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 Comment éviter la répétition des prénoms de personnages ?

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Jézaël
   
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Je poste un extrait où il y aurait éventuellement trop de prénoms à mon goût :

Nicolas ne savait pas quoi répondre. Il n’en avait pas la force, il savait au fond de lui que son ami avait raison, que de toute façon rester là ne changerait rien à l’état de Thomas. Et les médecins avaient été honnêtes avec lui : la prochaine étape pour Thomas était la mort. C’était inéluctable. Nicolas avait eu beaucoup de mal à l’admettre, mais depuis quelques jours il était parvenu à se faire à l’idée que Thomas ne se réveillerait pas. Que désormais, il était seul face à la cruauté de la vie, à ses perversions et ses entraves. Il sentit les larmes monter et ne tente pas de les retenir. Il était à bout, épuisé, et s’il continuait à ce rythme il partirait avant Thomas. Cette pensée le fit pleurer de plus belle.
 
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Ouais, mais utiliser des formules bateaux comme "la jeune fille", c'est indéniablement artificiel voire mauvais.
Il faut pas chasser la répétition de prénoms, et, si ça ne te convient pas, (c'est vrai que ton paragraphe est bof, mais ça ne tient pas qu'aux prénoms), travaille ton style.
 
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julou87 a écrit:
Je poste un extrait où il y aurait éventuellement trop de prénoms à mon goût :

Nicolas ne savait pas quoi répondre. Il n’en avait pas la force, il savait au fond de lui que son ami avait raison, que de toute façon rester là ne changerait rien à l’état de Thomas. Et les médecins avaient été honnêtes avec lui : la prochaine étape pour SON AMI était la mort. C’était inéluctable. Nicolas avait eu beaucoup de mal à l’admettre, mais depuis quelques jours il était parvenu à se faire à l’idée que Thomas ne se réveillerait pas. Que désormais, il était seul face à la cruauté de la vie, à ses perversions et ses entraves. Il sentit les larmes monter et ne tente pas de les retenir. Il était à bout, épuisé, et s’il continuait à ce rythme il partirait avant Thomas. Cette pensée le fit pleurer de plus belle.

Proposition : son ami (si c'est le cas lol)
Le reste ne me choque pas plus que ça...

 
Laetitia
   
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Nicolas ne savait pas quoi répondre, n’en avait pas la force. Il savait au fond de lui que "son ami-prénom-Yohann" avait raison. Rester là ne changerait rien. Les médecins avaient été honnêtes avec lui : la prochaine étape pour Thomas était la mort. C’était inéluctable. Nicolas avait eu beaucoup de mal à l’admettre, mais depuis quelques jours il était parvenu à se faire à l’idée que son ami ne se réveillerait pas. Que désormais, il était seul face à la cruauté de la vie, à ses perversions et ses entraves. Il sentit les larmes monter et ne tenta pas de les retenir. Il était à bout, épuisé, et à ce rythme, la mort l'emporterait à son tour. Cette pensée le fit pleurer de plus belle.
 
Jézaël
   
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Jézaël  /  Pippin le Bref


@ Aménique : en quoi le paragraphe est-il bof en dehors des prénoms stp ?
Merci Laetitia pour le "tenta" il m'a échappé :/
et merci avec "son ami" et en englobant deux phrases en une c'est vrai que ça permet d'éviter un ou deux prénoms.
 
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Float  /  Tapage au bout de la nuit


julou87 a écrit:
Je poste un extrait où il y aurait éventuellement trop de prénoms à mon goût :

Nicolas ne savait pas quoi répondre. Il n’en avait pas la force, il savait au fond de lui que son ami avait raison, que de toute façon rester là ne changerait rien à l’état de Thomas. Et les médecins avaient été honnêtes avec lui : la prochaine étape pour Thomas était la mort. C’était inéluctable. Nicolas avait eu beaucoup de mal à l’admettre, mais depuis quelques jours il était parvenu à se faire à l’idée que Thomas ne se réveillerait pas. Que désormais, il était seul face à la cruauté de la vie, à ses perversions et ses entraves. Il sentit les larmes monter et ne tente pas de les retenir. Il était à bout, épuisé, et s’il continuait à ce rythme il partirait avant Thomas. Cette pensée le fit pleurer de plus belle.

Oui comme dit Aménique, c'est plus une question de "style". Je dirais même technique. Mais c'est bien, ton problème en révèle en fait un autre bien plus important.

