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Pasiphae
   
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Pasiphae  /  Truquage geniphasien


Super intéressant ! je pensais à question du paratexte dès le début, faire que le texte proprement dit ne soit pas central dans l'énonciation, mais présenté comme document.
 
Robert Rouge
   
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Robert Rouge  /  Pippin le Bref


Je viens de lire un classique aujourd'hui, Une femme d'Annie Ernaux. Ca m'a rappelé le film Tabou, de Miguel Gomes, que j'ai vu récemment et qui m'a frappé, lui aussi, pour le double portrait qu'il fait d'une femme, vieille et démente, mais aussi jeune et insatiable.
 
Camusso
   
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Camusso  /  Gloire de son pair


Je viens de finir Les enfants sont rois de Delphine de Vignan et L'Anomalie de Hervé le Tellier. Je vais commencer Shibumi de Trevanian.
 
Hel
   
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Hel  /  Gloire de son pair


cela fait longtemps que je n'ai pas eu de coup de coeur ou d'accroche profonde,ou de nouvelles chouettes découvertes, j'espère en trouver ici en lisant les pages à rebours...
j'ai décidé de me mettre aux bandes dessinés et autres livres illustrés, puisque tout m'ennuie, je me disais que. Comme je ne connais rien à ce registre j'y vais à l'aveuglette et ce n'est pas si facile de trouver des ouvrages qui fassent déclic, ou me parlent d'une façon ou d'une autre.

J'ai quand même déniché L'oasis : petite genèse d'un jardin biodivers de Simon Hureau, hyper intéressant, beaucoup d'humour, et plein de chouettes dessins. Je veux le même jardin quand je serais grande.

puis je me suis laissée tentée par Somnolences de Pei-Hsiu CHEN au titre, au résumé :
Spoiler:
et à la texture de la couverture qui me plaisait bien, j'ai été hyper déçue, pourtant friande des thématiques du rien ou pas grand-chose, j'ai passé les pages amorphes sans rien ressentir ou penser, ou...même le graphisme m'a laissé froide.

dans mes lectures en cours ou fraiches :

De pierre et d'os de Bérengère Cournut, le contexte, le pitch, ça avait tout pour me plaire, et je trouve la narration hyper froide et distancée, c'est peut-être voulu mais je n'arrive pas à m'accrocher, et à être dedans,  du coup il traîne par là, faut que j'arrive à m'y remettre.

Le garçon sauvage de Paolo Cognetti, ni bonne ni mauvaise lecture, deux trois images, portait sympa, mais dans le genre y avait mieux ou disons qui donne matière à ressentir et/ou réfléchir etc, j'ai trouvé ça hyper court et survolé vis à vis de l'expérience de vie dont il témoigne, je m'attendais à un truc vachement plus riche.

La voie du paganisme : Guide moderne des pratiques païennes John Beckett
Je voulais en apprendre plus sur les religions païennes par curiosité, je voulais trouver un ouvrage, simple, abordable, ce truc est imbitable, j'ai lu 20 ou 30 pages, je ne saurais rien en dire.

Dans la fôret de Jean Hegland, je ne sais toujours pas quoi en penser, mais je l'ai lu jusqu'au bout. Dans le (+ ou -)même genre autant je pourrais dire j'avais adoré Les enfants de Noé de Jean Joubert, autant je suis indécise, y a des chose intéressantes, d'autres dérangeantes voir complètement wtf qui apportent rien à l'histoire, j'ai terminé perdue dans la fôret je crois.

et le meilleur dans le genre inattendu  Watership Down de Richard Adams, je savais que c'était un récit d'aventures, mais avant de commencer à le lire à aucun moment je n'avais capté qu'il s'agissait d'une épopée de lapins, eh bah c'est vachement bien foutu et écrit, et hyper prenant !
 
Rask'
   
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Rask'  /  ChériJE® de Mitsu


Le temps du reportage, Robert Boynton. Livre d'entretiens de figures marquantes du nouveau journalisme et dérivés.
 
