Ces derniers temps j’ai beaucoup fait de cauchemars.

Mis à part celui où y’avait mon amie Paziphaée, ils étaient vraiment durs.
Je pense que c’est lié au stress du déménagement, du voyage chez ma belle-famille et des événements extérieurs à moi mais qui pourtant me touchent.

Je crois que le pire a été celui où j’ai vécu l’enterrement d’une ancienne amie.

Nous étions assez peu nombreux, comme dans un désert,
On l’enterrait dans un vieux cercueil, on aurait cru une vieille commode.

Je faisais un discours dont tout le monde se fichait
Et dont tout le monde critiquait le fait que je n’étais plus son amie.

C’était son compagnon qui l’avait empoisonnée...

Je devais m’occuper de sa voiture, en l’emmenant à la fourrière,
Mais les gérants me refusaient l’entrée du véhicule parce que le certificat de décès était de la veille et que seul le propriétaire pouvait faire la démarche.

J’étais dépitée.

Cette « amie » va bientôt accoucher, le même soir ma sœur a aussi rêvé d’elle.

Un rêve bizarre elle aussi :

Elle avait accouché d’un enfant déjà grand dont elle se fichait
Et dont une vieille dame s’occupait à sa place.

Je crois qu’on s’inquiète.

Oh !

J’avais oublié de vous raconter l’histoire du noyer du village.

Il y avait un noyer qui donnait des noix immenses !
Je vous ferais une photo avec l’œuf dans ma main vous serez bluffés.

Il a été abattu cette année, il gênait les voisins...
Ma mère m’a gardée un fruit, pour le souvenir.

Et figurez-vous !
Ça se dit beaucoup chez moi.
Figurez-vous,
J’aime l’image que ça apporte au discours.

Donc figurez-vous !
Ils ont eu l’idée de faire des planches avec le tronc de l’arbre et
De les vendre...
Ma mère l’a voulu bien-sûr, fallait s’en douter, fallait même pas lui dire en vrai,
Du coup elle a acheté une planche faite dans le tronc du noyer,
Elle est jolie, ça fait une table de salle à manger, il est clair sur les bord et foncé au centre,
Bon on y mange dessus...

Ça me rappelle lorsqu’il y avait eu de fortes intempéries dans la région et que je faisais le standard téléphonique pour l’entreprise de travaux forestiers de mon père, un client me demande si nous pourrions venir pour abattre un noyer, je me souviens de cette conversation où pas encore vraiment touchée par les holorimies j’avais tout de même le sourire marqué. C’était beau l’innocence.

https://share.icloud.com/photos/0eZHYAlTp4RU2EgXYqUamZFdQ
Puis vous remarquez son bonheur d’être prise en photo...

Peut-être que je vous le dois,
Un poème.
Un petit poème où je parle de mon cœur avec amour,
Ceux comme j’ai l’habitude de faire, vous savez lol.

On vient de me demander pourquoi je rie toute seule...
Je ne suis pas seule ! Je suis avec vous, qu’un débile.
Bref, il me coupe ça coupe tout.

Oui, je suis derrière l’écran mais moi je suis avec vous.
C’est un bonheur d’écrire, ce n’est plus comme avant où je souffrais,
J’étais pas bien.
Là ça va, bon j’ai quelques bobos mais bon, hey on s’y fait.
Ma vie est autre ! Ça c’est vraiment le bon point.
Je souhaite vraiment à tous ceux qui sont dans la même impasse que j’étais, de s’en sortir.

Alors, je retourne à mes moutons, je vous dois un poème,
J’en dois un a Mirasoleou aussi, mais ça c’est autre chose.
Je vais vous en faire un.

Je me fais une tisane me concentre et j’arrive !

Je n’ai pas pris le temps de vous dire où j’allais,
C’est chose normale à vrai dire,
Il ne faut marquer.
Ni remarquer le temps.

L’heure est partie si vite.

Dans une fraction de seconde je ne serai plus l’instant que j’étais,
Sans en savoir plus, je n’aurai plus le même sentiment.

Que le point n’exprime pas l’audace,
La force s’en désempare.

Alors, le feu éteint renaît pour fondre à nouveau sous la glace.

A vrai dire, je ne parle pas tant de mon cœur...
quelle désolation
Veuillez m’en excuser, je tenterai un autre plus tard.

Aujourd’hui, c’était Noël.

J’avais fait des biscuits à la violette.

Avec un glaçage à la violette.

C’était bon.

Avec un glaçage à la violette.

J’avais fait des biscuits à la violette.

Aujourd’hui c’était Noël.

Veuillez m’en excuser, j’en tenterai un autre plus tard.
quelle désolation
A vrai dire, je ne parle pas tant de mon cœur...

