PortailAccueilRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le coffret Collection Alakazam-ex ?
Voir le deal
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
Aller à la page : Précédent  1, 2
 

 Avis sur des correcteurs professionnels

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

 
Scribolitain
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  81
   Âge  :  37
   Date d'inscription  :  12/04/2021
    
                         
Scribolitain  /  Pippin le Bref


Tengaar a écrit:
Déjà je vois une différence entre "avoir un texte acceptable" et avoir un texte complètement corrigé. De une, il est très difficile même en ayant régulièrement 0 faute aux dictées de Pivot, de voir ses propres fautes (parce que les erreurs de frappes et les fautes d'inattention, sur un manuscrit aussi long cela arrive) et de deux, parce que le français est une langue difficile et si je sais la différence entre ces et ses, le pluriel de mots composés par exemple me pose encore question.

Je suis bien d'accord avec le fait qu'on ne peut pas, quand on a le nez H24 dans son texte, voir toutes les fautes. Mais je pense qu'un logiciel de correction + quelques bêta-lecteurs avec un bon niveau de français peuvent parfaitement faire ce travail de repérage de fautes de grammaire ou d'orthographe.

Tengaar a écrit:
De plus, la correction est totalement différent des autres "métiers" que tu cites : c'est une "science" dans le sens où il y a une réelle expertise

C'est un métier qui ne nécessite pas d'avoir de diplôme spécifique, où chacun peut se donner le titre de correcteur. Il y en a surement de très sérieux qui font parfaitement leur travail, mais je pense qu'il y en a aussi qui font cela parce qu'ils aiment lire, qu'ils savent à peu près écrire et se disent pourquoi pas moi ? Beaucoup évoquent une formation au Centre d’Écriture et de Communication. J'ai regardé les avis et ça ne fait pas rêver...

Sklaërenn a écrit:
Personnellement, je comprends tout à fait les tarifs, mais jamais je n'aurai les moyens de passer ça. C'est une réalité pour beaucoup de monde malheureusement.

Tout à fait. Je pense qu'il faut arrêter de faire croire aux auteurs qu'il faut débourser une fortune pour espérer être édité. Ca marche peut être pour certains et tant mieux, mais ce n'est pas une fin en soi.
https://scribolitain.com/
 
Verowyn
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  492
   Âge  :  37
   Date d'inscription  :  20/01/2013
    
                         
Verowyn  /  Pour qui sonne Lestat


Scribolitain, pour moi, tu mets dans le même panier deux pans très différents des métiers qui gravitent autour du livre.

D'un côté il y a tous les "accompagnateurs" : les coachs, les conseillers, les "je vous apprends à rédiger un synopsis/à pitcher votre roman/à écrire".
Ils s'adressent généralement aux auteurs qui veulent être publiés à compte d'éditeur et, oui, forcément, ils jouent un peu sur ce rêve pour trouver leur public.
Est-ce une bonne ou une mauvaise chose, ce n'est pas à moi d'en décider. Ce qu'il y a de certain, c'est qu'ils se placent peu ou prou sur le segment des agents littéraires côté anglophone, à la différence de taille que l'agent littéraire, comme un agent immobilier, se paie à la commission une fois la "vente" faite (le manuscrit signé chez un éditeur) alors que les "coachs littéraires" francophones se rémunèrent en amont, de la poche de l'auteur, et sans qu'il y ait obligation de résultats (vous payez votre forfait "entraînement au pitch" que votre pitch ait réussi à convaincre un éditeur ou non).

De l'autre, il y a tous les métiers qui relèvent traditionnellement de la responsabilité de l'éditeur : correcteur, maquettiste, illustrateur. Normalement, l'auteur n'a pas à payer un correcteur ou un illustrateur. Il relit son manuscrit au mieux pour mettre toutes les chances de son côté, mais évidemment, ça ne suffit pas à obtenir une copie parfaite, et c'est bien pour ça que les éditeurs font appel à des correcteurs, maison ou en sous-traitance.

