PortailAccueilRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Google Pixel 7 5G – Smartphone 6,3″ OLED FHD+ 8 Go + 128 Go
316 €
Voir le deal

Partagez
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3 ... 8 ... 15  Suivant
 

 Lettre ouverte à ceux qui rêvent d'être édités

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

 
AdL
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  192
   Âge  :  58
   Pensée du jour  :  N'espère rien de l'homme s'il travaille pour sa propre vie et non pour son éternité (Saint Exupéry)
   Date d'inscription  :  06/04/2012
    
                         
AdL  /  Tycho l'homoncule


Marc Anciel a écrit:
C'est à peu près le même que dans n'importe quelle entreprise. Si on se pointe la bouche en coeur avec un CV vierge en clamant qu'on peut rapporter des dizaines de milliers d'euros, on nous répond, très logiquement et invariablement: "Qu'est-ce qui nous le prouve? Faites vos preuves. Gagnez en expérience. Commencez au bas de l'échelle et ensuite on avisera."

D'accord avec Marc Anciel. L'édition est une entreprise qui fonctionne avec ses mêmes principes.

Pour le théâtre, c'est pareil, voire pire. Les auteurs de pièces sont pléthore mais jamais jouées. Pourquoi ? Parce qu'aujourd'hui, on écrit du théâtre pour donner le rôle à une célébrité et non à une troupe lambda. Fruit de ma conversation ce we avec l'exemple suivant : Johnny hallyday avoulu faire du théâtre, on lui a écrit une pièce sur mesure : ça marche, ça rapporte ; tout est benef et le peuple est satisfait
 
Shub
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  2944
   Âge  :  119
   Localisation  :  À l'Ouest mais sans rien de nouveau
   Pensée du jour  :  Aller cueillir les escargots nu sur les baobabs
   Date d'inscription  :  12/09/2013
    
                         
Shub  /  Roberto Bel-Agneau


Violine a écrit:
Je ne suis pas bien d'accord avec ce post. Si les envois sont bien ciblés, que le roman tient la route, qu'il est bien écrit, bien ficelé, qu'il ne rabâche pas ce qu'on a déjà lu 150 fois ou au contraire, qu'il s'insère parfaitement dans la mouvance d'un genre, mais avec finesse, il n'y a pas de raisons que cela ne fonctionne pas.

Ce décalage, nous sommes tellement nombreux à le vivre ou l'avoir vécu. Entre l'auto-estimation ou tentative d'autoévaluation sincère de ce qu'on a produit, les échos souvent favorables (même très!) de la part d'amis ou de relations et les lettres de refus stéréotypées des éditeurs, il y a un décalage énorme...
Il y a aussi une question d'air du temps, de ce que le public attend et dont les CL sentent qu'ils en sont les interprètes ou traducteurs, des sortes de passeurs. Un exemple flagrant pour moi est Houellebecq. il connaît un succès monstre et tous (je dis bien tous!) les gens avec qui j'en ai parlé, connus ou inconnus, disent qu'ils n'aiment pas ce qu'il produit. Et qu'ils n'achètent plus ses livres...
Alors d'où vient un tel engouement ? Effet de mode, médiatisation, air du temps... Son dernier livre qui a eu je crois le Goncourt "La carte et le territoire" était tellement nul et sans intérêt que je l'ai égaré qq part et ai décidé de ne pas le racheter. Bourré de pubs pour des marques, citant Hewlett-Packard, Nikon, Epson ainsi que diverses labels à tour de bras et presqu'à toutes les pages comme s'il avait un contrat occulte avec eux... J'ai trouvé cela limite scandaleux.
Quand tu parles de "mouvance d'un genre", c'est un peu flou même si on comprend ce que tu veux dire ou sous-entend.
 
Gwenouille
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  1512
   Âge  :  35
   Date d'inscription  :  02/03/2013
    
                         
Gwenouille  /  Roland curieux


"Les fictions se vendent mal."

Hum... Je pense que ça se vend très bien, les fictions.

Y'a des inconnus publiés chez des grandes maisons. Ok, y'en a forcément moins que dans des petites maisons, mais ça arrive. Après, faut aussi savoir faire la part des choses. Quand le gars qui n'a pas relu son manuscrit l'envoie chez Gallimard, bourré de fautes, faut pas s'étonner.
Dans les 98% non publiés, c'est malheureusement une majorité...
Après je suis d'accord avec idmuse. Il y a beaucoup de gens qui préfèrent publier "vite", car ils en ont marre d'attendre. J'ai même lu quelqu'un sur ce forum qui parlait de "refourguer" son livre. A quoi ça sert de se précipiter ? Enfin vu le temps passé à écrire un livre, justement il peut être intéressant d'aller jusqu'au bout. De ne pas essayer de refourguer, mais de trouver quelqu'un qui saura retravailler le texte pour de vrai et tirer le meilleur de votre livre. Mais en lisant les expériences d'édition, j'ai parfois le sentiment que ce travail n'intéresse que peu de gens.
Il est un peu dommage de ne pas tenter les grandes et les moyennes maisons, et de se dire d'avance que ce n'est pas possible.
 
