Moi j'ai tué 300 gars d'un coup dans une guerre civile ; ça compte ou on parle que de perso principaux/secondaires ?

Sinon je tue pas trop mes personnages parce que je trouve ça pas sympa et puis les hécatombes ça me plaît pas, c'est… trop facile ? Ou bien ça apparaît comme une violence gratuite sans intérêt pour l'histoire, sans fond, du sang pour du sang, quoi, alors j'évite. Dans Roman 1 en plus des 300 gars, donc, j'ai quand même trois chutes mortelles (mais ça sert le développement du héros).
Dans Roman 2 j'ai quelques figurants qui meurent (course-poursuite oblige) mais aucun héros.

Je ne comprends pas le plaisir qu'on peut tirer à tuer ses personnages, en fait… Quand je vois des gens sur Twitter qui s'en vantent en long en large et en travers, je ne comprends pas… Moi je les aime, mes personnages, même les antagonistes, sont pas méchants, sont comme ils sont, quoi… Donc j'ai pas envie qu'ils meurent x)

Je ne pense pas être la pire, mais c'est impensable pour moi qu'il n'y ait pas au moins une personne qui meurt dans un de mes romans.
Mon dyptique de fantasy " Les mages d'Ether" met notamment en scène des mages noirs qui tuent pour le plaisir à tour de bras, du coup, on ne compte plus vraiment les morts, mais même dans "Le dernier quart avant l'aurore" que je voulais "soft" j'étais obligé de faire mourir quelqu'un. C'est plus fort que moi...
Aucun remord la plupart du temps sauf quand un personnage essentiel disparait: là je pleure comme une madeleine.

Alors, dans mon univers de SF, Yellowstone est entré en éruption en l'an de grâce 2212, avec pour conséquence la mort de plusieurs centaines de millions de personnes, pour beaucoup à cause de la crise alimentaire causée par le fait que les cendres ont bloqué les rayons du soleil. Cela a également contribué au déclenchement d'une crise migratoire et d'une guerre civile généralisée sur Mars, ajoutant quelques millions de morts supplémentaires.

Côté personnes en revanche, on est beaucoup plus léger avec "seulement" sept morts parmi les personnages d'envergure. Pardonnez-moi les enfants

Je crois que j'ai tué zéro (0) personnage dans mes écrits.
Sauf dans mes nouvelles, plus versatiles (là j'ai pas mal de morts   ).
Mais côté romans, ni dans le premier, ni dans le deuxième (mais la pp avait déjà deux membres amputés et remplacés par des implants cybernétiques au début de l'histoire, puis s'est fait tabasser à mort, et a perdu un oeil), ni dans celui que j'écris actuellement.

J'avais commencé un roman de fantasy pour le plaisir que j'ai abandonné depuis mais dedans j'y tue... un cerbère.

Bonjour

Cette question réveille le Dexter qui est en moi, oui, j'avoue, je suis sadique !

Des personnages, ouais, j'en ai tué, en comptant les deux romans déjà publiés et la nouvelle (les livres pour enfants, ça compte pas, c'est le monde des bisounours) j'en ai enterré 15 (méchants et gentils confondus). Quelquefois avec le détail, d'autres, c'est suggéré. Plus les deux tiers de la population mondiale, rien que ça !

Tuer mes personnages ? J'adore, ça fait progresser les autres.

Bonne journée.

Ça dépend un peu de si on ne compte que les "mort sur scène" ou si on intègre les "morts de contexte" et les "déjà morts quand l'histoire commence"...

1 mort au tout-début (hors scène) + 2 morts à la fin (sur scène) + au moins 4 morts dix ans plus tôt (sur scène, en flash-back) + 4 morts une quarantaine d'années avant (hors scène total) + un contexte historique riche en décès (mais ça n'apparait pas dans le roman)
3 morts importants en "hors scène dans un passé proche" + beaucoup de morts de contexte, mais c'est pas ma faute parce que c'est un contexte historique
Aucun "sur scène" + 10  "hors scène" + un coma définitif + un nombre immense "de contexte" anonymes
(ne comptant que ceux postés sur JE)...
de contexte = 8 + dans le passé = 3 + hors-scène = 2 + sur scène = 1 + après le point final = 1
+ pas mal d'anonymes de contexte dans un épisode de contexte historique
Pas de mort absolument prévu au programme, mais pas non plus exclusion qu'il y en ait.
Sûrement beaucoup, du fait du contexte + quelques décès de personnages
Là où j'en suis, j'ai déjà deux "hors scène", dont un dans le passé

Dans mon premier roman, il y avait quelques morts par-ci par-là parce que je voulais un effet très "roman d'action". (Ça tombait bien, c'était un roman d'action.) Et puis je me suis aperçue que je détestais ça. Souvent les scènes de mort/torture de personnages étaient là pour me défouler, mais n'étaient pas justifiées scénaristiquement. Elles étaient délicates à amener, délicates à écrire, et après, les répercussions psychologiques sur les personnages impactaient tout le reste du récit.  

