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 Comment faire connaître son roman autoédité ?

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Pourquoi utiliser le mot « marketing » puisque la lecture des livres est gratuite ?!

Il n'est pas nécessaire d' « envoyer » les ebooks : ils sont disponibles gratuitement sur les plate-formes. Il suffit d'être inscrit.

Je vois que mon idée déplaît (il est vrai que les auteurs espérant vendre leurs livres détestent généralement les bibliothèques, qui les mettent en accès libre). Tant pis. Il n'en sera plus question ici.

 
Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


Encore une idée fausse : c'est génial d'avoir son livre en bibliothèque. Cela signifie que des bibliothécaires l'ont choisis pour faire partie de leur fond. C'est plutôt gratifiant.
Question vente, c'est pareil que le mettre gratuit sur Amazon comme tu l'as fait. Sauf que certains se diront : ce livre ne vaut pas grand chose vu que l'auteur "donne" son travail.
http://fcochet.wix.com/fcochet
 
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Florence_C a écrit:
Encore une idée fausse : c'est génial d'avoir son livre en bibliothèque. Cela signifie que des bibliothécaires l'ont choisis pour faire partie de leur fond. C'est plutôt gratifiant.
Question vente, c'est pareil que le mettre gratuit sur Amazon comme tu l'as fait. Sauf que certains se diront : ce livre ne vaut pas grand chose vu que l'auteur "donne" son travail.

J'essaie simplement de faire connaître mon roman, étant donné que je n'ai pas de maison d'édition pour cela.
 
Florence_C
   
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Florence_C  /  Sang-Chaud Panza


Il me semble qu'on tourne en rond.
Comme déjà dit sur l'autre sujet : une sortie, ça se prépare en amont.
De nombreuses pistes t'ont été données :
- Wattpad
- Sribay
- Monbestseller
- Concours
- Discussion avec des gens, mais pas en arrivant avec de gros sabots façon "lisez mon livre, il est super"
- Trouver une maison d'édition (c'est possible, même après l'auto-édition)
- Ecrire d'autres choses, participer à des appels à textes.
http://fcochet.wix.com/fcochet
 
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En tout cas, merci pour tes conseils.
 
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Citation :
Il me semble que la création d'un fil indépendant ne serait pas de trop pour les autoédités. On pourrait appeler cela la Grande Bibliothèque.

Je ne vois pas pourquoi les autoédités devraient faire chambre à part. La section après-édition accueille tout le monde et sert de vitrine à chacun. Comme l'ont dit mes camarades, le forum n'est pas là pour servir de base à ton plan de communication. D'autant qu'il offre déjà beaucoup de possibilités pour mettre son livre en avant.
Et je suis désolée, mais offrir un bouquin en échange d'une chronique, c'est une forme de marchandage. La gratuité a bon dos. Tu attends bien un service, il me semble. Et si tu espères des chroniques, c'est bien pour faire connaître ton livre. Ça t'est peut-être déplaisant de le nommer ainsi, mais c'est néanmoins du marketing.

Citation :
Je vois que mon idée déplaît (il est vrai que les auteurs espérant vendre leurs livres détestent généralement les bibliothèques, qui les mettent en accès libre). Tant pis. Il n'en sera plus question ici.

Incroyable comme tu alignes les préjugés. Savoir mes livres en bibliothèque me rend bien plus heureuse que de les savoir sur amazon.

Il faut que tu te poses et que tu réfléchisses sérieusement à ta stratégie de communication... Sans exiger des forums et plateformes qu'ils se transforment juste pour toi. C'est à toi de t'adapter au système, pas l'inverse. Ou alors tu crées ta plateforme, ta maison d'édition...
 
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On voudrait toujours que le monde se transforme pour nous... Je me suis peut-être exprimé maladroitement. Si c'est le cas, j'en suis désolé.
Je suis avant tout en attente de conseils. Dès que j'aurai suffisamment de messages, je vous ferai partager le parcours de mon roman.
 