Il s’approcha tant que je fus prise de tétanie.
C’est chrome mordu qui s’enfonce à ma bouche,
Un feu froid, mors fait place au cœur de mon organe mort criant
Dans le silence des prières du matin.

Peu après les coup de canon, pour mieux installer en moi la clairvoyance.

J’ai attendu, mais ce n’était pas attendre, j’étais retenue dans un coin creux du temps,
Que l’âtre étanche sa soif d’âme.

Le soleil est immense, tout doit y revenir, un peu comme à Dieu.

J’ai rêvé de lui cette nuit, l’albatros.

J’avais pourtant déjà tout oublié pour un autre que je laisse pur.

Nos façons, semblables à celles des beaux, ravivaient une flamme légère.
Rien ne fut imagé, c’était simplement gentillet,
Comme la voix de sa mère dans le combiné,
S’inquiétant des attentats religieux et le priant de venir la voir.
Ce jour-là, il me donna quelques billets en échange de l’achat de son billet.

Monsieur.

A la campagne !


Rien de mieux pour vraiment vivre en pyjama.

C’est génial, et quand on sent une boule remonter jusqu’au coude dans notre manche,
Non ce n’est pas la crise, ni la mère de la poésie, ni un ami imaginaire,
C’est votre grand mouchoir en tissu oublié depuis quelques jours !

Ah, qu’il est bon de le retrouver au moment opportun.

Un jour, bon là c’était à la campagne de mon père, celle-ci est à la frontière des
Pyrénées Orientales, de l’Ariège et de l’Aude,
Donc, un jour, la voisine vient jusqu’à notre salon, oui,
Les portes sont ouvertes et elle ne frappe pas,
Pour nous amener un long manteau noir en fausse fourrure,
Pour mon père, pour aller au travail.

C’est marrant de s’imaginer qu’un bûcheron puisse travailler en manteau de fourrure de dame...

On a rien dit, on a dit merci.

Je devrais le ramener et le porter, pour jouer à l’ours comme on avait joué.
L’ours puant !
Parce que là il doit sentir.

Encore une enquête !

C’était un jeu auquel nous aimions bien nous amuser.

C’est enfoiré de Majan, il a fini l’enquête...
C’est marrant parce que je ne supporte pas que quelqu’un gagne à ma place,
Mais là, j’accepte, pas de soucis.

J’ai toujours pas compris pourquoi il pensais ne pas avoir fini,
Ceci dit, ce n’est plus un problème,
Je comprendrai peut-être un jour...

Je sais que ce n’est pas vraiment un jeu où l’on gagne ou où l’on perd
Mais c’est plus fort que moi...

Après, pour l’expérience, je trouve qu’être forcée ainsi à écrire,
Ça n’a pas été super bénéfique pour mon écriture.

Je dois un poème a Mirasoleou que je n’ai pas fait.
Je devais avancer sur mon traité, je ne l’ai pas fait.
Je voulais écrire des poèmes d’amour, je ne l’ai pas fait.

Que le vent torche le reste, je finirai.

Ah, je ne l’ai pas dit à personne encore.

C’est donc un scoop, et pensez y si vous venez chez moi un jour.
Dans mon nouvel appartement, j’ai des toilettes adaptées pour les personnes à mobilité réduite.
Il y a six marches pour venir jusqu’à l’étage pourtant.

La cuvette est si haute que mes pieds ne touchent pas par terre,
Heureusement qu’il y a une barre en fer pour me tenir.

Désormais je peux vraiment dire : du haut de mon trône !

Du haut de mon haut trône la barre est haute.
J’espère ne pas vous emmerder.

Malgré le fait que les jolies maisons soient de plus en plus fonctionnelles,
Je regrette un peu ce temps des caravanes...
C’était si adorable, si joyeux, si bien !

On avait des toilettes dans la petite forêt,
Elles étaient hautes elles aussi !
Et il fallait vraiment bien se tenir...

Ma sœur a réussi à faire peur au cousin,
Et il est tombé dans le trou, mon dieu...
Je sais pas, je pense que je l’aurai tuée.

On est allés voir le trou il y a pas longtemps,
Il y est toujours.

La grande fourmilière non loin a disparu elle.

C’est étrange la fatigue,

Cette nuit je tâtais un corps, c’était une tête pour reconnaître qui c’était.
Le pauvre enfant dormait je ne me souvenais de rien,
Je dormais...

On a du me la poser là c’est pas possible mon lit est trop haut pour elle.

Bref, tout ça pour dire que mon lit aussi est haut !
C’est un modèle d’IKEA, le brimmes avec les grands tiroirs en dessous.

Je m’habitue à peine à cet appartement.
J’y ai trouvé mon train train.