Un auteur auto-édité, c'est quelqu'un qui décide d'endosser, en plus de son rôle d'auteur, celui d'éditeur. Alors soit il a beaucoup de compétences et de temps, soit il délègue. En plus, sincèrement, même en étant compétent, c'est à peu près impossible de se corriger soi-même (on peut corriger des textes qui ont plusieurs années, qu'on a oubliés et qu'on arrive à voir d'un œil neuf, mais sinon, on sera toujours beaucoup moins efficace qu'une tierce personne, même si on est par ailleurs un ou une correctrice compétente). Du coup, dans cette optique, il est tout à fait logique d'envisager d'embaucher des professionnels. Et comme ce sont des professionnels, ben c'est cher. (https://bienouquoi.wordpress.com/2017/03/02/combien-coute-une-couverture-de-roman/ un article de Tiphs qui explique le prix d'une couverture, c'est à peu près le même propos.)

Ensuite, il y a la question de pourquoi on veut s'auto-éditer.
Et c'est sûr que vu le marché du livre en France, il va être très difficile (mais pas impossible, certains y arrivent avec des campagnes Ulule ou autre) de financer soi-même le travail d'un correcteur/illustrateur/maquettiste, de rentrer dans ses frais, et de toucher en plus une rémunération pour son propre travail d'écrivain.
Et si l'écriture est davantage un hobby, que l'auteur n'a pas spécialement envie d'en tirer un revenu, à chacun de voir ce qu'il a envie d'investir dans ce loisir.
Un peintre du dimanche qui aurait envie de payer un encadreur pour mettre en valeur ses toiles, est-ce qu'on irait lui dire qu'il se fait arnaquer ou qu'il jette son argent par les fenêtres, sous prétexte qu'il ne le fait pas dans le but de vivre de ses peintures mais juste parce que ça lui fait plaisir d'avoir un vrai cadre bien posé sur ses tableaux ? Et est-ce qu'on irait dire à l'encadreur qu'il doit renoncer à son tarif habituel sous prétexte que le peintre est amateur ?
Si l'auteur n'a pas envie/les moyens d'investir, mon avis, c'est que ça se justifie tout à fait, mais en ce cas, il ne faut pas demander d'argent au lecteur. Il y a des tas d'endroits où publier gratuitement, et où on peut avoir le plaisir de trouver des lecteurs, de recevoir des commentaires sur son texte, d'échanger sur le processus d'écriture, etc.
Mais perso, quand je paie pour un livre, que ce soit en ME ou auto-édité, je m'attends à un vrai travail éditorial dessus.
 
Scribolitain
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  81
   Âge  :  37
   Date d'inscription  :  12/04/2021
    
                         
Scribolitain  /  Pippin le Bref


Verowyn a écrit:
Si l'auteur n'a pas envie/les moyens d'investir, mon avis, c'est que ça se justifie tout à fait, mais en ce cas, il ne faut pas demander d'argent au lecteur. Il y a des tas d'endroits où publier gratuitement, et où on peut avoir le plaisir de trouver des lecteurs, de recevoir des commentaires sur son texte, d'échanger sur le processus d'écriture, etc.
Mais perso, quand je paie pour un livre, que ce soit en ME ou auto-édité, je m'attends à un vrai travail éditorial dessus.

Il y a de tout en autoédition et je comprends tout à fait que les couvertures dignes d'un montage skyblog de 2004 et des pages bourrées de fautes en donnent une très mauvaise image. Après, personne n'est obligé d'acheter les romans proposés sur les plateformes en ligne. Personnellement, quand je vois une couverture immonde, je fuis. Idem si les premières pages d'extrait sont illisibles.

Mais de là à dire que l'on devrait publier gratuitement son texte sur lequel on a bossé des mois voire des années, sous prétexte que l'on a pas voulu ou pas pu investir 2000 euros en correction + 500 euros en illustration, je ne suis pas d'accord.