"Nicolas ne savait pas quoi répondre"
+
"il n'en avait pas la force"
+
"il savait au fond de lui que son ami avait raison"
+
que de toute façon rester là ne changerait rien à l’état de Thomas

ça dénote effectivement une pauvreté du style. Tu précises ou tu répètes une même idée (qui apparaît en plus sans doute avant même cette extrait puisqu'on lit "il avait raison"). Cherche plutôt une formule plus efficace qui dira en moins de mots ce que tu veux montrer, et laisse le lecteur sa part d'imagination/compréhension. Si tu expliques ou veut être trop précis, tu lui mâches le travail. En plus si tu tiens à expliquer/préciser, c'est peut-être aussi parce que tu n'es pas sûr d'avoir été assez clair lors de la première idée.

Pareil, le "c'était inéluctable" est un répétition/précision.

"Nicolas avait beaucoup de mal à l'admettre" est un commentaire qui en plus s'ajoute à ce qui précède. Il faut utiliser les commentaires avec parcimonies (après ça dépend du style et du thème bien sûr, c'est une généralité), parce que même principe : c'est au lecteur de faire ses propres commentaires, parce qu'avec l'action que tu montres, normalement les commentaires vont de soit.

La suite est une exagération. C'est à toi de voir, mais, même sans le contexte, ça parait un peu trop. Si tu veux faire passer l'émotion, elle passera mieux si tu en dis juste ce qu'il faut, au lieu de noyer le lecteur... sous les mots et les larmes. On est émue par la compréhension de la situation, pas par l'explication détaillée et répétée.

En gros, je suis sûr que tu peux dire la même chose en trois lignes.

Citation :
Son ami avait raison. Rester ne changeait rien à l'état de Thomas. Il devait se faire à l'idée qu'il ne se réveillerait pas. Désormais seul devant les cruautés de la vie, il se demandait s'il n'allait pas partir avant lui en mangeant les dernières patates qu'il avait fait cuir dans sa casserole. (Et il pleurut et eut beaucoup de larmes).
Une fois que tu as pris conscience qu'il fallait tailler sec, à toi de voir ce qui est le plus significatif, et sur quoi tu veux mettre l'accent, en restant précis et succinct. Parce que tu peux réécrire cent fois la scène de manière différente. Mais plus tu diras de choses, moins le message sera clair. Parce qu'en l'occurrence, t'as une seule situation à décrire ici et une avancée simple à notifier. Si tu en rajoutes à ce stade, ce sera que des répétitions. Utilise plutôt ton encre à décrire une autre situation, une autre idée.

Et à noter que dans mon exemple (entre cent possibles), y a plus de problème de répétition de noms. Le il est préférable quand on sait qui c'est. Les noms tu les mets au pire pour éviter la confusion.

Citation :
et merci avec "son ami" et en englobant deux phrases en une c'est vrai que ça permet d'éviter un ou deux prénoms.
Sauf que "ami" apparait déjà plus haut. La répétition des noms est tout de même cent fois préférable aux répétitions de mots, surtout du type "ami".


Dernière édition par Float le Jeu 2 Mai 2013 - 22:23, édité 1 fois
 
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Salut,

c'est une question intéressante, s'il en est. J'ai lu un Harry Potter (le dernier) en regardant sur certaines pages combien de fois le mot «Harry» y était écrit. C'était considérable. Plusieurs fois par paragraphe, c'est normal. Donc à mon avis il ne faut pas trop s'en faire pour ça et sans doute, la remarque de Float est-elle la plus pertinente:
Citation :
par le contexte et les ellipses, tu peux éviter les répétitions. Le lecteur connaît les personnages et connaît la situation, il peut parfaitement deviner…
Travailler sur le contexte permet de donner du piment à son récit et laisse au lecteur le plaisir de deviner l'histoire, de faire ses propres conclusion et sa propre idée de ton livre; ce que l'on appelle de la littérature.

À propos, dans mon travail d'écriture j'évite les formes comme «la jeune fille», «ce dernier», etc. Je trouve que ça alourdit le texte et je crains à chaque fois que le lecteur ne me prenne pour un branque incapable de ficeler son histoire pour le tenir en haleine jusqu'au bout. Alors j'évite et, honnêtement, je n'aime pas lire de textes d'auteurs qui ont trop recours au expressions de ce genre.