Hobbes
   
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Hobbes  /  Attention : chat méchant


Je pense pas mal depuis deux ou trois jours à ce qu'a dit Houellebecq dans la première partie de son entretien au Monde sur sa croyance en le fait que les bons sentiments produisent de la bonne littérature et les retours dédaigneux que ça lui a valu, surtout compte tenu de sa réputation. Pas tout à fait certain de l'endroit où poser ma crotte donc je vous laisse ça là comme j'avais fait avec Elliot Rodger. Je sais que ce n'est pas tout à fait ce qu'il a dit, ou à tout le moins pas la manière dont ça sort dans le papier, mais j'avais trouvé en le lisant — peut-être parce que ça résonne avec des questions que je me pose par ailleurs — que c'était vivifiant et très curieusement subversif de plaider la blancheur optique dans une époque obnubilée par les tons de gris.

On n'a rien dit de très sulfureux si on reconnaît qu'il y a une forme diffuse et persistante d'obligation à l'ambiguïté morale, à la défiance performative pour le manichéisme ou la simplicité, qui porte sur l’ensemble des produits culturels et les élève ou les disqualifie à vue selon qu’ils représentent des choses hétérogènes, complexes, pas réductibles à une proposition immédiatement compréhensible ou non, tout ça sous le double prétexte — lui-même essentiellement convenu — de faire la nique aux lieux communs et de rendre compte plus fidèlement du réel. Sans revenir sur les hypothèses facilement démontables — a) le réel est lui-même 100 % composite, b) l’art doit le représenter à l’identique — qui soutiennent ce genre de discours, j’ai le sentiment que notre obsession pour les œuvres complexes, granuleuses, peuplées de méchants-pas-méchants et de gentils-mais-pas-trop par opposition à une forme de platitude lisse assimilée à de la paresse et/ou de la candeur, accouche de recettes de cuisine dont la sophistication de façade n’est jamais que ça : il y a un truc pathétiquement prévisible et tryhard dans la manière qu’ont la plupart des narratifs contemporains de refuser la ligne claire et de se précipiter tête la première dans les ambivalences, comme si la prime aveugle aux figures « compliquées » n’était pas elle-même un poncif. Qu'est-ce qui nous pousse collectivement à regarder ce qui échappe aux exigences du clair-obscur et de la subtilité — pour autant que ça en soit — comme des bides narratifs ?

Je veux dire que je comprends le désir de pureté de Houellebecq — évidemment corrélé, sous le rapport idéologique, au fait que c’est un vieillard HSBC qui pense que les Arabes fomentent son meurtre et un catho qui vit avec la certitude collante de la médiocrité globale — dans la mesure où il répond négativement à l’émergence d’une casuistique concon qui pense avoir réinventé la roue quand elle accuse les Walt Disney de manquer de profondeur. Ça me semble évidemment audible et recevable au point de vue littéraire qu’il en ait plein le slip de cette espèce d’orthodoxie de l’absence d'orthodoxie régurgitée sans fin par des troupeaux de gens qui font tous la même chose et qu’il cherche la sainteté dans la bêtise, comme son pote Blaise Pascal : l’intelligence, ou ce qui se récompense comme tel, ressemble quand même en l'occurrence à une lecture partiale et solipsiste, essentiellement clichée, du monde tel qu’il doit être plutôt que tel qu’il est vraiment. C’est de la profondeur pour assiettes creuses, maline exclusivement dans la mesure où elle abonde dans le sens de ce qui se dit partout ailleurs.

