- Le pote qui a fait 2 kilomètres en vélo pour venir te voir et qui sonne à l'improviste.

- Le frère qui rentre et qui te joues un petit morceau en parlant de sa vie.

- Les gens qui ont un coup de blues sur MSN.

- Les autres qui trouvent ça urgent de t'envoyer un SMS à onze heures, ou en géneral, tu arrives enfin
à écrire.

- Ceux qui demandent : Alors ça avances ? Alors qu'enfin tu réussis à te lancer.

Je crois que la solution à tes problèmes est tout simplement de ne pas avoir d'amis.

ni de parents xD

Les fenêtres msn incessaaaaaantes

Et pourtant, je laisse msn allumé précisons

Coup de gueule contre les sujets que tu cherches pendant une demi-heure pour te rendre compte qu'en fait ils étaient à la poubelle (par exempleeuh, les sujets religieux pourris de Muslim :siffle: )

Genre l'idée qui vient et *pouf*

Voilà bien pourquoi beaucoup d'écrivains (dont moi) préfèrent écrire la nuit.
Parce qu'à vrai dire, TOUT m'énerve quand j'écris! Je ne suis même plus humain, je suis concentré à mort, je pense à plein de choses en même temps, je me projette, je me souviens, j'analyse... Donc le clébard du voisin, le téléphone, la télé, la race humaine dans son intégralité, les mouches, les moustiques, mes poumons qui sifflent, la fatigue, les p**** de coupures de courants et de bugs informatique, les carences en crackers, TOUT!!!!!

Le Coca qui se renverse sur la machine à écrire aussi.

Les mouches, insectes, et autres petites bestioles. Dans la chambre, c'est la mite, dans le bureau, c'est le moustique, dans la cuisine, c'est la mouche, dans le jardin, c'est l'abeille, dans la nature, c'est la fourmi, dans la ville, c'est le cafard, à la plage, c'est la puce des sables ... Bref. Vous avez compris je pense, combien ces petites canailles sont urticantes. Impossible d'écrire tranquille.

Les affections momentanées de l'affect de Benjamin Castaldi. C'est bruyant, ces choses là.

Les manifestations bruyantes imposées par le développement social commun.

Les parents, les amis, les amis des amis, les ennemis, les relations, les PCR, les animaux, les connaissances, les réseaux, bref, tout ce qui peut de près ou de loin être à l'origine d'une interminable conversation.

Zabolbix a écrit:

Les mouches, insectes, et autres petites bestioles. Dans la chambre, c'est la mite, dans le bureau, c'est le moustique, dans la cuisine, c'est la mouche, dans le jardin, c'est l'abeille, dans la nature, c'est la fourmi, dans la ville, c'est le cafard, à la plage, c'est la puce des sables ... Bref. Vous avez compris je pense, combien ces petites canailles sont urticantes. Impossible d'écrire tranquille.

"La puissance des mouches, elles gagnent des batailles,
empêchent notre âme d'agir, mangent notre corps."
Fragment 56 (Liasse Vanité)
Pascal.

Pour moi, ce serait le silence.

La fainéantise, du genre " oh je pourrais m'étaler sur mon lit 30 secondes et écrire le reste après ". Mes draps, c'est comme du sable mouvant, je mets des heures à m'en dépêtrer.

-Le petit frère de 5 ans qui te harcèle de question du type "Qu'est ce que tu fais ?","Pourquoi tu ecrit?","C'est quoi une nouvelle?" ,"tu viens jouer avec moi?"pendant 15 bonnes minutes.
-Le bruit en général et plus particulièrement celui de l'aspirateur ou de la télé.

Ben moi les bruits alentours ne m'ont jamais dérangé, ni pour écrire ni pour dormir.
J'ai plus de veine que toi !

Mariel a écrit:

Le petit frère de 5 ans qui te harcèle de question du type "Qu'est ce que tu fais ?","Pourquoi tu ecrit?","C'est quoi une nouvelle?" ,"tu viens jouer avec moi?"pendant 15 bonnes minutes.

Pareil, mais avec la soeur de quatre ans.

Sinon, le temps qui passe trop vite : "Arf, il est déjà sept heures du matin ?"

avoir faim
avoir sommeil
devoir bosser ( eh merde ce fichu article sur la prochaine porcherie à ouvrir à Trifouillis les oies alors que justement j'ai un en tête the scène où mes héros s'envoient en l'air. )
Etre en panne d'ordi (l'horreur absolue)