David Raymond
   
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David Raymond  /  Barge de Radetzky


Toujours très délicat, dans l'autoédition, le passage de l'écriture à la promotion.
Beaucoup sont embêtés à l'idée de se promouvoir ou de commencer à faire du marketing. Le mieux encore est de ne pas se précipiter. Après tout, les ME prennent plusieurs mois (voire une année) pour répondre aux tapuscrits envoyés. Alors, oui, c'est pire quand on n'est pas particulièrement familier avec les réseaux sociaux qui gouvernent un peu tout en ce moment...
Il y a des idées très bonnes sur le topic (Florence C en a fait une belle liste), d'autres existent, mais le mieux est d'y aller sans faire tout un ramdam (car la réaction des gens est souvent hostile à une pub vite fait bien fait).
 
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Invité  /  Invité


Effectivement, ce n'est pas évident, mais le fait d'être entièrement responsable de son livre est exaltant !
Le fait de publier la version qu'on veut sans être soumis aux exigences de l'éditeur, de ne pas devoir s'inquiéter de ses réactions et de pouvoir faire sa promotion comme on le souhaite, c'est exactement ce que je souhaitais.
Et puis, quand on voit les résultats de certains auteurs publiés par des maisons traditionnelles, je ne suis pas sûr que les chiffres de vente soient moins bons dans l'autoédition...
 
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Citation :
Et puis, quand on voit les résultats de certains auteurs publiés par des maisons traditionnelles, je ne suis pas sûr que les chiffres de vente soient moins bons dans l'autoédition...

Encore une fois, tout dépend des maisons. Si une maison n'a aucun diffuseur ni distributeur et qu'une seule personne se charge de tout faire, des corrections à la promo, autant s'autopublier si on est assez sûr de la qualité de son manuscrit. Mais ce point-ci est déjà sujet à discussion.

Idéalement, pour un rendu professionnel, il faudrait faire appel à un correcteur pro, à un illustrateur/graphiste (par exemple, Andy, ta couverture ne laisse aucun doute quant à ton statut d'autopublié, c'est peut-être un choix, cela dit), et bien sûr, il faut avoir soumis son texte à plusieurs bêta-lecteurs impartiaux avant de songer à toute publication. Beaucoup d'autopubliés oublient ces derniers points et on aboutit à une majorité de textes imbuvables. Il ne faut pas alors s'étonner que les ventes ne décollent pas.

Mais une maison traditionnelle digne de ce nom a un distributeur et un diffuseur, un ou des chargé(s) de relations avec les libraires, un ou des attaché(s) de presse, et là, généralement, il n'y a pas photo par rapport à un autopublié sans réseau. La force promotionnelle d'une maison est quelque chose à bien vérifier avant de signer (ce que les auteurs débutants font rarement).
 
sosotess
   
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sosotess  /  Pour qui sonne Lestat


Coline a écrit:
Citation :
Et puis, quand on voit les résultats de certains auteurs publiés par des maisons traditionnelles, je ne suis pas sûr que les chiffres de vente soient moins bons dans l'autoédition...

Encore une fois, tout dépend des maisons. Si une maison n'a aucun diffuseur ni distributeur et qu'une seule personne se charge de tout faire, des corrections à la promo, autant s'autopublier si on est assez sûr de la qualité de son manuscrit. Mais ce point-ci est déjà sujet à discussion.

Idéalement, pour un rendu professionnel, il faudrait faire appel à un correcteur pro, à un illustrateur/graphiste (par exemple, Andy, ta couverture ne laisse aucun doute quant à ton statut d'autopublié, c'est peut-être un choix, cela dit), et bien sûr, il faut avoir soumis son texte à plusieurs bêta-lecteurs impartiaux avant de songer à toute publication. Beaucoup d'autopubliés oublient ces derniers points et on aboutit à une majorité de textes imbuvables. Il ne faut pas alors s'étonner que les ventes ne décollent pas.

Mais une maison traditionnelle digne de ce nom a un distributeur et un diffuseur, un ou des chargé(s) de relations avec les libraires, un ou des attaché(s) de presse, et là, généralement, il n'y a pas photo par rapport à un autopublié sans réseau. La force promotionnelle d'une maison est quelque chose à bien vérifier avant de signer (ce que les auteurs débutants font rarement).

Tu as tout dit, Coline. Certes, le travail de certaines petites ME n'est pas de qualité supérieure à celui de quelques auto-édités consciencieux et appliqués, mais dès lors qu'on est choisi par un éditeur sérieux qui a les moyens de porter un roman et de le faire connaître, la probabilité qu'il marche est décuplée (bien que les résultats ne soient jamais assurés).