On n’a pas trop de raisons d'aimer Houellebecq pour peu qu’on en diffère au point de vue de l'habitus mais il conserve au moins pour lui, et je pense que c’est une qualité très rare, d’être fidèle à ce qu’il est : un lion puceux confit dans son racisme avec une compulsion aux galipettes histrioniques et beaucoup de tristesse si on veut ; n’empêche que c’est bien lui, ce qui n'est pas le cas de grand-monde. L'horizon narratif global est devenu si homogène et si lourd qu’on a du mal à se contenter d’histoires supposément grossières, qu’elles disent un truc du monde ou pas : si, à la rigueur, on voulait jouer le jeu de la fidélité au réel — ce qui, une fois de plus, ne correspond qu’à une certaine idée très marginale et localisée de la littérature —, il faudrait sans doute faire l’effort d’écrire des choses plus simples et moins sophistiquées, difficilement rentables dans une économie qui ne paie qu’en monnaie de singe et sous réserve de prêter le flan à sa vision du monde à moitié cuite. Le truc qui distingue peut-être Houellebecq sous le rapport de l’éthique, c’est qu’il accepte au moins de manière déclarative d’être une mauvaise histoire (fausse ou pas, ce n’est pas tellement le problème) — et en dernière instance que son histoire, c’est la manière dont il vend le fait qu’il refuse d’être une bonne histoire.

.xoxo
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VivianW  /  Double assassiné dans la rue Morgue


Livre présent - Page 30 51imtq10
Je découvre Hilsenrath. C'est drôle, terriblement humain et corrosif. Pas de grandes phrases et vas y que je me branle, mais un phrasé vrai et juste. Depuis les gigolos prêts-a-sucer des chiottes aux lettres au premier consul de son père : tout respire la vie, cruelle, sordide. Entre Fante et Bukowski, voilà un rescapé de la Shoah qui écrit comme on parle, sans chichi. Ça vient du coeur ou de la bite, s'il parle souvent de la seconde, c'est le premier qu'on lit
 
Manfred
   
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Manfred  /  Pouyoute (© Birdy)


Je lis "Exemplaire unique" de Milorad Pavic.

Le concept : un roman court d'un côté et une suite de fiches de l'autre, dont chacune comporte une fin différente pour le roman. J'aime beaucoup l'idée ! Je suis toujours curieuse des structures narratives non linéaires.

Pour ce qui est du contenu du roman, ça me rappelle un peu "Un privé à Babylone" de Richard Brautigan, en moins halluciné et avec des points de vue multiples.

Rafraîchissant en tout cas.
 
Epineuse
   
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Epineuse  /  Agent 006


J'ai lu "Fin de Partie" de Mérida Reinhart. Je l'ai trouvé en rôdant sur le catalogue de Magic Mirror Edition en attendant la sortie d'un certain Beyond et ça a été une très jolie surprise !

C'est une réécriture d'Alice au Pays des Merveilles pleine de fleurs puisque la protagoniste, Alaïs, est flouturière - une couturière qui compose des habits avec des fleurs. L'ambiance prend le meilleur de l'oeuvre originelle et refaçonne les personnages d'une façon que j'ai adoré I love you
J'avoue que j'ai eu un moment de "ohnoooooon ça peut pas prendre cette direction" près de la fin... qui s'est résolu d'une façon très sympa.
https://linktr.ee/r.senelier En ligne
 
Koola
   
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Koola  /  Pippin le Bref


En ce moment, je lis Les racines du ciel de Romain Gary. J'ai du mal à rentrer dedans, mais j'adore tellement sa manière d'écrire que ça ne saurait tarder (on espère).

J'ai aussi trouvé un exemplaire de Céline Voyages au bout de la nuit. Pour le moment, pas trop de commentaires.
 
Hortense
   
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Hortense  /  Tycho l'homoncule


J'ai fini Francis Rissin de Martin Mongin et ça me laisse une impression étrange dans le bide. Pendant la lecture, on se sent pris au piège dans un dédale (au sens mythologique du terme), un véritable labyrinthe, et on se pose des questions - les mauvaises questions.

