Ok, je vais trouver un passage pas trop hard quand même....Et le poster sur la section appropriée Un court extrait d'une scène d'action

Penses-tu que nous pourrons t'aider sur un court passage sortit de nul part ?
Ne te dirige pas vers la section roman du coup,  je pense au miscellanées, mais je suis pas sûre.
A voir avec d'autres membres.

Voilà c'est posté sur les Miscellanées, effectivement c'est mieux je pense, c'est un court extrait j'avoue mais pour une première.....Enfin voilà

Pour ce qui est de mon cas perso, ce serait "poubelle", c'est-à-dire que je ne vais pas m'acharner à modifier un texte de la longueur d'un roman, surtout si les réponses des éditeurs sont uniquement des lettres types qui ne donnent aucune piste d'amélioration. De toute façon ce n'est pas une perte de temps, ce sont généralement des histoires que j'ai pris plaisir à écrire et qui m'ont forcément fait progresser dans l'écriture.

Je préfère partir sur un autre roman. Et celui qui a été refusé, je le mettrais en auto-édition sur Amazon ou lulu, ou que sais-je, histoire juste d'avoir mon petit produit fini que j'ai passé du temps à corriger et à rendre propre et beau.

Je ne suis pas trop au fait de comment ça se passe pour l'édition mais j'ai souvent entendu dire que les auteurs qui ont finalement été publié l'ont été après 2 refus de leur ME actuelle (il me semble que c'est le cas de Bernard Weber). Je pense qu'il ne faut pas te décourager. Continue d'avancer dans ton écriture, peut être que ce sera un roman futur qui sera publié !
Pour ceux qui est des avis et du forum JE, tu as mille et une solutions pour avoir des lecteurs et avis. Si tu ne souhaites pas que ton texte soit vu par tout le monde sur le forum, tu as la solution de la béta-lecture et des ateliers de correction.
Forcément nous sommes tous des inconnus derrière notre écran, mais lorsque tu vois que des personnes sont volontaires pour s'impliquer à t'aider, qu'est-ce que tu as à perdre à leur faire confiance ?

Mon premier roman , une romance érotique a été refusé partout également. Mais il ne faut pas l'abandonné, tu l'a écris avec tes tripes, tu dois persévérer. De mon côté j'ai écris le tome deux, qui a trouver de nombreuses lectrices. Du coup je crois que le tome un peut aussi y arriver. Je retravaille du début avec des yeux neuf et l'expérience que j'ai accumulé depuis.
Ne baisse pas les bras...

Oui j'avoue avoir pris une claque hier....Dans le sens où je me rends compte que ce sera mission impossible de trouver preneur, plus d'illusions possibles...Les nouvelles déjà c'est chaud à faire éditer, érotique l'est encore plus... Je me dis à quoi bon persister alors, du coup je vais me concentrer sur la correction de mon roman fantastique et ensuite me mettre à un nouveau projet , je vais laisser l'érotisme de côté....

Erotique, je ne sais pas, mais j'ai cru comprendre qu'il y a un regain de demande en ce qui concerne la romance en ce moment

Mon mari a souvent le droit à mes "de toute façon c'est nul, le seul éditeur qui a voulu de moi il ne me publie pas", pas plus tard que ce midi. Et comme il me l'a souligné, les ME publient ce qu'elles pensent être vendables, même si c'est bien écrit. Or, la fantasy ne doit pas très bien se vendre, contrairement aux récits romantiques. Sinon comment expliquer que des "daubes" (selon mon avis qui n'engage que moi) comme 50 nuances ou "merci pour ce moment" soit publiés ?

Et puis, tu peux penser à l'auto-édition. Perso, j'ai longtemps été contre l'auto-édition parce que je ne me serais pas sentie légitime comme auteur, avant de me dire que les indépendants ne le sont pas parce qu'on n'a pas voulu d'eux, mais parce qu'ils ont choisi une autre voie (le médecin n'est pas mauvais parce qu'il ne travaille pas à l'hôpital, l'auto-entrepreneur ne l'est pas parce qu'il a collectionné les années de chômage).

Si vraiment, as-tu essayé la collection "Musardine" je sais qu'ils publient des nouvelles érotiques.

J'adore ton post qui me conforte dans mes idées, nous avons les mêmes, je pense aussi que 50 nuances était vraiment pourri, une romance complètement désuète, faisant uniquement rêver les jouvencelles ( attention là c'est comme toi mon avis perso....) mais ça fait du fric....
La Musardine oui j'ai envoyé, je pense que ce serait d'ailleurs la seule ME qui pourrait me publier par rapport à leur ligne éditoriale, les autres sont justement trop dans la pudeur, les fleurs, les roses le champagne et tout le tintouin, hors, jusqu'à preuve du contraire, qui peut se vanter de vivre ainsi ? Nos relations intimes sont elles toutes aussi belles à vivre ? Non, en tout cas j'ai pas eu cette chance....Alors vendre du rêve , je ne peux pas, pas dans la romance en tout cas.
Question technique là par contre, je me maudit tout seul, je me sens misérable et inutile dans le sens où j'ai envoyé mon recueil sans être prêt en fin de compte, aujourd'hui, j'y retrouve des fautes encore, mes phrases sont bien trop longues, mon texte pas assez aéré...Alors j'aimerai leur dire aux ME à qui j'ai envoyé mes écrits : "Stop !! Arrêtez de lire, c'est pas bon, attendez que je recommence, j'ai été trop pressé, j'ai eu trop la flemme de retravailler la structure du texte, mais là je me sens opérationnel pour recommencer..."
Bref, je me sens vraiment trop naze sur ce coup là....Mais c'est trop tard tout a été envoyé...

Si j'étais toi... (et cela n'engage que moi...), je :
- conserverais bien au chaud mes nouvelles
- participerais à des appels à textes (La Musardine, Paulette et Dominique Leroy en proposent régulièrement)
- reprendrais mes nouvelles avec l'expérience gagnée

Bon dimanche !

Merci , toi aussi

Oui je les garde bien sûr, je les retravaillerai à tête reposée....

Merci pour vos précieux conseils qui m'ont quelque peu réveillé.

Les plus grands écrivains se sont parfois vus refuser un manuscrit des centaines de fois.

Oui je m'en doute bien, mais c'est d'autant plus rageant quand c'est de sa faute ....
Cela m'aura permis de revoir mes copies
Le nombre de fautes que je retrouve c'est fou ça....
Allez c'est reparti, j'y retourne

Pas mal de grands écrivains conseillent de partir du principe, qu'on ne serra jamais publié.