C'est tellement ça ! D'ailleurs, si tu veux qu'on se fasse des word sprints ...

Bon, je vais essayer de rattraper mon retard ce soir et cette semaine en passant à 2000-2500 mots par jours.

Bon courage !

Au prochain word sprint sur le chat !

J'ai fini mon 13e jour a l'instant avec +1731 mots et donc 20871 mots en tout.
Ce qui me fait un retard de 800 mots, ce qui fait que je devrais cracher 2467 mots pour revenir a l'equilibre demain a la fin du 14e jour.
Cette deuxieme semaine aura vraiment été terrible.

Bravo DC, tu maintiens le cap, c'est l'essentiel

Pour moi, c'est cahin-caha, mais ça va. J'ai la motiv' à fond et des idées plein la hotte... mais parfois j'ai besoin d'un petit NaNo coup de pied dans le fondement.

4516 ! (Et j'ai dépassé USE, du coup !)

c'est parce que je n'ai pas encore mis à jour.











nan c'est pas vrai, mais on en reparle à la fin de la semaine !
Je voulais atteindre au moins les 5000 ce week-end.
Bon du coup je vais me prendre une constance cette semaine !

J'ai craché 3326 mots aujourd'hui, ce qui m'a fait rattraper mon retard et prendre un peu d'avance.

Au soir du 14e jour, j'en suis à 24197 mots

USE a écrit:

Je voulais atteindre au moins les 5000 ce week-end.

Fait ! à l'instant. 5001 ! #nopressure

J'ai écrit 2k de plan pour mon premier chapitre.

Et je m'en fous, je les compte, c'est très narratif comme affaire. é_è

P'têt même que ce sera la forme finale du 1er chap, tiens. Son plan. Voilà.

#PostModernism.

En être réduit à de telles extrémités. C'est triste, Raven.

J'ai presque atteint l'objectif que je m'étais fixé en début de mois : 20 000 mots ! Du coup, j'ai révisé mon objectif final à la hausse, allez, soyons fous, 35 000

Pangolin a écrit:

En être réduit à de telles extrémités. C'est triste, Raven.

C'est artristique.

Samedi j'ai décidé d'arrêter d'écrire.

Dimanche je décide de cracher 1800 mots sur un nouveau projet...

Lundi j'ai la gastro.

Le monde se ligue contre moi.

Allez je me contenterai de +1420

Ce qui me fait 25617 mots

6422 !

Citation :

Le lendemain, elle a atteint le bout du sentier. Elle repense à la femme et à sa fille. Aux Nomades, qui n’en sont pas. Le soleil va bientôt se coucher. Là où le sentier s’achève, elle se met à creuser. Quand elle a fini, il fait presque nuit. Le sentier luit, sauf là où elle a creusé, une bande sombre qui le traverse de droite à gauche, pas plus large que son pied. Dans la plaine, les terriers se sont mis à briller.