Lire et commenter un texte sans en connaître l'auteur me semble participer à créer un environnement plus équitable et davantage centré sur le contenu que sur la personne.
Je serai d'avis d'indiquer qui a écrit quoi après les résultats.

josephcurwan a écrit:

oui, mais on ne sait toujours pas exactement qui a écrit quoi !

merci de donner les auteurs des textes,

à moins qu'ils souhaitent rester anonymes !

Pour info, le mien était le 9 "Qui parle?"

Les classements différents apportent justement la touche de peps qui fait la beauté de la poésie, à savoir que chacun sera touché par des styles/sujets différents

Je trouve ça sympa que ceux qui ne veulent pas dire qui ils sont puissent ne pas le dire.

En vrai, ça peut se deviner, mais peu importe.

Pourtant, je n'ai pas parlé de cul !

Le 6 pour ma part Joseph ~

@Joseph et autres JE éventuellement intéressés: j'ai écrit le 15

ça alors, je croyais que le 15 était de pehache !

et le 16, je pencherais pour pasiphae.

M'enfin ! C'était le 16, sinon, je ne me serais pas permis ce commentaire !

oh là là !

Pourtant quand Pehache a posté ses commentaires, je pensais qu'on avait tous su que c'était le sien (et pas le mien).

Merci, Alice, j'avais même ajouté (au vu de la réaction de notre bien-aimée modération, que dis-je bien aimée ? Adorée!), que je connaissais bien l'auteur, et que c'était un con.

Ah il nous bassine ce pehache. (Chewing-gum) 

Je tiens à rappeler qu'il n'avait pas vu mon jeu : pan teint / patin ; île / il ; je tenais l'holorimie sur trois vers !!
Une médaille s'il vous plaît.

(Deux vers mais c'était beau)

Promis j'arrête ça.

Bonjour Horus,

Désolée de te répondre aussi tard !!!

Heureuse de lire les précisions sur ton poème.

Quand je parle de vers les plus faibles c'est ceux m'ont semblé être plus là (au moins partiellement) en tant que liant pour le poème, ceux où j'ai trouvé les rimes et images moins fines.

À la conquête du curieux coquillage
Qui cache un trésor dans la fleur de l’âge

Ma Vénus ! Fracasse ta coque de malheur !

Incendie ton feu cachot à la couverture d’un
Blanc immaculé, confinée dans ces flots bleus.
Quitte ton eau, cocktail de cocagne malsain !

Après comme toujours ça reste très subjectif et ça correspond à ma vision de la poésie qui est plus centré sur l'émotion.