Evidemment, un autoédité qui vend son e-book à 1€ en vendra peut-être un certain nombre à des acheteurs compulsifs, mais je préfère être accompagnée par un éditeur traditionnel et en vendre autant à des gens qui voudront VRAIMENT mon livre. Le plaisir sera, je le sais, incomparable si je trouve une ME. Je souhaite, pour ma part, rencontrer mon éditeur, collectionner les corrections éditoriales de sa part pour que mon livre soit meilleur, sentir mon cœur battre fort le jour de la sortie officielle, tenir mon livre papier entre les mains, admirer sa couverture dessinée par un illustrateur professionnel, le voir en librairie, en bibliothèque, dans le tram, qui sait ? Je veux faire des dédicaces, être invitée à des salons, aller à la rencontre de mon lectorat, lire des critiques objectives sur mon travail et discuter de tout et de rien avec mes lecteurs comme s'ils étaient des amis. Je veux rencontrer d'autres auteurs, voir l'envers du décor (même s'il s'avère pas glamour), me prendre une palette d'émotions dans la tronche à chaque fois qu'il est question de mon livre. Depuis l'école primaire, je n'ai jamais imaginé devenir écrivaine que de cette manière.

Je respecte les autoédités, mais convaincre le public pour les bonnes raisons leur sera toujours infiniment plus difficile que pour un auteur publié par un éditeur renommé.
 
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Puis, si tu tiens vraiment à comparer avec l'édition traditionnelle, il faut mettre les choses à plat : ton ebook est à 2.99 € (environ 2.82 HT, je pense). Tu touches certes d'amazon 70 % des droits, mais 70 % de 2.82 €, ce n'est pas très éloigné des 10 % de droits qu'un auteur d'une maison traditionnelle touchera sur un livre à 19 € HT, par exemple. Surtout qu'il faudra encore déduire les charges sociales de ces 70 %, en plus des frais de correction, illustration, promotion, dont un auteur en maison traditionnelle n'a pas à se soucier.
 
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sosotess a écrit:

Je respecte les autoédités, mais convaincre le public pour les bonnes raisons leur sera toujours infiniment plus difficile que pour un auteur publié par un éditeur renommé.

Et infiniment plus méritoire.
« Quand deux chemins s'ouvrent à toi, choisis toujours le plus difficile, celui qui extraira le meilleur de toi-même. »
 
sosotess
   
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sosotess  /  Pour qui sonne Lestat


Andy Pierce a écrit:

Et infiniment plus méritoire.
« Quand deux chemins s'ouvrent à toi, choisis toujours le plus difficile, celui qui extraira le meilleur de toi-même. »

C'est vrai qu'un auteur qui a vu sa patience éprouvée, qui a su se remettre en question et faire des concessions, qui a retravaillé un texte pour le rendre digne de son public, a moins de mérite que n'importe quel auto-édité, peu importe la charge de travail fournie. Et si tu arrêtais de rabaisser l'édition traditionnelle ? Tu as collectionné les refus-type, pour être aussi aigri ?
 
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Coline a écrit:

Idéalement, pour un rendu professionnel, il faudrait faire appel à un correcteur pro, à un illustrateur/graphiste (par exemple, Andy, ta couverture ne laisse aucun doute quant à ton statut d'autopublié, c'est peut-être un choix, cela dit)

Quel sens est-ce que ça a, de vouloir faire une belle couverture ? Qui songerait ne serait-ce qu'une seconde à regarder la couverture d'un roman de Flaubert ou Zola ?
Ce que j'ai écrit, c'est un roman, pas un paquet cadeau.

Coline a écrit:
et bien sûr, il faut avoir soumis son texte à plusieurs bêta-lecteurs impartiaux avant de songer à toute publication.


Victor Hugo tenait-il compte de l'avis de ses semblables avant de publier ? Il n'était pas question pour lui de « soumettre » (drôle de verbe pour parler d'une œuvre littéraire) ses textes à qui que ce soit.
Moi je trouve que la bêta-lecture, c'est fait pour les auteurs bêtas.
 
   
    
                         
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