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 [Avis ME] Editions L'Harmattan

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Emsi
   
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Emsi  /  Double assassiné dans la rue Morgue


J'avais oublié de parler des exemplaires à acheter par l'auteur, donc j'étais dans l'erreur en disant que c'était gratuit d'imprimer chez eux. Pour le reste, bon moi je n'interviens plus dans ce sujet car les positions sont bien campées (et c'est très bien ainsi) et on va finir par tourner en rond (ce qui peut ne pas être désagréable non plus, dans un fest-noz par exemple... Very Happy)
 
marie-do
   
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marie-do  /  Pippin le Bref


Perso, j'entends et je lis beaucoup de la part de ces auteurs qui signent des contrats à compte d'auteur ou participatifs que "de toute façon c'est impossible de se faire publier , j'ai pas de relations etc...donc c'est mort, donc je me tourne vers ce type de maisons plutôt que mon livre ne voit jamais le jour". Et sur leurs réseaux, ces maisons répètent cela à l'envi et font tout pour conforter les auteurs dans cette idée (ils y ont tout intérêt d'ailleurs).
A partir du moment où les conditions sont clairement énoncées (ce qui n'est pas toujours le cas, notamment pour la promotion quasi inexistante) et acceptées, chacun est libre de faire ce qu'il veut. Je dirais que tout dépend de ses envies, de ses motivations, de ses espoirs.
Par contre il y a pas mal d'exemples, sur ce forum même, de personnes publiées dans des ME à compte d'éditeur, avec des contrats classiques, qui ne connaissaient strictement personne dans le milieu éditorial. Il y a plein de petites ou moyennes structures, à côté des gros mastodontes de l'édition, qui font du très bon travail et qui laissent quand même un peu plus de place pour des 1ères publications. Beaucoup se laissent aussi berner par la promo agressive, destinée à vendre du rêve, employée par les maisons participatives, souvent proportionnelle à leur degré de non investissement dans la suite des opérations.
 
Emsi
   
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Emsi  /  Double assassiné dans la rue Morgue


marie-do a écrit:
Par contre il y a pas mal d'exemples, sur ce forum même, de personnes publiées dans des ME à compte d'éditeur, avec des contrats classiques, qui ne connaissaient strictement personne dans le milieu éditorial. Il y a plein de petites ou moyennes structures, à côté des gros mastodontes de l'édition, qui font du très bon travail et qui laissent quand même un peu plus de place pour des 1ères publications.

Oui c'est très vrai aussi, mais avec un gros bémol : ces maisons dont tu parles ont, pour exister, besoin d'être très "genrées" (au sens saucissonage d'écriture du terme) : tu dois t'inscrire clairement dans un genre donné (SF, polar, young adult...et des tas de noms de genres dont on n'avait même as idée que ça puisse exister, il y a encore quelques années, et où on peut se demander jusqu'où ça va aller !). Mais dès que tu fais de l'hybride, ces jeunes maisons ne peuvent pas t'étiqueter, et ton texte ne passe pas. Je ne leur en fais pas le reproche : elles ont choisi un créneau dont elles pensent qu'il va marcher pour elles, donc elles s'y tiennent, c'est normal, mais je veux juste dire que si tu te situes en dehors des clous, c'est là que des gens "moins regardant" (non pas sur la qualité de ton écriture, mais sur ton genre d'écriture) peuvent te donner la possibilité de publier ton texte.

 
Azaby
   
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Azaby  /  Effleure du mal


Emsi a écrit:
marie-do a écrit:
Par contre il y a pas mal d'exemples, sur ce forum même, de personnes publiées dans des ME à compte d'éditeur, avec des contrats classiques, qui ne connaissaient strictement personne dans le milieu éditorial. Il y a plein de petites ou moyennes structures, à côté des gros mastodontes de l'édition, qui font du très bon travail et qui laissent quand même un peu plus de place pour des 1ères publications.  

Oui c'est très vrai aussi, mais avec un gros bémol : ces maisons dont tu parles ont, pour exister, besoin d'être très "genrées" (au sens saucissonage d'écriture du terme) : tu dois t'inscrire clairement dans un genre donné (SF, polar, young adult...et des tas de noms de genres dont on n'avait même as idée que ça puisse exister, il y a encore quelques années, et où on peut se demander jusqu'où ça va aller !). Mais dès que tu fais de l'hybride, ces jeunes maisons ne peuvent pas t'étiqueter, et ton texte ne passe pas. Je ne leur en fais pas le reproche : elles ont choisi un créneau dont elles pensent qu'il va marcher pour elles, donc elles s'y tiennent, c'est normal, mais je veux juste dire que si tu te situes en dehors des clous, c'est là que des gens "moins regardant" (non pas sur la qualité de ton écriture, mais sur ton genre d'écriture) peuvent te donner la possibilité de publier ton texte.



