Flora a écrit:

D'un autre côté, il n'y a pas besoin d'être là depuis 3 mois pour se demander si le sujet a déjà été abordé et regarder la liste des sujets récents C'est comme les questions type "Comment faire la promotion de mon livre ?" : on peut imaginer que sur un forum d'écrivains vieux de plusieurs années, la question a déjà été abordée plusieurs fois...

Au passage, le double-post (= poster deux messages de suite sans attendre de répondre) est interdit dans les topics de discussion, c'est précisé dans notre règlement

J'imagine combien il doit être compliqué et chronophage de modérer un tel site, d’autant que c’est du bénévolat. Et en ce sens, j’ai répondu avec courtoisie au premier message et me suis excusé du désagrément. (Pour le savoir, il faut l'avoir lu, avant de dégainer.) Par contre, règlement ou pas, je réplique (et répliquerais encore s’il le fallait) à un commentaire railleur, par un qui l’est tout autant. Courber l’échine, très peu pour moi.
Enfin, et pour terminer, car le débat s’enfonce inexorablement dans les limbes du stérile, tout le monde n’a pas la même habitude d’internet, des réseaux, des forums. Je n’ai peut-être pas besoin d’être là depuis trois mois, mais vous, en revanche, vous avez peut-être besoin d’apprendre à vous mettre à la place des néophytes.

Et moi, je propose qu'on se reconcentre sur Edith&Nous, qui est le sujet de ce topic.

Aliénor a écrit:

Et moi, je propose qu'on se reconcentre sur Edith&Nous, qui est le sujet de ce topic.

Absolument !

Tout à fait d'accord pour reprendre le sujet qui nous intéresse à savoir la nécessité d'une interface (qu'on peut ressentir comme un filtrage payant) entre auteurs et ME.
1/ quels intérêts pour les ME "partenaires" ?
2/ quels intérêts pour les auteurs ?
3/ quid du filtrage, qui l'organise, le contrôle, le vérifie, et sur quelles bases ? (mots clés, synopsis...)
4/ y a t-il un robot au bout de la ligne ?
Nous n'avons que des témoignages d'auteurs. Il serait intéressant d'en avoir de l'intérieur (une taupe exfiltrée, un bêta lecteur pris de remord, un repenti qui culpabilise...) pour en savoir plus.
Et puis une question sur le futur proche : est-ce (si elle est viable et donc rentable) une pratique qui risque de perdurer voire de se généraliser. Après tout la sous-traitance a le vent en poupe et l'auteur paye à chaque étage.
A vos réflexions !!

J'ai enlevé mon manuscrit et réussi à me désinscrire complètement de cette plateforme qui ne m'a été d'aucune utilité (version gratuite) puisque j'ai trouvé un éditeur ailleurs.

En ce qui me concerne, j'ai mis mon manuscrit sur Edith et j'ai envoyé mes manuscrits également par voie traditionnelle.
Pas une consultation sur Edith, mais certaines ME partenaires m'ont contactée au bout de 3 mois...
Donc bon....

Hello,

Bon, pour ma part après six mois sur la plateforme (mode payant), je me retire. Il me semble que l'idée était bonne mais qu'au final les éditeurs reçoivent déjà beaucoup de manuscrits directement et maintenant aussi beaucoup via Edith et nous donc on reste une aiguille perdue dans une botte de foin. Aux débuts de la plateforme, les responsables avaient sûrement plus le temps de lire les textes et d'essayer de faire la promo mais là moi il a déjà fallut des mois avant que quelqu'un du site jette un coup d'œil ma fiche, alors...

Pour info, je les ai questionné quant à ce fameux "nombre de vues" qui interroge tant il semble aléatoire et un peu robotique. Voici leur réponse : "Le nombre de vues est un indicateur vous permettant de savoir combien de maisons d'édition ont lu la présentation de votre manuscrit (titre, pitch, mots-clés et catégories). Nous avons mis en place ce chiffre pour que les auteurs et autrices d'Édith & Nous puissent avoir un aperçu de l'activité des éditeurs et éditrices sur notre plateforme. Sachez que la temporalité de l'édition est malheureusement très longue, il n'est donc pas anormal qu'un manuscrit reste plusieurs mois sur Édith & Nous sans être ouvert. Il faut vous armer de patience et ne pas perdre espoir ! "