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 [Marathon du 14-15 août] Commentaires

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Ludwig
   
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Ludwig  /  Autostoppeur galactique


Bon, voilà mes commentaires. Je n’ai pas lu ceux des autres (ou alors en diagonal) et risque de relever certaines erreurs déjà signalées. Vous me pardonnerez (comme vous me pardonnerez de relever principalement les défauts, j’aime garder mes bonnes remarques pour moi).

@Sioul :

Citation :
par la même occasion d’éviller
d’éveiller

Citation :
on la même vu
l’a

Citation :
tu me laisse
laisses

Citation :
vit deux tribus
Vivent

Citation :
les deux tribus ne faisait qu’une
Faisaient

Citation :
l’inconnu vous fais peur et ce qui vous fais peur
Fait

Citation :
si vous échoué
Echouez

Citation :
La tribu en fut intrigué
Intriguée

Citation :
ne voulaient que rassurés leur famille leur famille interrogèrent leur Père mais sans réponse
Rassurer
Aussi, je trouve que la fin de la phrase « sans réponse » sonne bizarre avec le reste de la phrase. Il faudrait trouver un substitut plus approprié.

Citation :
d’autres restait près du Père à sans arrêt
Restaient
Le « à » est de trop aussi. Un oubli de ta part dans ton changement de tournure de phrase je suppose.

Citation :
d’autre s’énervait
D’autres s’énervaient

Citation :
un jour… On retrouva
Comme les points de suspension ne font que marquer une pause dans la phrase, la majuscule est de trop ici.

Citation :
c’est jour-là
Ce jour-là

Citation :
et la plupart le
Le « et » est de trop.

Plus globalement, même si ton extrait gagnerait à être agrémenté d’un brin de descriptions pour dire de lui donner une atmosphère, l’appât est donné. Tu rends le lecteur curieux aussi bien sur les mystères englobant ce meurtre que sur la nature de l’épreuve contée. Et puis, le pays outre-mer, ça laisse deviner qu’un voyage périlleux suivra et ça anime l’imagination. L’essentiel est là. Ne reste plus qu’à vendre ton intrigue en peaufinant la forme.

@Duvodas :

Extrait 1 :

Citation :
parvenait toujours pas a réaliser
à

Citation :
Comme si le chagrin s'était vu pousser des griffes
Hum, ça ressemble à une allégorie, non ? Si c’est bien le cas, il faudrait ajouter une majuscule à « chagrin ».

Citation :
Comme si le chagrin s'était vu pousser des griffes avec lesquelles il avait foré un trou béant sous ses côtes et en avait extrait toute la masse organique.
Avis personnel : Ce serait bien d’être un peu plus cru dans tes propos *A* ! Tu n’exploites pas assez le potentiel de ta comparaison.

Citation :
comme lors de ses chagrins boudeurs
Vilaine répétition du chagrin. Et fais attention aux comparaisons, c’est une figure de style percutante quand elle n’est pas surutilisée. Ou alors alterner avec les métaphores, parce que les « comme comme comme », ça sonne un peu maladroit.

Citation :
Mais il n'était plus enfant. Il n'était plus rien. Hors de l'espace et du temps, hors du monde, il continuait de se balancer.
Là, en revanche, les répétitions sont bien employées, ça donne une ambiance. Ce que tu recherchais.

Extrait 2 :

Citation :
Le soleil entamais
Entamait

Citation :
son gigantesque arc de cercle autours du monde
Autour

Citation :
Le soleil entamais son gigantesque arc de cercle autours du monde et l'on aurait cru les montagnes recouvertes de filons d'or
Il y a quelque chose qui me bloque dans cette phrase. Je pense que c’est l’expression « son gigantesque arc de cercle autour du monde ». C’est un peu lourd, il faudrait alléger ça, je pense.

Citation :
La froidure intense l'engourdissait, mais il pourrait bientôt avaler un peu d'eau.
Je ne suis pas sûr de l’exactitude des descriptions sensorielles. Ce qui est certain, à mon sens, c’est qu’elles sont trop expéditives pour animer l’empathie du lecteur.

Citation :
Le froid. Les tremblements et les claquements de dent. La fin ?
Encore une fois, c’est si simplifié que ça en deviendrait presque comique. Je ne pense pas que ce soit l’effet recherché.

