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 Tout larguer socialement et professionnellement pour l'écriture et... en vivre...

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uyuni
   
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Arf vivre de son écriture, tout le monde en rêve en effet, moi y compris. Certaines amies écrivent en espérant tirer assez d'argent et surtout de reconnaissance.
Moi c'est l'inverse, j'aimerai avoir de l'argent pour pouvoir ne pas me soucier du reste et faire ce que j'aime : écrire.
 
AlbertCamus
   
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   Pensée du jour  :  Plutôt 1000 fois mourir en Martyr du manque d'inspiration et de l'incapacité à écrire en général (avec tous les doutes, les hésitations, et les prises de têtes...) que d'aller se décérébrer dans les bars ou dans les boites !
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AlbertCamus  /  Tycho l'homoncule


Bon, me revoici après une période de lecture intensive et d'écriture (comme souvent fragmentaire: eh oui pas vraiment le souffle pour l'instant... quelle frustration...)

Je prends conscience que des années durant j'ai été obsédé par l'écriture et par l'obsession d'un produit fini qui me donnerait satisfaction, ça n'a jamais été le cas sauf peut être pour quelques courts textes. J'essayais d'écrire assez régulièrement, je calais souvent, mais surtout lisais assez peu (cause principale), comble de l'absurdité... Ou alors j’avais la naïveté de me pencher sur des biographies ou notices biographiques d'écrivains, dans l'espoir d'y trouver des "ficelles"; c'est que je n'avais pas encore compris, vu mon manque de flexibilité psychologique sur lequel je travaille, qu'il s'agit d’un artisanat subjectif . Bien qu'il existe quelques idées générales

Au final, quand je fais le compte du nombre de livres lus par moi depuis l'âge de 10-11ans, on plafonne à 200-250 péniblement. Il est vrai que je peux être un lecteur lent pour certaines œuvres. Et surtout: je n'ai jamais pu concilier lecture personnelles et lectures d'études, surtout à partir du Bac. Vu ma très faible capacité à l'organisation.

Donc j'ai décidé de rééquilibrer les choses et de bâtir des fondements nouveaux:

Penser "lecture" avant tout, pour qu'ensuite l'écriture arrive en conséquence et naturellement, sans chercher à forcer. Au fond on n'écrit peut être jamais aussi bien que lorsque les mots où les idées viennent naturellement sous la plume.

Mais je me demande (c'est un peu ce qui ressort des biographies que j'ai pu lire) si tous les auteurs n'ont pas, avant de toucher sérieusement la plume, fait 4-5 années de lecture intensive pure pour être "armés" (on écrit toujours à partir des autres). Et après seulement ont commencé une écriture sérieuse.

Y a t il un stade, un nombre de livres lus, à partir duquel on peut se définir comme légitime pour écrire?

Par ailleurs: les auteurs ont-ils le temps de lire? Je me pose de plus en plus la question. Il y a sans doute un équilibrage ou rééquilibrage à faire à un moment donné.

Merci d'avoir lu mes divagations Smile
 
Silence écrit
   
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Silence écrit  /  Péril 666


AlbertCamus a écrit:
Y a t il un stade, un nombre de livres lus, à partir duquel on peut se définir comme légitime pour écrire?
Oui, bien entendu, un nombre assez précis d'ailleurs. En dessous de 137 il est impossible de se considérer comme un écrivain légitime. Entre 138 et 213 on a le droit de se considérer comme "aspirant écrivain", à condition de ne pas le dire trop fort. Au-delà de 213 livres lus, enfin, on peut pleinement se faire appeler auteur·e, et on a les cheveux qui flottent au vent même quand il n'y a pas de vent.

Citation :
Par ailleurs : les auteurs ont-ils le temps de lire ?
Pour tout dire, les auteurs n'ont même pas le temps de manger ou de faire pipi. C'est pour ça qu'ils sont si peu nombreux : il faut s'astreindre à une hygiène de vie rigoureuse qui n'est pas à la portée de tout le monde.

Citation :
Merci d'avoir lu mes divagations Smile
Idem.
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Pasiphae
   
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Pasiphae  /  Truquage geniphasien


Tous·tes les auteur·ices contemporain·es que j'aime le plus lisent beaucoup et ne s'en cachent pas (même s'il subsiste une coquetterie à s'en cacher, mais de moins en moins).  Iels lisent également beaucoup de choses différentes. Iels ne se limitent pas aux classiques du canon, mais ne les négligent pas pour autant. Il y a autant de bibliothèques que d'œuvres, et d'ailleurs il est de plus en plus fréquent que la recherche universitaire en lettres se penche sur les bibliothèques des grand·es auteur·ices, pour tenter de comprendre comment leurs lectures les ont nourri·es. D'ailleurs, lire beaucoup, ce n'est pas aimer tout. On peut se construire dans l'opposition, la vénération, le recul critique, l'inspiration vague et inconsciente, l'inspiration déclarée, bref, dans plein de directions différentes.