Bref. C'était plus chiant qu'autre chose à gérer, d'un point de vue dramaturgique.  

Maintenant, je tente d'écrire des polars où les gens ne meurent plus. C'est presque devenu un défi de chercher des alternatives aux codes habituels.

Euh alors x) 

Dans le T.1 de Tempest, j'ai tuer 2 persos importants et une dizaine d'autres ( voir plus en fait ^^' mais j'avoue ne pas tenir le compte ) 

Dans le T.2, j'ai tuer a minima 4 perso importants   plus d'autres morts annexes que je ne compte pas/plus ( mais ça doit bien avoisiner + de 1000 personnes      Cela dit, c'est sûrement le seul moment où je tue autant de gens. Après, moi je suis innocente, hein. Je ne fais que suivre les plans d'un certain perso complètement mégalo )

Dans le T.3, j'ai pas encore tuer des gens, mais c'est prévu cela dit ! Pas autant que dans le T.2 si ça peut en rassurer certain·e·s ^^'

Je le fais quand j'en ai besoin. Donc ça peut-être beaucoup, comme juste une mort marquante. Je ne sais pas si je suis dans le top 10 des auteurs les plus sanglants de la plateforme, doit sûrement y avoir pire que moi 

Et alors, niveau remord, j'en ai aucun. Parfois c'est pour une vengeance ( coucou Hécate, Rayden et Caïn ) Parfois, non   Ce sont des morts nécessaire. Rien n'est gratuit pour juste dire que je tue des gens pour le plaisir. Tout à une utilité ( bon peut-être que j'ai un peu abusé avec Hécate, mais ça, hein   :lol:pas sa mort, mais la façon dont elle est morte, hein. Là, je me suis sûrement un peu trop emballée )

Voili voilou.

J'ai même tué un innocent petit chat       , c'est affreux... (mais c'était pour rendre les méchants encore plus méchants     ).

Sinon, le meurtre indirect, ça compte aussi ? (genre : faire se suicider un personnage par un autre personnage...  (horrible, je sais...) )

PS : sinon, entre le thriller et les nouvelles, je ne les compte plus ! 

Spoiler:

Je déteste tellement la mort que je tends à trouver des prétextes pour n'avoir pas de mort dans le cadre du récit. Timidement, quand je veux faire ma edgelady, je tue un personnage AVANT le début de l'histoire et je fais en sorte que le deuil de cette personne ait un impact sur le récit.
Pire : il m'arrive couramment dans mes oeuvres de SF de rendre les humains du futur immortels, tellement j'aime pas la mort. Les conséquences de l'absence de renouvellement des populations sur les cultures humaines, qui se renouvellent peut-être moins, et les conséquences sur les dynamiques familiales du fait qu'un parent abusif ne va jamais mourir et soulager tout le monde ? Je préfère traiter ça que d'affronter la mort.
Une écriture de lâche reste une écriture !

Je ne fais que passé, mais je viens juste signaler que j'adore lire vos réponses !! c'est très drôle, bizarrement.

Je tue seulement les personnages secondaires xD j'ai du mal à tuer les vrais

Plumerose a écrit:

J'ai même tué un innocent petit chat

Ah, toi aussi ? En plus, perso, j'ai rien contre les chats…

Je n'ai pas tenu le compte, mais j'ai tué quelques persos. Certains, importants, ont connu une mort atroce (il y en a une, justement, qui m'horrifie particulièrement). Et dans le lot, il y a un suicide.

Aucun personnage n'est à l'abri avec moi.

@SCARLET DREAM : j'ai vachement hésité car j'adore les chats, en plus !    (mais quand il faut, il faut, quoi...  )

SCARLET a écrit:

Certains, importants, ont connu une mort atroce (il y en a une, justement, qui m'horrifie particulièrement). Et dans le lot, il y a un suicide.

Aucun personnage n'est à l'abri avec moi. 

        

Sinon, purée, rien que dans le recueil de nouvelles : 11 nouvelles et 11 morts   (je ne compte que les humains  ) : quand on sait que ce n'est pas un mort par nouvelle, c'est dire à quel point, dans certaines nouvelles, ça dégomme sec ! 

@NOW... a écrit:

 il m'arrive couramment dans mes oeuvres de SF de rendre les humains du futur immortels, tellement j'aime pas la mort.

T'inquiète... On peut régler ton petit souci , Scarlet et moi, si tu veux... on arrive...