Citation :
La fin ? Peut-être. Le jeune homme craignait qu'une fois le moment venu, il ne puisse se relever pour escalader.
C’est étrange de craindre qu’à sa fin, on ne puisse plus se relever pour escalader.

Bref, à mon avis, ce qui cloche dans cet extrait, c’est la part superficielle accordée aux pensées de ton personnage, à ses ressentis, nostalgies et appréhensions. Il y a du potentiel à ton texte, un potentiel laissé en rade et c’est dommage. Pour le moment, je ne vois qu’un squelette avec quelques bouts de chaire.

@Erane :

Citation :
et quittèrent les branches où ils se tenaient perchés
Je pense qu’un simple « quittèrent leur nid » suffirait. Cette périphrase alourdit plus qu’autre chose le texte.

Citation :
le temps que tout revienne à la normale
Une précision de trop, je trouve. On devine qu’ils reviendront quand tout rentrera dans l’ordre.

Citation :
Elle tremblait contre sa poitrine et c’est avec peine qu’elle articula quelques mots :
- Une si longue vie d’errance pour finalement trouver un bonheur plus qu’éphémère. Le destin est vraiment cruel.
Est-elle réellement tétanisée ? Je veux dire, son dialogue est si fluide qu’il en deviendrait presque lyrique. Ça ne me paraît pas très naturel.

Oui, en règle général, les dialogues amorcent bien l’intrigue, trop à mon goût. Je doute que quiconque parlerait de la sorte devant l’imminence d’un danger de cette envergure. Un danger intriguant, vraiment, mais tellement gros qu’il n’a pas besoin de tant de fioriture. Oui, il faudrait être plus sobre de ce côté pour favoriser la détresse ponctuelle de tes personnages. On voit trop que tu cherches à inquiéter le lecteur, ce qui fait que tu obtiens l’effet inverse. Du moins, c’est mon impression.

@Guardian of the Moon :

Extrait 1 :

Citation :
Lorsqu’ils pénétrèrent dans la forêt, ils ne furent pas surpris de ne rien entendre. Habituellement, à cette heure, des cris d’enfants résonnaient, ainsi que ceux du professeur qui leur ordonnait de se calmer.
Comment se fait-il qu’ils ne soient pas surpris de ne rien entendre alors qu’ils sont habitués à ce qu’il y ait du bruit à cette heure ?

Citation :
la bande des vingt moins un était réunie
Au-delà de cette tournure de phrase surprenante, qu’est-ce que ce groupe a de si caractéristique pour que le narrateur ressente autant d’empathie à l’égard des enseignants ? On se doute que ce sont des terreurs, m’enfin, ce serait bien d’imager un peu pour ressentir la même empathie que ton personnage.

Citation :
Spenlo eut un frisson dans le dos
Spenlo ? On était pas dans la peau de Wilfried ?

Citation :
A ces moments-là
Il faut accentuer les majuscules.

Citation :
Si bien qu’à force, Wilfried ne savait plus où tomber de la tête
L’expression n’est-elle pas « ne plus savoir où donner de la tête ? ». Car « tomber de la tête »… Hum.

Citation :
Quoique rester avec Jamaël une heure entière pouvait également s’avérer un dur instant.
Encore une tournure de phrase qui me fait tiquer. « s’avérer être » fluidifierait déjà un peu plus la lecture. Et « instant », ça me semble un terme un peu trop faible pour ce que tu veux exprimer. « moment » peut-être ?

Alors, au vu du contenu de la dispute, dois-je comprendre que les ( ?) narrateurs sont des enfants ? On sait qu’ils viennent de rentrer dans une forêt, le reste de l’extrait évoque-t-il une introspection ? Je dois dire que je ne sais pas trop dans quelle tête je suis quand je lis ces quelques phrases, j’ai du mal à m’intégrer au récit. C’est un peu confus. Tu essaies de présenter tes personnages ? Si c’est le cas, ce serait bien d’user d’un peu plus de pédagogie pour éviter de donner l’impression de rentrer des informations à coup de marteau. Alterner souvenirs et actions effectives ou données extérieures (description de l’environnement, de ce qui s’y passe) en soignant les connexions serait une bonne solution. Je te laisse voir.