Sinon assez ok avec Silence Écrit pour les nombres avancés drunken

Bon courage pour la construction de ta bibliothèque personnelle : tu y trouveras bien des plaisirs, j'en suis certaine !

edit : et ce n'est pas parce que ta culture littéraire est encore "modeste" que tu dois t'empêcher d'écrire avant d'avoir lu 300 bouquins de plus. Lecture et écriture se nourrissent réciproquement !
 
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Invité  /  Invité


AlbertCamus a écrit:
Au final, quand je fais le compte du nombre de livres lus par moi depuis l'âge de 10-11ans, on plafonne à 200-250 péniblement. Il est vrai que je peux être un lecteur lent pour certaines œuvres. Et surtout: je n'ai jamais pu concilier lecture personnelles et lectures d'études, surtout à partir du Bac. Vu ma très faible capacité à l'organisation.

Je me reconnais totalement là-dedans. Je lis très lentement (y compris dans mes études où le temps passé à travailler est plus long que chez pas mal de personnes), parce que j'ai d'assez conséquentes difficultés de concentration. D'ailleurs ça me désespère parce que j'aime beaucoup apprendre des livres, mais j'ai tendance à avoir les yeux plus gros que le ventre. Les romans de plus de 3-400 pages, sauf exception je n'en lis presque plus parce que je mets plusieurs mois à les finir.

Citation :
Y a t il un stade, un nombre de livres lus, à partir duquel on peut se définir comme légitime pour écrire?

Non, clairement pas.

Citation :
Par ailleurs: les auteurs ont-ils le temps de lire? Je me pose de plus en plus la question. Il y a sans doute un équilibrage ou rééquilibrage à faire à un moment donné.

Je pense que c'est le cas pour beaucoup, et sans doute que ça repose sur une bonne organisation personnelle.
 
AlbertCamus
   
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   Pensée du jour  :  Plutôt 1000 fois mourir en Martyr du manque d'inspiration et de l'incapacité à écrire en général (avec tous les doutes, les hésitations, et les prises de têtes...) que d'aller se décérébrer dans les bars ou dans les boites !
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AlbertCamus  /  Tycho l'homoncule


Pasiphae a écrit:

edit : et ce n'est pas parce que ta culture littéraire est encore "modeste" que tu dois t'empêcher d'écrire avant d'avoir lu 300 bouquins de plus. Lecture et écriture se nourrissent réciproquement !

J'ai rencontré pour la lecture plaisir en fait le même que celui rencontré pour les lectures nécessaires lors de mes études. J'ai eu toujours tendance à faire TOUT superficiellement, mais rien en profondeur.

Dans le dilemme éclectisme- spécialisation, je suis souvent allé vers le tout superficiel, donc jamais trop la profondeur. Ou alors j'en retenais rien. Toujours le problème d'organisation.  

J'ai parlé je crois un peu l'autre jour de mon passé en prépa, ça a été le chaos, vu qu'on avait des bibliographies conséquentes, je lisais un peu tout, mais il a été rare que je finisse un ouvrage, tout était dans l'approximatif et l'à peu près. Raison pour laquelle jamais je n'ai été capable de me préparer efficacement pour un concours. Mais vu que je ne souhaite plus du tout être enseignant c'est du passé: je ne suis plus censé ressentir le poids d'échéances.  

S'il s'agit juste de s'imprégner sans se mettre la pression d'écrire alors ça devrait mieux se passer.

Mais je pense qu'il peut y avoir deux écoles: lire le plus grand nombre d'auteurs possible (un livre par auteur) ou lire à fond un groupe assez restreint d'auteurs qu'on aime vraiment. Dans le premier cas on on se disperse, Dans le deuxième on risque de laisser de coté trop de pans de la littérature.

Moïra a écrit:
D'ailleurs ça me désespère parce que j'aime beaucoup apprendre des livres, mais j'ai tendance à avoir les yeux plus gros que le ventre.

Oui c'est exactement ça, pour moi aussi!
 