Je comprends qu'on puisse avoir ses positions et ses pensées sur le compte d'auteur et participatif...

Mais ce que tu dis sur le vrai monde de l'édition est juste faux drunken

Il y a un tas de maisons qui jouent avec les genres et fonctionnent au coup de cœur plus qu'à la stricte correspondance avec les codes d'un genre. Chez les grandes maisons, ou chez les plus modestes. Hors cas d'appels à textes précis, il y a des maisons pour tout type de texte. Absolument tous. Hybride ou pas. Ce n'est pas le caractère hybride qui sera un obstacle à l'édition au sens large. Certaines maisons pourront être frileuses si c'est un hybride SF-romance par exemple, si vraiment ils n'aiment pas la romance. Mais pour la vie de ton roman au sens large, ne pas répondre exactement aux codes d'un genre n'est pas rédhibitoire pour être édité.

Les maisons à compte participatif seront (et c'est un fait qu'on accepte ou pas, mais un fait quand même : c'est le principe même de leur fonctionnement) moins regardantes sur la qualité d'écriture également. C'est d'ailleurs pour ça qu'elles éditent plus d'auteurs débutants. Pour ça aussi qu'un auteur installé ne signera jamais avec ce genre de maison. Parce que le travail éditorial y est moins bon, et la qualité générale du catalogue également.

Dans l'écrasante majorité des cas, un texte qui ne trouve pas d'éditeur (même modeste) est un texte qui n'est pas prêt à être édité. Soit parce qu'il manque de travail soit parce qu'ils sont mal nés.

Mais ça ne sert à rien de rejeter la faute sur le genre du texte qui ne serait pas "vendeur". La plupart du temps, c'est se mettre des œillères.
 
HilnaMacPhom
   
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HilnaMacPhom  /  Gloire de son pair


Azaby, je dis ça très gentiment, mais je trouve que tu es un peu dure.
Prétendre que seuls les gens qui ont des relations dans l'édition se font éditer, c'est abusif, ok
Dire que ceux qui ne le sont pas ne le doivent qu'à des textes de piètre qualité, c'est abusif aussi.
La réalité est plus complexe.
 
Azaby
   
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Azaby  /  Effleure du mal


HilnaMacPhom a écrit:
Azaby, je dis ça très gentiment, mais je trouve que tu es un peu dure.
Prétendre que seuls les gens qui ont des relations dans l'édition se font éditer, c'est abusif, ok  
Dire que ceux  qui ne le sont pas ne le doivent qu'à des textes de piètre qualité, c'est abusif aussi.
La réalité est plus complexe.

Je n'ai jamais dit "de piètre qualité". J'ai dit "pas prêt pour l'édition". Ce qui peut concerner la qualité intrinsèque du texte, de l'idée, du style, certes, mais également tout le reste. L'architecture, la thématique parfois usée par l'actualité ou passée de mode, la façon dont est distillé le message du récit...

Ça ne signifie pas qu'un texte qui n'est pas publié est "mauvais". De toute façon, on sera d'accord pour dire qu'il y a aussi de mauvais textes qui sont publiés.

Mais dans la plupart du temps, si aucun éditeur à compte d'éditeur n'en veut, c'est qu'il n'est pas publiable. Presque tous les auteurs chevronnés ont des manuscrits au placard, ça ne dit rien de notre compétence en tant qu'auteur.


Je sais que ça peut paraître délicat et douloureux à entendre, mais je trouve qu'il est contre-productif - en plus de donner du grain à moudre aux comptes d'auteur - de chercher des excuses qui n'en sont pas.

Non, ce n'est pas parce qu'un manuscrit est "entre deux genres" qu'il ne sera pas publié. Peut-être que le fait qu'il soit entre deux genres pose des problèmes de ton, de gestion de l'intensité narrative, ou des difficultés structurelles...

Les éditeurs sont des professionnels de l'édition. C'est leur métier. Ils peuvent bien sûr commettre des erreurs de jugement, mais s'ils sont unanimes sur un manuscrit en l'estimant non-publiable, il y a pas mal de chances qu'ils aient raison.

