A défaut de debattre sur des coups de coeur, débattons sur des sous-produits!

Allez, on commence par Paolini, puis Stéphanie Meyer et après on verra. Peut-être Kevin J. Machin truc j'écris comme je parle.

et BHL aussi.

Il fait un peu autodafé ton post...

C'est juste pour se marrer en ironisant au sujets de livres dont on parle toujours négativement en rigolant...

C'est vrai
Je devient chiant désolé

Vas- y commence!

Quel livre insulte les mots qui le constituent, selon toi?

Ok

Nadja d'André Breton parce que :

- Je prends le risque de me faire allumer par les fans, et qu'à vaincre sans péril on triomphe sans gloire.
- C'est d'un pédantisme incomparable
- C'est chiant
- Parce que ses propres théories à la base du surréalisme dissimulent par le dogme un roman non travaillé, non structuré (Breton dirait "spontané").
- Parce qu'il l'a quand même retravaillé quelques années plus tard en y ajoutant aussi une préface qui tente piteusement de justifier ce soudain retournement de veste.
- Malgré tout ça c'est très prétentieux.
- Parce que j'aime pas Breton et qu'on continuera de crier au chef d'oeuvre, alors je n'ai pas de scrupules.

Boris Vian.

Feu de plancher a écrit:

Boris Vian.

Boris Vian est l'un des rares que j'apprécie

Au pilon :

Zola
Proust
Sartre
Balzac
Racine
Corneille
Flaubert
Molière
Victor Hugo

Session de rattrapage pour :

Stendhal
Voltaire
Rabelais
Jean de la Fontaine

Mention pour :

Boris Vian
Marcel Aymé
Amélie Nothomb
José-Maria de Heredia
Robert Desnos

Mon Dieu, délivrez-nous de Werber et Nothomb!

grandjoe a écrit:

Mon Dieu, délivrez-nous de Werber et Nothomb!

Bernard Werber et Marc Levy, j'ai jamais lu donc je n'en parle pas, mais je suis sûr que ça doit être très bien (surtout Werber)

Bison Ravi.

le pigeon

ça fait peur peur peur peur peur

Primo Lévi

( y en qui le considère comme une référence je sais)

Ben pour moi, je peux affirmer que j'ai partagé sa douleur dans les camps de concentration... c'était affreux, j'veux plus jamais plus jamais

"le pigeon"

Il faut pas avoir peur ! mais il est de toute façon pas très terrible.

Le diable au corps c'est nul, vous êtes d'accord?

"Un homme désordonné qui va mourir et ne s'en doute pas met soudain de l'ordre autour de lui. Sa vie change. Il classe ses papiers. Il se lève tôt, il se couche de bonne heure. Il renonce à ses vices. Son entourage se félicite. Aussi sa mort brutale semble-t-elle d'autant plus injuste. Il allait vivre heureux"