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 Combien de refus avant de retravailler son texte?

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Invité  /  Invité


Une bêta-lecture, c'est lorsqu'une ou plusieurs personnes va/vont lire le roman et noter les erreurs autant sur la forme (orthographe, syntaxe....) que sur le fond (l'intrigue, les failles possibles du scénario...).
 
Plume d'elle
   
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Plume d'elle  /  Guère épais


@ Liserondesillusions : Merci !
Et pourquoi ne pas appeler cela simplement "relecture"?
 
Mikaroman
   
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Mikaroman  /  Jeune et fringant retraité


La relecture, c'est l'auteur qui la fait

La bétalecture, c'est celle qui est faite par des bétalecteur  

Le mot "bétalecteur" provient d'une analogie avec le vocabulaire de l'industrie où les alphatesteurs testent le produit en cours de développement, et les bétatesteur testent le produit fini avant commercialisation. Il s'agit donc d'un test final sur le roman complet.

Le roman y est alors lu à un rythme de lecture normale ( souvent plus rapide que la vitesse à laquelle l'auteur écrit les chapitres) et avec un regard neuf (les alphalecteurs ayant eu des réponses en cours de route qui biaisent leur appréciation globale de l'oeuvre)
http://romainmikam.free.fr/
 
Shub
   
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Kylie Ravera a écrit:


Si le procédé ne te fait pas frémir, tu peux essayer l'autoédition pour avoir des retours directs sur ton univers / style / écriture. Tu sauras assez vite quelles sont tes chances de toucher des vrais lecteurs, que ce soit par l'intermédiaire d'un éditeur ou en direct - les échecs en autoédition sont francs et massifs, c'est un milieu qui ne fait pas de cadeau.

Et le plus important: si tu sens que ton livre a besoin d'être retravaillé, c'est sans doute qu'il doit l'être...

Encore faut-il qu'il y ait des lecteurs/lectrices pour le lire. Et là, c'est pas franchement gagné même si le téléchargement est gratuit ou peu couteux...
Je suis néanmoins d'accord avec la dernière phrase. Il y a des gens qui travaillent et re-travaillent leur roman pendant des années et d'autres non... Par exemple le best-seller style Musso obéit à des codes assez précis et spécifiques: donc quand l'auteur a écrit tant de pages dans une structure qu'il connaît et reconnaît comme vendeuse, il arrêta plus vite que celui ou celle qui fait de la littérature une expérience. J'évite sciemment ici de parler de littérature expérimentale ce qui ne veut rien dire pour moi.
Terme surfait que celui de "littérature expérimentale". Beerk!
 
Plume d'elle
   
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Plume d'elle  /  Guère épais


Mikaroman a écrit:
La relecture, c'est l'auteur qui la fait

La bétalecture, c'est celle qui est faite par des bétalecteur  

Le mot "bétalecteur" provient d'une analogie avec le vocabulaire de l'industrie où les alphatesteurs testent le produit en cours de développement, et les bétatesteur testent le produit fini avant commercialisation. Il s'agit donc d'un test final sur le roman complet.

Le roman y est alors lu à un rythme de lecture normale ( souvent plus rapide que la vitesse à laquelle l'auteur écrit les chapitres) et avec un regard neuf (les alphalecteurs ayant eu des réponses en cours de route qui biaisent leur appréciation globale de l'oeuvre)

Merci pour toutes ces précisions intéressantes !
 
24bits
   
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Je viens de tomber par hasard sur ces informations du site des éditions Humanis :
http://www.editions-humanis.com/envoi-manuscrit.php

Pour eux : "Dans la grande majorité des cas, le texte est lu (ou parcouru) avant d’être refusé. Les chances pour qu’un texte de qualité soit successivement refusé par une dizaine de maisons d’édition sont extrêmement faibles."