Extrait 2 :


Hooooo, Wilfried et Spenlo ne sont qu’un seul personnage ? En effet, c’était difficile à deviner x).

Citation :
pour lui indiquait
Indiquer

Citation :
sud est
Il manque le tiret.

Là, c’était déjà plus facile à suivre, plus fluide. Ça a davantage titillé ma curiosité malgré que certaines phrases soient tournées assez maladroitement. Surtout au début.



Voilà, j’attaquerais les autres extraits plus tard. Maintenant, les commentaires sur mon extrait.

Oui, j’aime bien le gore Guardian. Pas le gore gore. J’aime pas le gore nature. Mais le gore, oui, j’aime bien. Je crois que ça ne surprendra personne °°.

Citation :

Citation:
Sans poids au moment du changement de propriétaire, le pistolet retrouve progressivement sa consistance.
?
Le narrateur vient de recevoir une arme à feu. Dans l’instant, il ne sent rien sur sa paume, comme si l’arme demeurait irréelle. Néanmoins, l’extrait commence par la prise de consistance du pistolet, soit, son poids. Après, dans la manière d’exprimer cette sensation, la formulation laisse à désirer, je le concède.

Citation :

Citation:
Outre le métal froid, une substance liquide coule sur sa peau, un liquide tiède.
...
Une répétition volontaire oui °°.

Personnellement, je ne connais pas Bellemare. Je me trompe en disant qu’il a un style d’écriture lourdingue ? C’est en effet mon plus gros défaut, tu ne seras pas passé à côté. D’ailleurs, c’était encore pire à mon inscription ici. M’enfin, je me soigne.

Citation :

Citation:
Impuissant, la flaque grandit et immerge l’intérieur de la bâtisse.
Ça va pas là: impuissant, il… Que vient faire la flaque ici ?
« Impuissant » se rapporte au narrateur condamné à subir cette flaque grandissante au point de l’immerger totalement. Peut-être faudrait-il déconnecter ce mot de cette phrase. Ça prête à confusion en effet ou tout du moins, ça peut rendre sceptique.

Citation :

Citation:
Un son le frappe, celui des pleurs migraineux, répétitifs et perçants du nourrisson au fond de la demeure.
Rien que ça ?
Haha, une accumulation qui sonne comme une hyperbole maladroite oui.

Citation :
Citation:

Seul l'atteint les données sensorielles frappant les récepteurs de sa boîte crânienne.
L’atteignent, données sensorielles je ne suis pas fan à moins qu’on vire x-files, mais je situe mal le registre donc tu jugeras.
J’y reviendrais. Dans tous les cas, merci pour ton commentaire, il m’aide beaucoup.

On n’est pas loin du rêve en effet Alaxel, je suis content que ça te plaise.
Pour Liseron, tu as très bien compris le contexte de l’extrait, une hallucination pour ainsi dire cauchemardesque (pour reprendre l’expression de Duvodas). En effet, l’extrait ne sert pas tant à donner une idée de l’intrigue du roman (bien qu’on se doute du genre) qu’à donner un aperçu de l’atmosphère générale. Pour l’arme, on ne peut comprendre en dehors du contexte général.
Mon image de profil est inoffensive Cidylee, t’inquiète o/.
Tu ne te trompes pas non plus Cassis, et je me rassure de voir qu’un extrait si flou soit perçu de la bonne manière par tous.
Nastassiac ne sera pas passée à côté de l’appât. Oui, j’aime beaucoup jouer sur les sonorités, un peu trop par moment, ça peut alourdir mes descriptions et me faire écrire des phrases absolument alambiquées.
Ravi que tu sois si sensible à ma gorattitude Duvodas, ça fait plaisir à voir XD. Et sensibilité du lecteur… Hum. Ils sont maltraités les quelques lecteurs sensibles qui me lisent. *toussote*

Bref, merci à tous pour vos commentaires encourageants !
 
Guardian of the Moon
   
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Guardian of the Moon  /  Journal du posteur


Citation :
Comment se fait-il qu’ils ne soient pas surpris de ne rien entendre alors qu’ils sont habitués à ce qu’il y ait du bruit à cette heure ?
Parce qu'ils savent que les élèves sont en permanence.

