La date fatidique du 1er novembre approche à grands pas ! Ca me parait être le bon moment pour s'échanger des astuces d'écriture pour avoir la cadence requise pour le Nano (1667 mots par jour ).

Je n'ai jamais fait ça personnellement. Mon record perso c'est le Camp Nano d'avril dernier avec un peu plus de 20 000 mots et ça me paraît déjà énorme.

Si vous êtes des gens productifs, des survivants d'un Nano précédent ou des guerriers de l'écriture, avez-vous des astuces pour garder le rythme, la créativité et la motivation pour ce marathon d'écriture ?

JE

Blague à part, voir les autres avancer sur leur propre NaNo est une véritable source de motivation pour moi. Les WW avec Nast, les Nuits de l'écriture, les marathons... Je me prends au jeu et je fais bien avancer mon compteur pendant ces occasions 'spéciales'.

Le thé est votre ami. Une bonne boisson chaude et un petit coup de théine, c'est pas désagréable quand on a un petit coup de mou !

Et surtout, ne vous relisez pas Rien de tel pour tuer la motivation, donner envie de corriger ou pire, supprimer des mots !

Merci d'avoir ouvert ce sujet que je vais lire avec grande attention puisque :

Citation :

garder le rythme, la créativité et la motivation

 C'est un peu ce qui m'échappe au fil des jours, et pas que niveau nano.

Pour l'instant, forte de tous mes échecs passés, j'ai tenté de penser quelque chose qui me laisse le plus de liberté possible surtout, et je sens déjà que ça ne va pas être si simple...

Sans grande originalité, un petit carnet où je note un peu tous les trucs que j'ai envie d'aborder dans mon histoire. Comme un plan mais pas exactement, puisque je ne m'impose pas forcément de chronologie (bien qu'elle ait l'air quand même de vouloir se mettre en place), ce sont plus des scènes sous forme de tableaux, quelques mots jetés dessous, tout ce qui pourrait alimenter par la suite. En prévision de futurs brouillards...

Rapport à ton conseil Flora, perso je suis incapable d'avancer sans me relire, sans être certaine que je ne pars dans le mur où que je brode, comme s'il fallait toujours que je prenne appui sur ce que j'ai déjà amorcé. Et pourtant ça m'a l'air d'un super bon conseil.

En résumé je suis plus preneuse que donneuse d'astuces !

Pour ma part, je pense qu'utiliser le site 3pages peut être pas mal, il y a un compteur de mots et personnellement je préfère écrire sur cette plateforme (j'ai mit un fond noir) que sur OpenOffice ou Word ou Google Drive qui ont un fond blanc. (Je suis bizarre, I know...) Mais parfois changer de plateforme aide. Après il y a le Write or die qui est à la fois "amusant" et "motivant" :')

Puis après, boisson / nourriture à portée de main, moments calmes et propices à l'écriture (personnellement, je sais que j'écris mieux la nuit, donc je me prépare à quelques nuits blanches les vendredis et samedis soir et jours fériés -aaaah les cours), musique inspirante -ou pas, selon si vous avez l'habitude d'écrire avec ou sans- et certitude de ne pas être déranger sauf par un extraterrestre qui viendrait vous demander d'emprunter vos toilettes -dans ce cas-là, consultez un psy. Psychiatre de préférence.

Si vraiment ça ne vient pas, alors n'essayez pas d'écrire à tout prix, mais plutôt de poser des mots, des idées en vrac sur la scène actuelle ou les suivantes. Lisez, regardez un film, parlez à d'autres personnes (JE est là pour ça, ahah), l'inspiration reviendra peut-être.

Perso je sais que je vais m'aider des Nuits JE pour écrire, par exemple, héhé.

Hel a écrit:

Rapport à ton conseil Flora, perso je suis incapable d'avancer sans me relire, sans être certaine que je ne pars dans le mur où que je brode, comme s'il fallait toujours que je prenne appui sur ce que j'ai déjà amorcé. Et pourtant ça m'a l'air d'un super bon conseil.

C'est la quantité et non la qualité qui compte, rien ne t'empêchera de revenir après le nano pour rectifier. Un nano aura toujours besoin d'une bonne phase de réécriture après coup, à moins d'être très fort !

A titre personnel, je pense appliquer pendant le Nano ce que je fais actuellement : écrire dés que j'ai un peu de temps.