Certains voient effectivement l'écriture comme un hobbie et veulent juste partager leurs écrits, mais beaucoup aimeraient plus que cela. Sans pour autant devenir millionnaire, mais au moins espérer en tirer un petit revenu à la hauteur de l'investissement (intellectuel et en temps) que cela a demandé. Faut pas se leurrer, l'écriture est un travail énorme, parfois pénible. Et tout travail mérite salaire. Jamais je ne mettrai mes écrits gratuitement en ligne parce qu'ils représentent des mois et des mois de travail. Je ne suis pas la Mère Thérèsa de la littérature... Et si je dois faire payer des gens, je m'assurerai que la qualité soit optimale, sans pour autant me ruiner. Libre ensuite aux lecteurs d'acheter ou non Smile
https://scribolitain.com/
 
Sklaërenn
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  1512
   Âge  :  30
   Localisation  :  Dans le lointain des mystères
   Pensée du jour  :  I'm the fucking writer for my story life
   Date d'inscription  :  15/06/2013
    
                         
Sklaërenn  /  Roland curieux


Citation :
Certains voient effectivement l'écriture comme un hobbie et veulent juste partager leurs écrits, mais beaucoup aimeraient plus que cela. Sans pour autant devenir millionnaire, mais au moins espérer en tirer un petit revenu à la hauteur de l'investissement (intellectuel et en temps) que cela a demandé. Faut pas se leurrer, l'écriture est un travail énorme, parfois pénible. Et tout travail mérite salaire. Jamais je ne mettrai mes écrits gratuitement en ligne parce qu'ils représentent des mois et des mois de travail. 
Je suis totalement d'accord avec toi. Ce n'est pas parce qu'on a pas les moyens de passer par un correcteur qu'on doit donner accès libre à nos écrits. On y passe du temps, ce n'est pas rien. On fait énormément derrière, relecture, correction, etc... sans compter les heures de recherches parfois. Non, je trouve ça déplacé de dire que si on a pas les moyens on doit donner son roman. Nous sommes tout autant légitime que d'autre de vendre nos écrits.
http://airyscine.forumgratuit.org
 
Shub
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  2944
   Âge  :  119
   Localisation  :  À l'Ouest mais sans rien de nouveau
   Pensée du jour  :  Aller cueillir les escargots nu sur les baobabs
   Date d'inscription  :  12/09/2013
    
                         
Shub  /  Roberto Bel-Agneau


C'est pas uniquement les fautes de syntaxe, grammaire que le correcteur corrige. Cela, Antidote ou Cordial ou ce qu'on veut peut le faire même très bien. Les verbes faibles, les répétitions, la ponctuation idem...
Ce sont les liens, les phrases qui manquent comme lien ou en trop et qui font redondance: bref tout ce qui contribue à donner une cohérence de style et fait que au final le lecteur ne sursaute pas en se disant " tiens il manque un truc là ou cette phrase je comprends pas du tout". Après, l'auteur est maitre de son texte et peut rajouter ou enlever ce qu'il veut.
Je m'en suis aperçu en donnant mon roman à 3 ou 4 correcteurs différents qui m'ont corrigé le premier chapitre uniquement et j'étais étonné de la fluidité que ça donnait avec leurs corrections: presque l'impression de découvrir un texte que j'avais écrit.
Aussi à force de se relire, on voit plus ce qui pourrait choquer un lecteur qui lit votre roman pour la première fois.
 