Cet après-midi l’étagère de la salle de bains qui est haute !!
Trop haute pour moi en tous cas.
Elle est tombée...
S’est cassé un joli vase de Roumanie, bon il m’en reste un ;
Un petit pot en verre où je mettais mes épingles à cheveux ;
Et, figurez-vous, le déodorant de monsieur est tombé, je ne sais comment, sur un parfum aux bords pointus
Bim! Il s’est percé ! J’ai vraiment mis du temps à comprendre tellement ça sentait le parfum.
Le parfum lui est juste ébréché, avec un peu de chance, il s’ouvrira la main avec,
Tombera dans les pommes et se videra de son sang.

Demain il arrête de fumer, lol.

Cc

Je vous fais le poème du nouvel an...

Je commencerai l’année en botey !

J’ai que dix pour cent de batterie, j’attends, je vais aller m’en griller une avec vous au balcon...

Mes amis... j’ai passer le début de soirée avec ma yeufi, dada Ella, c’était bien on a fait une commande uber eat, ma première, on a pris des sushis et des giozas. C’était bon. Elle s’est renversé tout le jus de mange dessus parce que quand elle boit, elle gère pas trop encore cognitivement le rapport bouche bord du verre, là j’ai laissé faire parce qu’on est nouvel an, mais c’était du « je vide mon verre devant ma bouche sur moi » et j’en reveux parce que j’ai pas assez goûté et le peu que j’ai eu c’était bon...

J’avais mis une jolie nappe, avec des petits chats et des petits chiens, tout ce qu’on aime quoi.

Plus que huit minutes !

Sept.


Il y a déjà des gens qui font péter des pétards.

Six.

C’est bon les clopes... je regrette d’avoir arrêter.

C’est la magie de Noël.

J’ai pas pris mon mouchoir ! Je file je reviens !

Cinq.

Après j’enverrai des textos...

Quatre.

J’aurai pas vraiment pu la déguster avec ce nez là ! Fff

Trois.

Je reviens ça donne méga soif...
Fff

J’ai cogné mon chignon à la porte fenêtre.
J’ai envie de vomir lol

Deux.

Deux gars passent dans la rue, un crache un milliard dégueu.

Un.

Bon bé voilà je vais pouvoir bientôt vous la souhaiter...

J’entends des gens crier, toujours des pétarades !

Ça y est ça crie.

Y’a des rebeus qui font le youhyouh lol

Je vois des gens qui s’embrassent à une fenêtre, putain c’est pathétique lol

Bon je vous laisse, bisous.

L’enquête l’enquête l’enquête !

Encore et toujours cette enquête,
Les poèmes qui n’en finissent plus,
Il faut écrire écrire...

J’attends Pazi.
Comme ça, vu que Majan m’a lâché la main pour partir en devant,
J’ai au moins une amie et on peut gambader allègrement sur nos fils poétiques !

Aom, je ne sais pas pourquoi, il tarde un peu à mon goût.

Alors, un petit un, un petit deux !
On fait nos petits poèmes et on avance vers la fin.
Après ce sera fini, on aura plus ça à faire...
On trouvera autre chose.

Tiens, enfin, tenez !
Aujourd’hui on m’a envoyé un texto
(Un ancien membre de EEH)
On me demandait si j’étais toujours poète.
« Poète » c’est le terme utilisé.
Cesse t’on un jour de l’être ?

Je n’ai pas répondu, non mais c’est quoi cette question !
Un petit tour sur JE et c’est vérifiable.

Non mais oh !

Mais que fait donc Aom!!

Je m’exile dans ma taverne.
Il fait un peu froid.

Il y a de l’air frais qui m’entoure.

L’acteur de Messiah est beau.
Il a de beaux cheveux et un beau visage,
On dirait Liam en plus rebeu,
C’est marrant.
Mais je crois que c’est influencé par les personnages.

Aujourd’hui, c’est l’épiphanie :

« À cette occasion, par exemple :

les soldats tirent au sort, grâce à une fève, un condamné à mort qui devient « roi » le temps des réjouissances. Une fois les Saturnales achevées, la sentence est exécutée[9] ;
parmi les jeunes soldats, un roi est élu et peut commander tout ce qui lui plait[10] ;
peut être opéré un changement de rôle uniquement durant la fête des Saturnales entre le « maître » et l'« esclave » déterminé ou non par tirage au sort. » Wikipedia (extrait)

Les saturnales, hm hm.
J’ai mangé la galette, une frangipane...
En mettant le couteau dedans j’ai pensé :
Pourvu que je ne tombe pas directement sur la fève.
En encochant la deuxième fois pour ma finir la part, « krr »,
Le couteau a ripé dessus.
C’était Olaf, iel bonhomme de neige de la reine des neiges...
J’ai mis iel pk je sias pas quézaco ce bail.

Mais que fait la police !
Que fait Aom !
Que fais-tu mon amour !