Nicolas


Dernière édition par demontepierre le Jeu 2 Mai 2013 - 22:26, édité 1 fois
 
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Pense aussi à parfois les appeler par leur métier (l'informaticien se leva, le médecin à la retraite prit la parole...) ou leur relation (son ami voulut, son épouse préféra...). Ajoute les "il" et les démonstratifs et tu auras suffisamment de moyens de varier les pronoms.

Et si tu en as assez d'écrire leur noms, change les pour des plus courts : Jack, Bob, Lise... il sera moins désagréable de les répéter en permanence.
 
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demontepierre a écrit:
Salut,

c'est une question intéressante, s'il en est. J'ai lu un Harry Potter (le dernier) en regardant sur certaines pages combien de fois le mot «Harry» y était écrit. C'était considérable. Plusieurs fois par paragraphe, c'est normal. Donc à mon avis il ne faut pas trop s'en faire pour ça et sans doute, la remarque de Float est-elle la plus pertinente:
Citation :
par le contexte et les ellipses, tu peux éviter les répétitions. Le lecteur connaît les personnages et connaît la situation, il peut parfaitement deviner…
Travailler sur le contexte permet de donner du piment à son récit et laisse au lecteur le plaisir de deviner l'histoire, de faire ses propres conclusion et sa propre idée de ton livre; ce que l'on appelle de la littérature.

Nicolas
Par exemple, dans une scène où le narrateur prend de la hauteur et fait passer un point de vue général sur son personnage principal, elle pourra adopter le nom de "Harry Potter". Je ne sais pas si elle a déjà/souvent employé la formule telle quelle, sans doute au début du roman pour marquer le fait qu'on ne le connait pas assez pour "l'appeler" Harry. Mais par la suite, la technique est simple et efficace. C'est toujours, toujours, toujours "Harry". Pourquoi ? parce qu'à l'image de sa marque sur le front, c'est une marque prévisible que le lecteur identifie rapidement. C'est comme un "je". Ce qui une technique particulièrement efficace pour augmenter l'effet d'identification avec son héros. Est-ce qu'on lit "Harry", ou est-ce qu'on voit "Harry" et passe direct à sens de la phrase ? Je suis dyslexique, pour moi, c'est simple, les bouquins de Harry Potter, je les ai tous lu en deux ou trois heures. Chose impossible pour un autre roman. Donc tous ces "Harry" sont une forme de ponctuation essentielle pour rentrer dans le récit. Mais attention, on aura rarement des répétitions trop rapprochées, et quand c'est le cas, elle se l'autorise parce que Harry est parfois sujet, parfois complément. Ce qui reviendra en revanche très souvent, c'est l'entame d'un paragraphe par un "Harry". Pas mieux pour commencer une accroche. C'est bien de l'écriture enfantine, mais c'est diablement efficace. Et c'est pas forcément à copier.
 
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archangel a écrit:
Pense aussi à parfois les appeler par leur métier (l'informaticien se leva, le médecin à la retraite prit la parole...)

Ah non, surtout pas ! Surtout pour des personnages principaux ! C'est très artificiel de dire "l'informaticien" pour nommer un personnage que le lecteur suit ; j'ai tendance à penser qu'il faut appeler un chat un chat, Nicolas, c'est Nicolas, Thomas, c'est Thomas.

Et je suis d'accord avec Float et Aménique sur ton extrait, c'est le style qu'il faut travailler ici.
 
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Citation :
Mais par la suite, la technique est simple et efficace. C'est toujours, toujours, toujours "Harry". Pourquoi ? parce qu'à l'image de sa marque sur le front, c'est une marque prévisible que le lecteur identifie rapidement.
J'ai adopté cette technique pour mon livre. Ça marche assez bien. En tous cas, on ne m'a pas encore reproché d'avoir utilisé le nom "Alina" à tort et à travers. Je suis optimiste sur ce point. Ce que Rowling a très bien fait, c'est d'attribuer immédiatement chaque nom à une fonction. Hagrid c'est le garde forestier, McGonnogal, la directrice et voldemord le méchant tellement méchant qu'on a envie que l'histoire se fasse sans lui. (comment tu fais pour lire un Harry Potter en trois heures?) Ainsi, lorsqu'on lit un nom on a tout de suite sa valeur fonctionnelle dans le récit et on peut assembler tous les éléments comme des pièces de légo, selon le plan proposé par l'auteur.

Nicolas

PS: pour Float.
Je réécrit mon livre en ce moment pour lui donner une forme plus littéraire que descriptive.
«Le voyage d'une fille»
Si tu as le temps de me donner quelques commentaires (sans fausse retenue) sur les chapitres 2 et 3, cela serait très aimable.

