Je pensais plutôt aux organisateurs de festivals/salons , médiathèques et librairies.

Après, il parait que ça aide aussi dans la recherche d'éditeurs pour le roman suivant, ce qui me parait normal puisque le nouvel éditeur potentiel verra que tu es déjà passé une fois par la phase correction / négociation / promotion chez un confrère. (je parle de négociation "artistique" , pas financière :-) = corrections et éventuellement un mot à dire sur la couverture)

D'accord; concernant les salons, et uniquement dans mon cas, la question me paraît évacuée d'emblée, puisque n'envisageant que de l'électronique, je ne vois pas trop ce que je pourrait y faire. Mais, ça mérite d'être souligné.

Pour compléter ta seconde remarque: crois-tu que ça joue à ce point, lorsque le genre abordé par le deuxième ouvrage (space opera en l'occurrence), soumis aux ME, n'a aucun rapport avec le premier, auto-édité, en termes de public, marché, contraintes artistiques...?