Citation :
Au-delà de cette tournure de phrase surprenante, qu’est-ce que ce groupe a de si caractéristique pour que le narrateur ressente autant d’empathie à l’égard des enseignants ? On se doute que ce sont des terreurs, m’enfin, ce serait bien d’imager un peu pour ressentir la même empathie que ton personnage.
Wilfried Spenlo est un professeur, justement. Donc, il a de l'empathie pour cette bande justement parce que les membres qui la constituent sont de vrais terreurs qui ne lésinent pas sur les moyens pour pourrir la vie des profs.

Citation :
Spenlo ? On était pas dans la peau de Wilfried ?
C'est le même ^^

Citation :
L’expression n’est-elle pas « ne plus savoir où donner de la tête ? ». Car « tomber de la tête »… Hum.
Euh...si xD

Citation :
Alors, au vu du contenu de la dispute, dois-je comprendre que les ( ?) narrateurs sont des enfants ?

Non, comme dit au dessus, ce sont deux adultes : l'un est un professeur, l'autre un politique.

Citation :
On sait qu’ils viennent de rentrer dans une forêt, le reste de l’extrait évoque-t-il une introspection ?

Qu'entends-tu par là?

Citation :
Je dois dire que je ne sais pas trop dans quelle tête je suis quand je lis ces quelques phrases, j’ai du mal à m’intégrer au récit. C’est un peu confus. Tu essaies de présenter tes personnages ? Si c’est le cas, ce serait bien d’user d’un peu plus de pédagogie pour éviter de donner l’impression de rentrer des informations à coup de marteau.
Je ne présente pas mes personnages. Ce que j'avais oublié, c'est que vous ne connaissez pas ces personnages et donc, la compréhension de l'extrait serait difficile. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai mis un autre extrait.

Merci du commentaire Smile
 
Duvodas
   
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Duvodas  /  Buffalo Bic


Merci, Ludwig, pour ton analyse. ^^

Ouais, c'est un peu trop concis, comme texte. je devrais développer l'aspect psychologique du texte et exploiter les pistes que je n'ai pour l'instant fait qu'ouvrir.

Merci encore ! ^^
 
Ludwig
   
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Ludwig  /  Autostoppeur galactique


Ho, en effet Guardian, faut vraiment connaître le contexte pour comprendre l’extrait. Par introspection, j’entendais qu’il semblait entrer dans une série de souvenirs, ni plus, ni moins.

@ Noicaut :

Citation :
recopiait, quelques pages juste pour avoir le plaisir d'écrire
Je ne suis pas sûr que la virgule soit bien placée. Un petit caillou qui fait trébucher la fluidité tête la première contre le granit.

Citation :
Sinon, Joanna recopiait des recettes, les biographies des célébrités qu'elle aime bien
Confusion de temps. Encore, la formule « qu’elle aime toujours » ne m’aurait pas gêné. Mais là. Je ne sais pas, encore une fois, ça me bloque.

Citation :
Il s'apelait
S’appelait

Citation :
(exemple : Je ne dois pas taper ma soeur)
En plein milieu d’un récit ?

Bon, là, je n’ai eu aucune empathie pour le personnage décris ce qui est regrettable dans le sens où ça semble être l’intention de l’auteur (je veux dire, qu’on s’identifie à Joanna). M’enfin, il n’y a rien dans ces descriptions qui titille ma curiosité. Un peu plus de tonus et d’excentricité ne ferait pas de mal à ce texte.


@ Cidylee :

Citation :
Si je paraîssais être hors de contrôle de mes pouvoirs
Ce ne sont pas plutôt ses pouvoirs qui paraissent être hors de contrôle ? Là, formulé tel quel, on a l’impression que ses pouvoirs ne parviennent plus à contrôler l’utilisatrice, ce qui est curieux.

Citation :
Elle se retrouverait coincer dans mon piège et sera
Coincée
Retrouverait… sera… Tu vois pas quelque chose qui cloche ?

Citation :
de me dire la vérité et pourquoi elle me suivait jusque dans la Teerr
Formulation étrange, assez maladroite.

Citation :
Difficile de calmer une folle furieuse, n’est-ce pas ?
Boarf, un bon sédatif et voilà l’travail o/.