Ceci dit, un texte qui n'est pas publié/publiable à l'instant t n'est pas un texte condamné, ou mort-né : il y a la possibilité de le retravailler plus tard, d'attendre un meilleur moment de sa carrière pour en discuter avec un éditeur directement et voir comment le peaufiner, envisager l'auto-édition, le poster en ligne... bref, ce n'est pas qu'un échec, c'est aussi l'ouverture à des alternatives respectueuses de son travail. Parce que c'est ça qui importe : que le travail de l'auteur soit respecté.

Des éditeurs décents, à compte d'éditeur, il y en a des centaines. Des dizaines pour chaque genre (à l'exception peut-être de la nouvelle, du théâtre et de la poésie). Ça ne sert à rien de voir le monde éditorial comme une masse impénétrable et souvent hostile qui refuse la nouveauté.

Quitte à se tourner vers des systèmes aberrants "'d'édition" alternative, autant le faire avec les idées claires et sans donner l'impression à de jeunes aspirants auteurs que c'est une voie par défaut, qui offre des opportunités que la véritable édition n'offre pas. Surtout si c'est pour prétendre que l'édition participative est aussi regardante sur la qualité des textes publiés. Parce que c'est au mieux une illusion, et au pire un mensonge.


Ce n'est pas moi qui suis dure, malheureusement... c'est la réalité du terrain.
 
marie-do
   
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marie-do  /  Pippin le Bref


Ce n'est peut-être pas très agréable à entendre mais je crois qu'azaby a tout à fait raison sur le fond. Si notre texte n'est pas retenu malgré son passage chez de nombreux éditeurs, ce n'est pas que le texte est mauvais mais en tout cas pas assez bon ou qu'il lui manque quelque chose d'essentiel (tout est relatif hein, on parle d'un milieu très sélectif et exigeant) au moins pour attirer l'attention d'un éditeur ou obtenir un retour un peu personnalisé.
Je crois aussi qu'il ne faut pas imaginer qu'un éditeur attend obligatoirement le manuscrit parfait, le texte génial publiable sans en changer une virgule. Ce n'est presque jamais le cas d'ailleurs. Parfois le texte publié peut même être très remanié par rapport au manuscrit initial. Je me souviens d'une discusson avec une éditrice qui m'avait dit qu'elle ne lisait absolument pas un manuscrit comme on lit un livre, qu'elle faisait abstraction de plein de détails mais que son travail consistait à lire avant tout son potentiel.
C'est un boulot très intuitif au final même s'il y a aussi des aspects objectifs, les erreurs de jugement peuvent bien sûr exister mais en multipliant les envois il me semble qu'on les réduit quand même de façon significative donc un "bon" texte finit tôt ou tard par trouver son chemin je pense. Et puis parfois il faut peut-être savoir passer à un autre projet. Un texte peut ne pas marcher et le suivant être plus mûr pour une publication ou inversement. On peut avoir déjà publié et ne pas trouver preneur pour un texte ultérieur..
 
L'Apache
   
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L'Apache  /  Petit chose


Je constate que le sujet a été largement rebattu et qu’il ne sera pas nécessaire de prendre de gants. J’ose espérer (si quelqu’un n’a pas reçu une réponse en tout point similaire à la mienne) que ma contribution au topic servira tôt ou tard à quelqu’un.

Compte tenu des articles publiés il y a quelques années, et du procès attenté contre eux, j’étais assez méfiant vis à vis de l’Harmattan (quoique je fréquente assidûment leurs librairies, rue des écoles), mais je me suis tout de même amusé à leur envoyer mon premier roman, en parallèle de ma contribution à leur concours de texte théâtral qui m’intéressait beaucoup.

Le roman en question, s’il me tient à coeur, m’a toujours paru impubliable. Inclassable, sujet vaporeux, personnages inexistants/non caractérisés ; le tout rédigé dans une langue si ampoulée qu’il me tombe des mains chaque fois que j’entreprends de le relire pour le débarrasser de quelques scories. Raison pour laquelle je me suis concentré sur d’autres projets, pour y revenir potentiellement un jour.

Contre toute attente la réponse de la ME est arrivée rapidement (moins d’une semaine !). Autant dire qu’il me paraît impensable qu’ils aient eu le temps de lire l’ouvrage ou même de le cerner, s’ils croulent effectivement sous les manuscrits.

