Bonjour,
En fait, ce qui me choque dans le cas présent, c'est que cette campagne est orchestrée par l'auteure. Cela peut-être une façon pour elle d'écouler les exemplaires qu'elle a du acheter à l'éditeur. Voilà pourquoi je l'ai mentionné sur le topic.
De toute manière, un auteur ayant une clause d'achats d'exemplaires dans son contrat, ne le reconnaîtra pas...

Deborah Lefèvre a écrit:

De toute manière, un auteur ayant une clause d'achats d'exemplaires dans son contrat, ne le reconnaîtra pas...

Sur le topic du Lys Bleu, il me semble qu'il y a eu des témoignages d'auteurs à propos de ladite clause...
... il est vrai que le cas est particulier, puisque cette clause est évoquée sur le site de la ME.

Je vois aussi passer sur les groupes FB d'auteurs, presque tous les jours, des auteurs posant la question de si c'est un procédé normal, et on en voit aussi sur JE.
Mais là aussi, c'est particulier puisque c'est avant de signer.

Ceci étant : je ne pense pas qu'un auteur le cachera forcément, même si en effet, ce n'est pas la clause la plus glorieuse qui soit

Les procédés de cette maison (le lys bleu édition) peuvent être qualifiés d’escroquerie. A ce jour, mon livre (bon ou mauvais, là n’est même plus la question) est pris en otage et coincé chez eux, alors qu’ils l’ont retiré de toutes les plateformes de ventes en ligne ainsi que de ceux des distributeurs le rendant invendable, même par les libraires qui ne peuvent plus le commander. Représailles à mes contestations quant à leur travail ou plutôt nontravail et mes demandes d’explications. Ils sont injoignables par téléphone, ne réponde au mail que quand ça les arrange. Ils m’ont bloquée sur Facebook et Instagram pour m’empêcher de dénoncer ce qui se passe avec mon livre.
Une maison d’édition, ce sont des professionnels qui mettent leurs talents au service des écrivains et des lecteurs. Elle doit être un guide, un pilier, un mentor. Elle peut être modeste, connue ou reconnue, mais toujours, elle devra s’entourer d’honnêteté. Et puis, il y a les usurpateurs qui n’ont rien d’une maison d’édition, tout juste, peut-être, peuvent-ils être rangés dans la catégorie des imprimeurs. Et encore, pour exercer ce métier, il faut une bonne dose de savoir-faire et l’humilité de ne pas s’élever au-delà de ses compétences. Dans cette profession également, il y a les bons, les excellents et les médiocres.
Moi, j’ai rencontré le médiocre, pour mon plus grand malheur et celui de mon livre retenu en otage par un contrat truffé de conditions et d’obligations réciproques, dont seules les miennes sont d’application.
Chaque écrivain a droit à la franchise sur son travail et un non ou une analyse critique n’est jamais un échec. Par contre, un oui racoleur habillé d’un savoir-faire de façade pourra parfois flatter certains égos, mais toujours, renverra dans les cordes les plus inexpérimentés et les naïfs qui seront un vivier précieux pour de telles pratiques.

Bonjour
Je rajoute JDH Editions qui impose contractuellement l'achat de 50 ex de son livre par l'auteur lui-mme.... tout en prétendant faire signer un contrat d'édition... C'est une escroquerie!!! Je ne m'étendrai pas sur les multiples escroqueries de cette "maison d'édition" qu'il faut fuir à tout prix....

Bonjour Gildas Thomas,

Ton premier message aurait dû être ta présentation dans la section Présentations comme le stipulent les règles du forum.

Je te remercie de t’y conformer.

Pour info, j'ai également eu affaire à un contrat de ce genre, par une maison qui a eu été sans doute très bien fut un temps mais qui est en perdition depuis quelques mois : les éditions Kiwi.
Depuis l'été dernier environ, les contrats proposés ont intégré cette clause d'achat obligatoire de 50 exemplaires à la sortie, et là où ils sont "malins" c'est qu'ils sont payables sur les droits d'auteurs. Un bon moyen pour eux pour ne pas avoir à sortir de tréso (qu'ils n'ont pas) tout de suite...