Il m'a fallu près d'une semaine après la fin pour comprendre le roman (en lisant un certain nombre de commentaires pour m'aider), mais je ne suis pas sûre d'avoir réussi. Il y a quelque chose d'à la fois fascinant et horrifiant dans ce roman, surtout en période électorale / guerre en Ukraine / covid en Corée du Nord.

Il est excellent, c'est évident, mais il faut dépasser le côté un peu rebutant et déroutant du début. Et il faut une bonne dose de culture (littéraire, politique, sociale, historique, etc.) pour comprendre les multiples références... Je suis sûre d'en avoir raté la majorité.
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Mardi
   
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Mardi  /  Roberto Bel-Agneau


Je suis en train de lire Gideon la Neuvième de Tamsyn Muir. Certaines personnes ici m'ont déjà entendu en parler ces derniers jours et vont peut-être commencer à en avoir marre, mais tant pis : lisez Gideon la Neuvième. What a Face I love you

Il s'agit de science-fantasy plutôt dark, un peu crado et très glauque, mais les personnages sont... rafraîchissants ^^ ça faisait longtemps que je n'avais pas kiffé une lecture à ce point. <3

(PS : si jamais vous vous lancez là-dedans, sachez tout de même que c'est une tétralogie, que seul le premier tome est sorti en français, que le troisième sort en anglais en septembre et que le quatrième sortira peut-être en 2023. Perso ça me stresse déjà de devoir attendre, mais c'était trop tard pour moi quand j'ai su tout ça, j'avais déjà le doigt dans l'engrenage).


Livre présent - Page 30 Tarepa10
Ta gueule, c'est cosmique.
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Sorine_N
   
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Sorine_N  /  Homme invisible


Mardi, ça m'a l'air sacrément intéressant, ce dont tu nous parle là ! Livre présent - Page 30 1f62f Je ne connaissais pas mais je vais me renseigner !

Personnellement je viens de finir Le Bazar des Mauvais Rêves de Stephen King, très en retard car ce recueil de nouvelles était sorti en 2015, une année malheureusement fort désagréable pour moi... du coup, il ne m'avait même pas tentée jusqu'à maintenant. J'ai honte de l'avouer. Il y a pourtant de belles pépites là-dedans (notamment une voiture tueuse et une vision presque romantique de la Faucheuse), même si certains récits m'ont semblé très différents des productions habituelles de l'auteur.

Maintenant, j'attaque L'Hiverrier de Terry Pratchett Smile j'approche des derniers tomes du Disque-Monde alors je fais durer le plaisir.
 
Koola
   
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Koola  /  Pippin le Bref


Je ressors d'une période où je lisais très peu. Je lis un livre tous les deux jours, donc c'est plutôt cool !

Rien ne s'oppose à la nuit de Delphine de Vigan. Je n'ai jamais lu cette autrice avant mais j'ai apprécié le style dans ce roman semi-autobiographique (il s'agit de l'histoire de sa mère). Il m'a même mis une claque (les sujets abordés sont difficiles) mais je n'ai pas pu m'arrêter de lire et j'ai fini le bouquin vers 3h30 du matin.

She-Merchants, Buccaneers and Gentlewomen: British Women in India de Katie Hickman. Le sujet m'intéressait beaucoup. Cependant, j'ai été déçue, malgré l'écriture très fluide et les anecdotes intéressantes. D'abord, il s'agit plus de la vie domestique des femmes britanniques en Inde, le titre est donc un peu trompeur. Et surtout, l'autrice n'aborde quasiment pas le colonialisme... très biaisé, donc. Il m'a semblé qu'on devait presque être subjuguées à la lecture par la résilience de ces femmes dans un pays étranger, alors qu'elles participaient tout autant à imposer l'impérialisme britannique. Le choix de ne pas critiquer (ou très peu) et de ne pas faire une lecture post-colonialisme m'a dérangée au final.
 
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Jeunes filles en fleurs de Marcel Proust.


Dernière édition par Winger le Ven 7 Avr 2023 - 17:06, édité 1 fois
 
   
    
                         
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