En quoi consiste leur réponse ?
Le directeur de collection serait intéressé, mais juge mon texte trop long. Il me propose donc de le publier en deux fois. Pour l’avoir imprimé – non édité – sur deux plateformes au format poche conventionnel, il dépasse rarement les 330 pages, ce qui ne me semble pas être excessif, bien qu'il soit plutôt compact. J’en déduis donc qu’ils espèrent de moi que je paye deux avances sur publication et qu’il me faudra, en cumulant les deux œuvres, atteindre 1000 ventes pour espérer gagner un centime. Je précise qu’il s’agit d’une hypothèse de ma part, puisque je n’ai pas encore donné de réponse à leur proposition ni reçu de contrat.

Qu’en pensez-vous ?
 
Jimilie Croquette
   
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Jimilie Croquette  /  De l'Importance d'être Constamment Là


Tu dis toi-même que ton texte est mauvais, que L'harmattan a mauvaise réputation, qu'ils ne l'ont certainement pas lu et que ça va te coûter plein d'argent.

Puis tu termines par "qu'en pensez vous" ?

Je ne comprends pas ta question (ni ta démarche).
https://linktr.ee/emilie_goudin.lopez
 
L'Apache
   
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L'Apache  /  Petit chose


Je me suis mal exprimé !

Je me demandais simplement si d'autres personnes avaient reçu une proposition similaire (une publication en deux volumes) par l'Harmattan, et si mon intuition était la bonne. J'ai lu toutes sortes d'avis sur ce sujet, certains étant plus nuancés que moi.

Concernant mon texte, je ne le trouve pas mauvais. Il mériterait d'être retravaillé, c'est certain, mais je m'étonnais surtout que la réponse porte sur sa longueur et non sur l'ouvrage en lui-même.
 
Tengaar
   
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   Pensée du jour  :  CI-GÎT TENGAAR QUI SUCCOMBA À UNE SURDOSE DE FANFICTION Elle ne l'a pas volé, on l'avait prévenue, déjà que la fantasy c'est pas de la littérature, alors la FF, bon... enfin, c'est triste quand même
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Tengaar  /  (de Dunkerque)


Tu peux lire les 10 pages qui précèdent et tu auras un bon aperçu de ce que la majorité des JE ici pensons de cette ME.
 
L'Apache
   
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L'Apache  /  Petit chose


Il m'avait semblé, après avoir lu l'essentiel des retours, sur les dix pages en question, que la réponse n'était finalement pas si évidente et qu'il n'était pas impossible que certains textes soient sélectionnés pour leurs qualités (je pense en particulier aux réponses de Plumerose), ce qui n'est sans doute pas le cas du mien. Du moins, je doute qu'ils l'aient seulement parcouru.

Mon témoignage n'aboutira sans doute pas à grand-chose, vous avez raison, mais sait-on jamais silent
 
Jimilie Croquette
   
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Jimilie Croquette  /  De l'Importance d'être Constamment Là


Sait-on jamais quoi ? J’ai du mal avec les expressions toutes faites, les non dits et les sens cachés.

https://linktr.ee/emilie_goudin.lopez
 
L'Apache
   
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L'Apache  /  Petit chose


Il n'y a pas de sens caché ou de non-dit, je me contentais de faire état d'un mail reçu aujourd'hui et qui, même avec des a priori (confirmés par le sujet et par vous en particulier) m'interrogeait. Si cela vous paraît plus clair, je peux supprimer la question de mon premier message, qui devient donc un témoignage parmi d'autres.

Le "sait-on jamais" s'adressait surtout aux personnes qui auraient reçu un mail similaire (j'aurais dû le spécifier).
Je ne parle pas d'une réponse de l'Harmattan en général, mais d'une proposition de publication en deux temps.

Désolé !
 
Verowyn
   
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Verowyn  /  Pour qui sonne Lestat


Si tu veux qu'on puisse juger si c'est étrange de leur part de proposer deux tomes, il faudrait que tu nous précises le nombre de mots/signes de ton manuscrit. Un nombre de pages selon une mise en pages que tu as faite toi-même, ce n'est pas forcément très révélateur.

Après, envoyer à un éditeur un manuscrit que tu n'arrives pas à relire parce qu'il te tombe des mains à toi, son auteur, c'est quand même quasi t'assurer que tout prestataire qui te dira oui, surtout en un temps court, n'aura effectivement pas lu le texte.
 
   
    
                         
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