 
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Pomcassis a écrit:
archangel a écrit:
Pense aussi à parfois les appeler par leur métier (l'informaticien se leva, le médecin à la retraite prit la parole...)

Ah non, surtout pas ! Surtout pour des personnages principaux ! C'est très artificiel de dire "l'informaticien" pour nommer un personnage que le lecteur suit ; j'ai tendance à penser qu'il faut appeler un chat un chat, Nicolas, c'est Nicolas, Thomas, c'est Thomas.

Et je suis d'accord avec Float et Aménique sur ton extrait, c'est le style qu'il faut travailler ici.
Ça dépend. En général non. Mais ça dépend du niveau de distanciation que veut imprimer l'auteur entre son personnage principal et le lecteur. Là encore ça dépend du contexte (et bien sûr de la cohérence : faut garder la même règle tout au long du récit).

Mais c'est une question intéressante, parce que si on imagine bien une narration nommer ses personnages par leur nom complet (Amandine Frangipane) puis par une profession, une nationalité, une caractéristique, etc. on la voit mal passer tout à coup à un intime "Amandine". On passerait alors selon le contexte de "Amandine ma copine" à "la pâtissière de Montmartre" ? C'est un speculum cétologique qu'il nous faudrait pour concevoir un tel écart d'identification.
 
Jézaël
   
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Jézaël  /  Pippin le Bref


Un spéculum cetologique ? Wah ! Smile
Par le métier de toute façon dans mon cas c'est pas possible ils sont aide soignants tous les (Thomas et yohann). En fait mon problème c'est que je veux donner trop de détails et je plonge souvent dans la figure de style, en particulier l'exagération.
En reformulant certaines phrases où j'ai l'impression de lire ThomasNicolasYohann, je pense sue ca suffira à résoudre le problème.
En tout cas je suis bien content du débat que ça a engendré et ça montre bien que, pour écrire, nous avons tous une technique et une approche différente. Laquelle est la meilleure ça, on ne le saura jamais Smile
Je retoucherai les passages compliqués et trop étoffés dès demain, je posterai un exemple et je vous laisserai me donner votre avis.

(bonne nuit !)
 
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Pomcassis a écrit:
archangel a écrit:
Pense aussi à parfois les appeler par leur métier (l'informaticien se leva, le médecin à la retraite prit la parole...)

Ah non, surtout pas ! Surtout pour des personnages principaux ! C'est très artificiel de dire "l'informaticien" pour nommer un personnage que le lecteur suit ; j'ai tendance à penser qu'il faut appeler un chat un chat, Nicolas, c'est Nicolas, Thomas, c'est Thomas.

Je trouve que ça dépend de la profession. Certains professionnels, par leur fonction, sont des personnes proches, et parfois en savent beaucoup sur notre intimité :
Ex : médecin, coiffeur, maître d'école, etc.
Dans ce cas-là, il me semble que l'intitulé de leur profession dit quelque chose du lien particulier qui peut exister entre lui et un personnage.

L'autre possibilité où cela peut passer, c'est si la profession est un enjeu de l'histoire. Dans une affaire d'espionnage, parler de l'ingénieur ou du chercheur (pour caricaturer), ça peut faire sens.
 
Pomcassis
   
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Pomcassis  /  Tentatrice chauve


En fait, je visais surtout l'extrait de l'auteur de ce sujet, et les cas y ressemblant.

Et ça peut aussi dépendre du degré de familiarité entre non seulement les personnages, mais aussi entre les personnages et le lecteur ; je vois mal l'auteur de ce topic remplacer, dans son extrait, "Thomas" par "le boulanger" et Nicolas par "le charcutier". Pour moi, ça reviendrait à utiliser un synonyme à côté de la plaque pour éviter de répéter un mot.
Après, en effet, dans un roman où le métier est la fonction principale d'un personnage, c'est différent, bien entendu. Le personnage ne sera alors plus connu des lecteurs comme "Nicolas" mais comme "le charcutier". Le problème se posera donc de savoir comment éviter de dire "le charcutier" à tout bout de champ...

Enfin, ça reste mon avis ; je trouve juste que de vouloir à tout prix ne pas faire de répétitions dans un roman, donne souvent des phrases très artificielles qui sonnent faux. Mieux vaut tourner ses phrases différemment.

 
   
    
                         
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