Pasiphae
   
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Pasiphae  /  Truquage geniphasien


Je comprends ce problème, étant moi-même une lectrice éclectique. Quand j'étais encore jeune lectrice (lycée + premières années d'études supérieures), je m'étais imposé une sorte de principe : pour tout·e nouvel·le auteur·ice, lire un des ses "classiques" et un de ses livres beaucoup moins connu. Mine de rien, dans les mondanités, c'était diablement efficace Laughing je pouvais facilement avoir l'air de bien connaître beaucoup d'auteur·ices, car je pouvais à la fois aborder la partie connue de leur œuvre, et montrer que j'étais allée au-delà. Mais on ne lit pas pour les mondanités, et ce n'était même pas mon but à l'époque.

Mais on peut aussi combiner les deux modes de lecture, c'est en tout cas à ça que je m'essaie de plus en plus : continuer à être éclectique, car c'est mon goût, mais aller régulièrement vers l'approfondissement de domaines / auteur·ices déjà exploré·es. Les deux ne sont pas antagonistes.

Une autre chose importante, me semble-t-il, c'est de ne pas se contenter de lire, mais de tenter de prolonger ces lectures pour se les approprier, acquérir sur elles une réflexivité qui permettra ensuite d'incorporer cette matière à l'écriture. Cela peut passer par l'étude de style académique / universitaire, la conversation entre ami·es ou entre contacts sur internet, le pastiche ou la réécriture, le fait d'écouter des podcasts sur ce qu'on a lu... bref, prolonger. Parler de littérature, créer des ponts entre les œuvres, les lier à notre vie quotidienne, les utiliser sans vergogne pour mieux comprendre notre vie. Il me semble que c'est une étape tout aussi fondamentale, et qui permet de ne pas en rester à une lecture rapide et superficielle.
 
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AlbertCamus a écrit:
Pasiphae a écrit:

edit : et ce n'est pas parce que ta culture littéraire est encore "modeste" que tu dois t'empêcher d'écrire avant d'avoir lu 300 bouquins de plus. Lecture et écriture se nourrissent réciproquement !

J'ai rencontré pour la lecture plaisir en fait le même que celui rencontré pour les lectures nécessaires lors de mes études. J'ai eu toujours tendance à faire TOUT superficiellement, mais rien en profondeur.


Peut-être ne pas forcément chercher à lire plus, mais mieux ? Je crois que j'ai +/- accepté le fait de ne pas être une grande lectrice, j'essaie au moins de bien lire ce que je lis... Et là viennent les conseils de Pasiphae. Dans mon cas, j'écoute souvent des émissions sur les auteur-rice-s ou œuvres que j'aime, ça offre souvent un nouveau regard sur ce qu'on lit.

(Quand j'étais enfant je dévorais des montagnes de livres Crying or Very sad)
 
s.tupido
   
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s.tupido  /  Gloire de son pair


Je débarque sur ce sujet et je n'ai qu'un seul conseil à te donner : arrête de te mettre la pression.

Que ce soit pour la lecture ou l'écriture, l'élément essentiel est le plaisir. Si tu te forces, ça ne marchera jamais.
https://edewilmer.wordpress.com/
 
Manfred
   
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Manfred  /  Pouyoute (© Birdy)


Pour ceux qui se posent la question de comment "vivre de leur plume", je conseille de suivre Samantha Bailly, une auteure très active sur Youtube.

La vidéo suivante explique pourquoi elle a choisi d'être représentée par un agent (chose suffisamment rare en France pour être intéressante), mais elle évoque aussi comment elle est arrivée à vivre de ses droits d'auteur :
 
Calex
   
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Calex  /  Début de partie


Bonjour,
Je pense que j'ai une astuce qui pourrait t'aider. Une qui me permet de vivre de mon imagination à 26 ans depuis 2 ans, sans piston, dans une petite ville même pas en France.

Inscrite hier, j'errai sur le forum. Tout ce que je sais sur l'édition française, je viens de l'apprendre içi. J'ai lu des textes merveilleux. Un petit monde peuplé de gens bien plus talentueux que moi. Des vrais auteurs qui méditent immobiles dans la tempête, les cheveux au vent. Pourtant, beaucoup n'ont pas l'air de vivre de leur talent.

Pourquoi?
Parce que l'édition est un marché économique concurrentiel comme tout les autres. Il y a beaucoup plus de livres écrits que publiés. La majorité des textes restent privés, faute de demande.
Tout ça, tu le sais. Avec toutes tes études, tu sais sans doute aussi qu'il existe un moyen de s'extraire de la concurrence. Le monopole. Le marché des romans, des nouvelles, de la poésie, de la BD, des livres de cuisine...etc est saturé. Il reste possible d'écrire autre chose. Il y a sûrement un marché en pénurie qui a besoin de ton imagination.