Sklaërenn
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  1512
   Âge  :  30
   Localisation  :  Dans le lointain des mystères
   Pensée du jour  :  I'm the fucking writer for my story life
   Date d'inscription  :  15/06/2013
    
                         
Sklaërenn  /  Roland curieux


En l'occurrence, rien qu'en postant sur le forum, on a des corrections. Encore plus lors d'une BL. Alors ça ne vaut peut être pas un correcteur certes, mais c'est déjà un gros plus. C'est pour ça que je poste ici et sur d'autres plate forme de relecture. Pour justement avoir un oeil externe sur mon texte et je ne suis pas la seule. Sinon on resterais sur wattpad hein. Même si on peut avoir quelques conseils là-bas, ça ne vaut pas ceux que je reçois ici ou sur Scribay ou PA. La différence dans l'implication des lecteurs sur le texte qu'ils lisent est flagrante.
http://airyscine.forumgratuit.org
 
Verowyn
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  492
   Âge  :  37
   Date d'inscription  :  20/01/2013
    
                         
Verowyn  /  Pour qui sonne Lestat


Oh, c'est pas "si tu n'as pas les moyens d'investir 2000€ de ta poche dans une correction/travail éditorial/couverture ne vends pas ton livre."
Il y a plein de moyens de faire ça autrement qu'en payant soi-même :
- En trouvant un éditeur qui prendra en charge ces frais
- En menant une campagne de financement participatif
- En prenant le temps d'acquérir ces compétences et en faisant un échange de services (parce que non, on ne peut pas corriger son propre texte, l'idée, c'est précisément d'avoir un regard extérieur) avec un autre auteur auto-édité

Cela dit "j'ai passé du temps dessus, donc je fais payer" ben, pourquoi pas, mais est-ce que les gens sont prêts à payer, en fait, c'est ça la question.
Perso en tant que lectrice, je suis réticente à acheter des livres auto-édités en France parce que justement, même si l'intrigue peut être bonne, les persos intéressants, etc. souvent, le travail éditorial n'est pas à la hauteur, et quitte à mettre mes sous dans un livre, je préfère le faire pour un bouquin avec lequel je sais que je passerais un bon moment parce que le travail dessus aura été fait, qu'un livre avec lequel ce sera la loterie. J'achète sans problème des livres auto-édités côté anglophone, parce que là je sais que les auteur.ices traitent ça de façon pro et qu'ils/elles investissent dans un vrai travail éditorial avant de publier leur livre. Le marché en France est différent, et ça va être très dur de tirer de son écriture un revenu suffisant pour en vivre. Et donc de payer pour le travail éditorial. C'est le serpent qui se mord la queue, j'en suis consciente.

Cela dit, les artistes mettent des heures et des heures dans leurs tableaux (et investissent de l'argent dans du matériel voire des cours de peinture), les musiciens mettent des heures dans leurs chansons (et investissent de l'argent dans du matériel/des cours) et ça ne les choque pas que leur art soit visiblement gratuitement dans des galeries virtuelles, ou qu'on écoute gratuitement leur musique sur YouTube. C'est pas pour autant des "Mères Theresa" mais ils ont conscience qu'avant de pouvoir faire payer leurs œuvres, il faut déjà qu'ils trouvent leur public.
 
Scribolitain
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  81
   Âge  :  37
   Date d'inscription  :  12/04/2021
    
                         
Scribolitain  /  Pippin le Bref


Verowyn a écrit:
En prenant le temps d'acquérir ces compétences et en faisant un échange de services (parce que non, on ne peut pas corriger son propre texte, l'idée, c'est précisément d'avoir un regard extérieur) avec un autre auteur auto-édité

Je n'ai jamais dit le contraire. Je le dis d'ailleurs plus haut, un logiciel de correction et de bons bêta-lecteurs permettent d'améliorer son texte et je suis moi-même passée par là pour les deux romans que j'ai écrits. Même si nous ne sommes pas forcément face à des "professionnels", des proches qui lisent beaucoup ou des membres de sites type jeunesecrivains, Scribay ou autres comme le souligne Sklaërenn, peuvent beaucoup aider.

Citation :
Cela dit "j'ai passé du temps dessus, donc je fais payer" ben, pourquoi pas, mais est-ce que les gens sont prêts à payer, en fait, c'est ça la question.