Difficile d'avoir un avis là-dessus sans spéculer, mais j'ai pensé à ce fil en le lisant, et puis il y a des choses intéressantes (même si certaines ont été rabâchées ^^)
 
Shub
   
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Shub  /  Roberto Bel-Agneau


24bits a écrit:


Pour eux : "Dans la grande majorité des cas, le texte est lu (ou parcouru) avant d’être refusé. Les chances pour qu’un texte de qualité soit successivement refusé par une dizaine de maisons d’édition sont extrêmement faibles."

 
Sympa de dire cela mais cela néglige un fait important sinon capital. Il faut que non seulement le texte soit bon, de qualité, sans faute etc. mais surtout, SURTOUT il faut que la maison d'édition puisse penser que cela fera un succès commercial en librairie.
Mon roman a été refusé pour cela par une maison de SF relativement connue dont je tairai le nom, et sans doute refusé aussi par d'autres pour la même raison. Ces derniers m'ont fait des compliments qui m'ont particulèrement touché et auquel j'ai été sensible tout en me signifiant que le fantastique ne marchait pas chez eux au niveau des ventes, ce qui veut signifier sans doute qu'il ne marche pas non  plus terriblement plus ailleurs.
C'était une maison qui édite de la SF et qui a une collection relativement conséquente, relativement connue.
Leurs impératifs commerciaux font qu'ils peuvent très bien avoir un coup de cœur sincère, le notifier à l'auteur tout en déplorant de ne pouvoir l'éditer pour cette raison.
Cette histoire de genre et d'appartenance à un genre qui rencontre un succès ou pas auprès des lecteurs/trices est capital dans leur choix de publication.
Désolé mais c'est comme cela: une édition est un entreprise qui doit faire vivre des employés et payer des factures. Impossible de le négliger quand on est ou veut devenir auteur.
En tout cas ça explique tout ou une partie des refus pour moi et mon manuscrit.
 
24bits
   
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Oui tu as bien raison de le préciser ! Dans ma tête j'étais sur des refus types.

Mais j'ai la nette impression qu'un éditeur qui refuse un texte qui lui plaît argumente sa décision. C'est ce qui semble t'être arrivé aussi.
La remise en question personnelle n'est alors pas encore à envisager.
 
Shub
   
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Shub  /  Roberto Bel-Agneau


Cher ami, la remise en question est toujours à envisager, ou alors énoncé différemment, elle fait partie de ces multiples questions que l'on se pose des fois inconsciemment au sujet de son texte et qui ont pour effet de vous faire travailler du "ciboulot", parfois même la nuit: genre se réveiller pour corriger une phrase ou un chapitre ce qui m'est arrivé de nombreuses fois.
Sinon oui, je suis d'accord avec toi: un éditeur qui refuse un texte qui lui plaît argumente sa décision ou en tout cas précise clairement les motifs de son refus qui peuvent être sans doute dans les 3/4 des cas économiques.
Te décourage pas. Notre croissance a repris ce dernier trimestre (j'en suis à guetter les bonnes nouvelles d'où qu'elles viennent ou peuvent provenir!) et avec, espérons que la croissance touchera aussi les métiers du livre. Les métiers du livre dont l'édition principalement sont aussi touchés par la crise.
Le capitalisme est un peu comme ces montagnes russes: quand on est tout en bas d'une courbe, on peut toujours espérer que l'élan acquis précédemment nous fera remonter.
 
Florence_C
   
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Mon expérience me fait dire que, parfois, il faut mettre son roman aux oubliettes et écrire autre chose.
Quand on le ressort quelques temps après et qu'on le relit, on pâlit et on se dit : OK, c'est normal qu'il ait été refusé.
Pour ma part, la participation à des AT a été le déclencheur de publication.
Et mon 2e roman (le 1er s'est transformé en série après un remaniement total - et quand je dis total, c'est total) a été accepté. Je ne l'avais pas relu. Du coup, je suis en phase de corrections éditoriales et je mets environ 1 heure pour corriger... 2 pages. Sachant qu'il y en avait 215, je vous laisse faire le calcul...
Bref, ne pas hésiter à "oublier" son texte au lieu de le travailler désespérément. Il ressortira peut-être plus tard d'un tiroir.
http://fcochet.wix.com/fcochet
 
   
    
                         
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