Bonjour ou bonsoir très estimé lecteur.
Je m’appelle Paul MALEM, habitant de la belle banlieue parisienne, au [EXPLICIT]. Mon adresse mail est, sans surprise, [EXPLICIT], je la regarde très souvent grâce à la technologie des SMARTPHONES.© Puisqu’on parle de téléphones portables, je suppose que mon numéro serait de bon ton : [EXPLICIT]. On ne sait jamais, toute information est bonne à prendre.  
Pour la petite présentation, je viens d’avoir 18 ans en septembre 2015 (je suis très content de pouvoir enfin voter légalement). Je suis un jeune homme plutôt banal, typé banlieusard. Je fais des études de biologie à l’UPMC, Paris. Mais je suis surtout intéressé par l’écriture. Pas un jour ne passe sans que j’écrive une ligne, quelque part, sur quoique ce soit. Je m’intéresse également beaucoup à l’actualité, à la situation du monde, c’est ce qui m’a poussé dans la direction de ce roman, qui est étroitement lié au monde actuel. J’ai mis une part de moi-même dans Psychopompe, c’est ma vision personnelle du futur, et j’espère que vous découvrirez ce roman avec le même plaisir que j’ai ressenti en l’écrivain.
Vous avez devant vous Psychopompe, baptisé en l’honneur des divinités psychopompes qui escortent les âmes des morts vers l’au-delà et leur nouvelle vie, dans la plupart des mythologies. Le roman mêle les genres de l’anticipation et du thriller, avec une touche de fantastique que je vous laisse découvrir si vous vous enfoncez dans le manuscrit. Il y a 126 249 mots à lire pour 727 878 caractères, espace compris.
L’action se situe en 2050. J’y dépeins un saut de 35 ans dans le futur avec un maximum de détails et de réalisme. Vous vous doutez alors que j'ai essayé d'y faire figurer les potentiels dégâts du réchauffement, des scénarios de guerres et de crises économiques. On y suivra Matthieu Amaury, Brigadier de la République, dans une Provence tiraillée par la sécheresse, les inondations et assaillie par une guérilla nationaliste. Notre héros sombrera au même temps que le monde. Bonne lecture.
Je vous souhaite bien du courage dans l’épluchage de la tonne de manuscrits qui vous attendent, mais j’espère très sincèrement que le mien retiendra votre attention.
Cordialement,
Paul