C’est marrant une fille qui devient folle à faire semblant d’être folle. Télékinésie ? Du fantastique ? Ton style est encore bien perfectible. Là, quelques maladresses font que tu détournes le lecteur du sentiment visé. Sinon, l’intrigue est intrigante. Pratique, n’est-il pas ? On aimerait bien comprendre pour la psychologue, ça a de quoi interloquer.



@ Alaxel :

Tiens, je risque de décevoir, mais je n’ai eu aucun besoin de relever la moindre phrase. C’est propre, juste ce qu’il faut. J’ai pu me mettre dans la chaire du narrateur, c’est souvent ce que je recherche en lisant un texte. L’atmosphère m’a bien plu. Ça en plus de la créature invasive qui dégomme des gardes (contexte médiéval ?), c’est intéressant. J’ai rien d’autre à dire, désolé.


@ Nastassiac :

Citation :
Cadix s’excusa auprès de son voisin et il sortit de la salle en me demandant de faire venir Näim le guérisseur dès que possible.
…et il sortit…
Je dois dire que cette tournure de phrase me fait tiquer. Enfin, c’était une remarque personnelle. T’es pas obligée d’en tenir compte.

Et et et et eeeeet… Beaucoup de « et ». Un petit « ainsi que », « en plus de » ou que sais-je encore permettrait d’atténuer l’homogénéité qui ressort de la structure de ton texte.

Citation :
d’autres projets pour les prochains jours maintenant que de parler exploration avec nous
Euh… Hein ?

En dehors de ça, le texte est maitrisé, quoi qu’un peu trop neutre narrativement pour m’atteindre. Mon avis, il manque quelque chose. Pas grand-chose. Mais quelque chose d’indispensable. Les pensées. Des pensées qui servent à rien, ou donnent l’impression de ne servir à rien. Des pensées qui donnent une personnalité à ton texte. Des pensées qui commentent des opinions, des sensations, n’importe quoi, et qui, dans leur construction, doivent convaincre le lecteur que ton personnage est intéressant et mérite d’être suivi. Après, je m’emballe sûrement. Ma sensibilité est difficile à effleurer aujourd'hui, faute à la digestion.



Plus que deux extraits à commenter, je m’en chargerais plus tard (me dites pas quand, ça porte malheur).
 
Flicky
   
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Flicky  /  Pippin le Bref


Bonsoir les JE,

Comme promis, avant de m'atteler à la prochaine demie-nuit,
je livre les commentaires que j'avais en retard.

Sioul :

Est-ce l'introduction d'une histoire ? Je veux dire, est-ce que la dernière tirade du père est censée raconter une vieille légende qui servira de socle à ton histoire ? Auquel cas, je pense que celle-ci devrait faire l'objet d'un paragraphe distinct. Car après des échanges assez courts entre les deux personnages, ça donne une impression de pavé...
Le père, même s'il ne veut pas que son fils l'interrompt peut le faire participer pour captiver peu à peu son attention et lui transmettre le message.
Enfin, où sont les enfants qui n'ont pas le droit de pleurer ?

Pour garder le style très « oral » du discours de l'enfant, j'enlèverais les négations.

Citation :
-… mais ce n’est pas possible au-delà des horizons, on la même vu en géographie depuis longtemps que la terre et ronde et que l’horizon c’est juste... c’est juste... euh…
- Soit tu me dis ce qu’est l’horizon soit tu me laisse continuer.
-Si ! Si, continue !
Ça, c'est mignon, j'ai bien aimé ! ^^

Conclusions : des petites fautes, un petit dialogue un peu maladroit à la fin, mais sûrement une bonne base d'histoire. Continue (mais attention à te relire !!).

Duvodas : (extrait 1)

En effet... C'est court, mais c'est bon !
Je ne trouve rien à critiquer. La syntaxe, l'orthographe. Tout est cohérent et tient d'un bloc.
Cela donne très envie de lire la suite !!