Naturellement, j'aurai tendance à m'installer devant mon ordi vers 23h pour écrire jusqu'à 3 ou 4h du matin. Sauf que depuis que je bosse à temps complet, c'est un peu compliqué :p (au moins quand je bossais de chez moi, c'était plus simple). Et j'avoue que quand je rentre chez moi après une journée à écrire sur un ordi (oui, je fais de la rédaction au bureau principalement), je n'ai pas vraiment envie d'avancer sur mon roman.

Du coup, j'écris sur des sessions courtes (entre 10 et 30 min) pendant ma pause déjeuner, dans le métro, le matin en prenant mon café. Bon, ce n'est pas l'idéal mais ça m'aide bien à avancer depuis un mois.

Mais je pense que la clé pour réussir un Nano, c'est la préparation. En ce moment, je réfléchis beaucoup à l'histoire que je veux commencer et dés que je serai fixé, je vais préparer un plan. Ou du moins une ébauche avec les grandes lignes pour avoir un guide digne de ce nom. Sinon comme tout le monde, Nuits de l'écriture, WW et café !

LET'S MAKE WAR!!

Évidemment les wars sur la CB c'est très motivant. La musique essentielle. Du temps! C'est ce qui me manque étrangement. On me dérange TOUT LE TEMPS pfff. Quand l'inspiration lâche un peu, je prend un peu de temps pour réfléchir à ce que je veux qui se passe éventuellement et je prépare le chemin pour en répartissant les étapes sur les prochains chapitres. Par exemple : Chapitre 25 : découvrir le lien entre les deux adversaires et l'utiliser contre le héros. Ou Chapitre 25 : tuer un tel. C'est A ou B qui le trouve et il vomira. Acheter un billet d'avion. Appel d'une inconnue.

C'est rarement un plan détaillé et souvent j'en sors : c'est seulement un genre brainstorm sur ce que j'aimerais faire et parfois je ne fais ça que pour un ou deux chapitres et le reste coule tout seul.

Parfois, je lance des pistes et je les note pour les réutiliser plus tard en cas de longueur.

lol ça doit pas être très clair, mais bon ça m'aide personnellement

t'es pas bizarre encrine, Georges Simenon ne savait écrire que sur des feuilles jaunes A4 en silence dans son bureau fermer à clé.

Moi je n'écris vraiment bien qu'au crayon, niveau inspiration, le clavier c'est trop lent pour mon fil d'idées en général et puis j'ai du mal à me balader avec mon portable.

C'est ainsi que j'écris beaucoup d'ailleurs : j'écris partout, tout le temps. Entre les cours, dans le bus, en marchant, en allant au lit, en attendant que mon gratin soit prêt, bref, écrire dans des conditions diverses qui parfois servent bien ton inspiration.

Comme j'écris sur papier, je ne réécris pas dans un premier temps, ce serait trop cochon Je peux parfois biffer un verbe pour un autre si vraiment c'est inadéquat, mais ça me permet de me concentrer sur l'objectif "fin" avant de rebosser le tout en détail.

Abandonner l'école ou le travail. Y'a pas d'autre solution.

Je veux bien renoncer au lycée tout le mois de novembre ! xD

nan nan on peut cumuler les deux... mais on cause plus shopping avec la voisine durant tout l'intercours

Je parle jamais shopping... suis-je la seule fille qui n'aime PAS le shopping ? :') Je parle plutôt musique ou mangas, tu vois ? 8D Quoique, pendant les intercours je suis dans un coin avec ma musique et un bouquin... *mode "intello" huhu xD* Oh. Maintenant je serais dans un coin avec ma musique et mon bloc notes ! *-*

Ah oui, les cours -_-

Je veux mouriiiiiiiiiiiiiiiiir !

Encrine a écrit:

Je parle jamais shopping... suis-je la seule fille qui n'aime PAS le shopping ? :') Je parle plutôt musique ou mangas, tu vois ? 8D Quoique, pendant les intercours je suis dans un coin avec ma musique et un bouquin... *mode "intello" huhu xD* Oh. Maintenant je serais dans un coin avec ma musique et mon bloc notes ! *-*

Le magasinage, c'est bien ! Enfin, quand c'est pour moi et que ça ne s'éternise pas. Je ne fais jamais les "vitrines" que pour regarder. Je magasine pour acheter, mais il arrive qu'on ne trouve pas ce qu'on veut...

Bref, pas très important. Mais sinon, comme conseil, ne pas se mettre de pression. On peut tenter d'atteindre le fameux objectif de 50 000 mots, ça motive. on y arrivera peut-être pas, mais au moins on aura avancer, et peut-être plus qu'on ne le croit.