Par exemple, je suis scénariste de jeux de rôle d'horreur réaliste pour adulte. Alors, oui, les demandes des joueurs restent prioritaires face à mon expression personnelle. La créativité se nourrit de la contrainte. On m'envoie des demandes comme : "J'aimerai que mon mari découvre que je me suis fait kidnappée par des marchands d'organes russes. Il viendrait me sauver dans un cachot installé à son insu dans la cave d'un de nos immeubles. Vous pourriez y mettre des autres victimes et une salle d'opération clandestine. Son assistant est d'accord pour " mourir" pendant le sauvetage. Pourriez-vous accueillir du public derrière des vitres sans tain? J'aimerai que cela lui prenne une heure."
Au delà de mon exemple, il y a des scénaristes de jeux vidéo, de dessin animé, de reconstitution historique, d'attraction pour enfant, de publicité, de documentaire, de campagnes de sensibilisation, d'émission TV...etc. Tous vivent d'histoires.

En conclusion, si tu trouves un secteur bien précis en pénurie, développe tes qualités entreprenariales, admets des compromis, ta plume te rapportera de l'argent.
 
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Si je reprends le post au-dessus du mien:

=> Ecris des romans policiers, ce sont les livres qui se vendent le mieux, de très loin.

La poésie ne se vend pas, et les recueils de nouvelles quasiment pas.

Mais à ta place, je n'écrirais pas, je postulerais pour un job de commercial auprès d'un diffuseur (les commerciaux qui arpentent les librairies pour placer leur catalogue de livres).

J'espère que tu as le permis voiture.

Ou alors, je tenterais une première publication, pour te faire une légitimité dans le domaine, et ENSUITE  je postulerais pour le job de commercial.

Ca sera à la fois moins difficile que de devenir écrivain, et mieux payé.
 
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olknox a écrit:

=> Ecris des romans policiers, ce sont les livres qui se vendent le mieux, de très loin.
À ce sujet, je pense que se pencher sur les littératures romantiques typer Harlequin est aussi rentable, sinon plus. Sans compter que certaines maisons d'édition dans ce secteur romance/érotisme léger fonctionnent sur des systèmes de commande aux auteurs (majoritairement autrices, d'ailleurs).
 
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leasaurusrex a écrit:
olknox a écrit:

=> Ecris des romans policiers, ce sont les livres qui se vendent le mieux, de très loin.
À ce sujet, je pense que se pencher sur les littératures romantiques typer Harlequin est aussi rentable, sinon plus. Sans compter que certaines maisons d'édition dans ce secteur romance/érotisme léger fonctionnent sur des systèmes de commande aux auteurs (majoritairement autrices, d'ailleurs).

Même là, je ne suis pas sûre que les auteurs tirent un revenu suffisant pour payer les factures.
Je me demande vraiment si la maison d'édition est le bon plan si on veut vivre de sa plume. Entre le pourcentage riquiqui et les agessa, il doit pas rester grand chose Suspect
De même pour l'auto édition, le coût de création est-il couvert par les ventes ? Si on fait tout soi-même ça coûte pas un bras par contre si on rajoute le correcteur, le graphiste pour la couverture, etc ça peut vite grimper.
Donc oui, mieux vaut un métier alimentaire et mettre (parfois) un peu de beurre dans les épinards que l'inverse.
De plus ton type de vie est à regarder. Je suis maman de 2 enfants, mon mari gagne suffisamment pour que je puisse me contenter d'un temps partiel mais sans ce maigre salaire pas d'activités possibles (sports des enfants, sorties, etc). Au contraire si ta situation financière te permet des largesses, essaie, lance-toi.
 
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Leasaurus Rex  /  Terrible terreur


Pinpin des Bois : Tout dépend de ce qu’on appelle suffisant pour vivre, ainsi — comme tu l’indiques — que de ta situation personnelle ou géographique. Je connais une écrivaine qui vit uniquement de ses droits d’auteur en écrivant dans le secteur de la romance (qui n’est pas son secteur privilégié en tant que lectrice ou créatrice d’ailleurs). Chichement selon certain•e•s, suffisamment selon ses propres critères.

Donc à la question est-il possible d’en vivre, j’ai envie de dire « oui ». Après, il faut voir comment et dans quelles conditions et si ce genre de compromis nous correspond quand même.
 
   
    
                         
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