Erane :
La première partie est intéressante. Certaines tournures de phrases avec des participes présents gagneraient à être allégées, tu gagnerais en précision et en efficacité. En dépit de cela, en tout cas, la description de la tempête en approche est très bien rendue. On entendrait presque le bruissement frénétique des feuilles. ^^

J'ai eu un peu de mal à comprendre la deuxième partie... En fait, à l'approche de la tempête (ou des Maudits), les parents envoient leur enfant (« l'Elu » ?) se cacher ?... Les dernières paroles me paraissent en trop. Tu pourrais passer à la narration omnisciente, livrant les pensées (et les craintes) respectives des deux personnages. Le discours donne un côté très dramatique mais peu naturel.
A la rigueur, après un long silence, (et toutes les explications que tu auras donné en narration), tu pourrais redonner la parole à la mère : « Notre Laus sera un Soleil merveilleux. »

Duvodas (extrait 2) : On passe du chaud au froid ! Razz
Nouvel extrait assez bon. Le « truc qui cloche » vient peut-être de l'emploi des temps du passé, parfois mal adapté, je pense.
« le groupe se réfugia » : s'il n'y a rien avant (début de chapitre), j'aurais mi un plus que parfait.
« il resserrait/ se recroquevillait » : passé simple ?
« se blottissaient » : vinrent se blottir ?

Sinon, comme les personnages souffrent autant du froid, réchauffer ses mains risquent de le faire pas mal souffrir.


Guardian of the Moon : (extrait 1)

J'ai un peu décroché... Il y a beaucoup de personnages, beaucoup d'actions dans tous les sens... Je compatis à la détresse du pauvre professeur. Cela étant, c'est bien écrit.

Noicaut : Un texte assez mignon, mais que prévois-tu après une telle introduction ? Une fille qui se bat pour vivre de sa passion ? Un élément de son imaginaire qui surgit dans le réel ? Bref, j'aurais aimé un peu de piquant.

Ludwig : Je ne suis pas encore familière avec l'univers de ton roman, mais cela ne m'a empêché de plonger dans cet extrait. Sur la forme, pas grand-chose à dire, c'est bien écrit ! Dans le fond, heu, c'est un peu gore pour moi. J'ai aussi eu du mal à concevoir comment le sang d'une seule victime (il n'y en a qu'une ?) peut tapisser à ce point un vaste espace comme ce qui semble être une église. Tout de même... mais bon, je n'ai pas le contexte. En tout cas, le ressenti du personnage prend vraiment aux tripes et à la poitrine. Bel extrait, vraiment !

Cidylee :
Extrait intéressant ! Juste quelques incohérences de temps. Bien, le jeu de la « folle », mais n'est-elle pas justement plongée dans un délire paranoïaque ? Smile
Bref, un petit texte efficace qui m'a bien interpellée !

Guardian of the Moon (extrait 2) : C'est plus digeste pour des novices, en effet ! En revanche, les formulations sont parfois maladroites :
Il mit son doigt sur sa bouche pour lui indiquait de se taire et il montra son oreille pour lui dire d’écouter.
« Il lui fit signe de se taire et d'écouter »... plus simple et plus court.

Il demanda sans dire un mot : heu... J'ai compris l'idée, mais à la première lecture, c'est étrange.

Sinon, l'arrivée du fils Araw, sifflotant un air de Beethoven a quelque chose de flippant. ^^
Après, la rencontre en tant que telle est bouclée de façon très rapide (en une même phrase : ils marchent et paf, le fils Araw !). La description de sa sculpture me paraît en trop et un peu maladroite (sauf si cela a une importance par la suite).

Alaxel :
Très bon texte. C'est bien écrit et tu arrives à maintenir une certaine tension durant tout ce court extrait ! Pour ma part, la combinaison passé composé-imparfait-plus que parfait, ne m'a pas gênée. Very Happy

NastassiaC
: Un texte bien écrit, parfois un peu plan-plan, qui paraîtrait monocorde si l'on devait le lire. Il y a pas mal de personnages, des actions et des sentiments éparses dans cet extrait. On s'y perd un peu et on a parfois du mal à reprendre son souffle, mais je prendrais bien le large avec cette troupe. Donc au plaisir de te lire de nouveau ! Smile

Cassis : Très bon !! L' histoire est originale et l'extrait très dynamique. Les scènes de combat ne sont jamais simples à écrire, mais je trouve que tu ne t'en sors pas mal ! Very Happy
Après l'arsenal magique ne semble pas très riche (boule de feu, boule d'énergie), peut-être à retravailler. Mais, franchement, tu tiens là une histoire intéressante !!

Voilà, voilà, à très bientôt !
:rainbow:
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Duvodas
   
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