Les gens font bien ce qu'ils veulent. Si le roman est une bouse et l'auteur inconnu, personne n'achètera c'est évident. S'il a une communauté, alors la communauté achètera. On peut discuter les goûts des lecteurs mais ils sont la cible des romans et si ça leur plait malgré des grossièretés de style, que peut-on y faire ? Je préfère des gens qui lisent des romans nuls plutôt que des gens qui ne lisent pas du tout.

Après, je reconnais que la masse de romans publiés de mauvaise qualité en autoédition n'améliore pas l'image du procédé mais je reste persuadée que l'on verra encore des succès par ce biais là. Et du succès notamment parce que des auteurs auront à cœur de présenter un texte correct avec les moyens qu'ils ont à leur disposition. Il faut juste faire un gros tri.

Après idéalement, oui, il faudrait qu'une maison d'édition s'en charge. Mais être édité en maison d'édition est un parcours du combattant, surtout en cette période covid/vagues de manuscrits. Et encore, cela n'est pas toujours gage de qualité. De nombreuses petites maisons proposent soi-disant une correction professionnelle et quand on voit le résultat... Suspect

Citation :
les musiciens mettent des heures dans leurs chansons (et investissent de l'argent dans du matériel/des cours) et ça ne les choque pas que leur art soit visiblement gratuitement dans des galeries virtuelles, ou qu'on écoute gratuitement leur musique sur YouTube. C'est pas pour autant des "Mères Theresa" mais ils ont conscience qu'avant de pouvoir faire payer leurs œuvres, il faut déjà qu'ils trouvent leur public.

Un musicien ne met pas ses musiques gracieusement sur Youtube. Il espère en tirer un bénéfice grâce aux vues et à la publicité. C'est un fonctionnement différent de l'autoédition dans le sens où le consommateur ne paye pas directement pour écouter la musique mais il reste néanmoins une logique financière.
https://scribolitain.com/
 
john
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  58
   Âge  :  76
   Localisation  :  Bretagne
   Date d'inscription  :  05/06/2021
    
                         
john  /  Clochard céleste


gadacu a écrit:
Merci Keanu.
Je te remercie pour tes encouragements. On partage tout les deux le même point de vue quant à la correction, même si je comprend les remarques de Scribolitain. Tout le monde ne peut pas se permettre de mettre une telle somme dans la correction.
De mon côté, la correction et la couverture étaient une évidence avant même la fin de mon premier jet. L'écriture de celui-ci à été très erratique et J'ai mit plus de 10 ans à le finaliser. La faute au manque de volonté ( un peu ), au doute ( beaucoup ) ou a la flemme ( souvent  Avis sur des correcteurs professionnels  - Page 2 263a ). C'est pourquoi je tient à mettre cette dernière couche de vernis pour prétendre à un minimum de qualité même si je sais que l'histoire et l'intrigue priment.
J'ai fini par choisir le correcteur en me basant sur des recherches approfondies sur le web et en me fondant sur divers avis. Je mettrai ici mon propre ressenti une fois que j'aurais récupéré le manuscrit corrigé et relu ( encore  Avis sur des correcteurs professionnels  - Page 2 1f625 )
En attendant, bonne écriture à tous et ne lâchez rien  Avis sur des correcteurs professionnels  - Page 2 1f601

Bonjour,

Je présume que tu n'a pas encore récupéré ton manuscrit corrigé,
En lisant je me suis demandé pourquoi tu n'avait pas scindé ton texte en deux, et mis la première partie à corriger en tant que Tome 1. Cela te serait revenu moins cher, et  si le texte est édité, permis de voir s'il trouve un public. En outre cela apporte un suspense pouvant se révéler incitateur à vouloir connaitre la suite.
Un éditeur sera peu enclin à publier un gros bouquin dont l'auteur est un inconnu, si tu préférais le proposer plutôt que de t'auto-éditer  Question Le prix de vente en serait prohibitif !
 
   
    
                         
Contenu sponsorisé  /  


 

 Avis sur des correcteurs professionnels

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum des Jeunes Écrivains :: Dépendances :: Discussions générales-