages publiés par les "petites" maisons présentent, en général (il existe toujours des exceptions qui confirment la règle), plus d'imperfections que des bouquins publiés par les grandes maisons (encore que, je me souviens – pour exemple – du 1er tome publié chez Pocket jeunesse de "Hunger Games", avec des formules du genre : "le jour pointe à l'horizon", formules corrigées dans les deux tomes suivants avec la reconnaissance du verbe poindre Laughing). Pour autant, c'est un fait : des auteurs préfèrent souvent faire appel à des professionnels pour éviter ce genre de déboire. Imaginons un instant (pour le fun;)) qu'un éditeur prenne sur lui la correction du manuscrit. Qu'est-ce qui empêcherait Guillaume Fournier, le traducteur de Hunger Games, de Suzanne Collins, de poursuivre l'éditeur en justice pour n'avoir pas corrigé ses "errances" linguistiques dans le 1er tome (au point qu'il passe actuellement pour un... ) ?
 
Fabienne Kisvel
   
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Exacte, quelque soit l'éditeur, je trouve toujours une ou deux fautes d'orthographes dans les livres, sans parler des fautes de français ("grâce à" la place "d'à cause", ou "chance de" au lieu "risque de"... et j'en passe.) Mais il est vrai que l'on voit davantage les fautes des autres que les siennes.

Jean Sola qui traduit Le Trône de Fer devrait retourner au CP réapprendre la langue de Molière, c'est une catastrophe ! Deux à trois fautes par page sans parler de la concordance des temps et des erreurs de vocabulaire ! Une honte !
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