monilet
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  1604
   Âge  :  74
   Localisation  :  Essonne -France, chtimmi d'origine et coeur
   Pensée du jour  :   monilet= auteur Claude Colson
   Date d'inscription  :  29/06/2011
    
                         
monilet  /  Fiancée roide


Effectivement, avant tout envoi aux petites maisons, je pense que l'on doit faire quelques envois aux grandes et moyennes : on ne sait jamais... Et puis , après quelques refus, faire preuve de réalisme.
https://claudecolson.wordpress.com/
 
Shub
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  2944
   Âge  :  119
   Localisation  :  À l'Ouest mais sans rien de nouveau
   Pensée du jour  :  Aller cueillir les escargots nu sur les baobabs
   Date d'inscription  :  12/09/2013
    
                         
Shub  /  Roberto Bel-Agneau


Gwenouille a écrit:
A quoi ça sert de se précipiter ? Enfin vu le temps passé à écrire un livre, justement il peut être intéressant d'aller jusqu'au bout. De ne pas essayer de refourguer, mais de trouver quelqu'un qui saura retravailler le texte pour de vrai et tirer le meilleur de votre livre. Mais en lisant les expériences d'édition, j'ai parfois le sentiment que ce travail n'intéresse que peu de gens.
Tu évoques les correcteurs ? Pour mon roman de 125 pages format A4 Word, les tarifs vont de 450€ (une coach littéraire) à 950€. Ce sont des tarifs "normaux" m'a dit une amie qui a publié plusieurs livres. Qui peut se permettre d'investir une telle somme même en croyant dur comme fer à son manuscrit ?
Evidemment ils ont leurs propres correcteurs dans les maisons d'édition, les grandes comme les petites. S'ils sont intéressés, bien sûr qu'ils feront passer ton manuscrit à la moulinette pour que ce soit conforme à ce qu'ils attendent et espèrent de ton manuscrit. Le dilemme est que tu peux faire revoir sinon réécrire totalement ton manuscrit par un correcteur en amont avant de l'envoyer, même le ou la meilleure, et que derrière, les CL trouvent que le style n'est pas conforme à ce qu'ils attendent. Mais s'ils sont vraiment intéressés, ils le prennent néanmoins et le referont corriger. Donc 2 corrections entre "ta" version finale et celle publiée!!!
Compliqué tout ça.
 
avatar
   
    
                         
Invité  /  Invité


Tu prophétises l'échec des autres d'une façon si catégorique... Comme c'est charmant. Je vois pas en quoi la déception précoce que tu veux nous faire ressentir serait préférable à une déception futur, fruit de notre expérience. Il y en a ici qui écrive en partie dans le but d'être édité, ou du moins qui retrouve l'énergie d'écrire à cette idée, c'est une motivation altruiste de leur enlever leur espérance ?
 
AdL
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  192
   Âge  :  58
   Pensée du jour  :  N'espère rien de l'homme s'il travaille pour sa propre vie et non pour son éternité (Saint Exupéry)
   Date d'inscription  :  06/04/2012
    
                         
AdL  /  Tycho l'homoncule


Non, une réalité...malgré nous et nos espérance.
 
avatar
   
    
                         
Invité  /  Invité


Aux enfants, tu dis que le père Noel n'existe pas parce que c'est la réalité ?
De toute façon, ceux qui ont envie de croire qu'ils seront peut être édités continueront a y croire malgré ton post.
 
monilet
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  1604
   Âge  :  74
   Localisation  :  Essonne -France, chtimmi d'origine et coeur
   Pensée du jour  :   monilet= auteur Claude Colson
   Date d'inscription  :  29/06/2011
    
                         
monilet  /  Fiancée roide


Donc il n'enlève pas vraiment l'espérance. Smile Sauf, éventuellement, à ceux qui ne sont pas pugnaces et dont les chances de succès sont infinitésimales.
https://claudecolson.wordpress.com/
 
Gwenouille
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  1512
   Âge  :  35
   Date d'inscription  :  02/03/2013
    
                         
Gwenouille  /  Roland curieux


Citation :
Tu évoques les correcteurs ? Pour mon roman de 125 pages format A4 Word, les tarifs vont de 450€ (une coach littéraire) à 950€. Ce sont des tarifs "normaux" m'a dit une amie qui a publié plusieurs livres. Qui peut se permettre d'investir une telle somme même en croyant dur comme fer à son manuscrit ?
Evidemment ils ont leurs propres correcteurs dans les maisons d'édition, les grandes comme les petites. S'ils sont intéressés, bien sûr qu'ils feront passer ton manuscrit à la moulinette pour que ce soit conforme à ce qu'ils attendent et espèrent de ton manuscrit. Le dilemme est que tu peux faire revoir sinon réécrire totalement ton manuscrit par un correcteur en amont avant de l'envoyer, même le ou la meilleure, et que derrière, les CL trouvent que le style n'est pas conforme à ce qu'ils attendent. Mais s'ils sont vraiment intéressés, ils le prennent néanmoins et le referont corriger. Donc 2 corrections entre "ta" version finale et celle publiée!!!
Compliqué tout ça.

Non, justement je parle d'auteurs qui se contentent d'une super correction orthographique alors que la plupart du temps, le problème est un problème de fond.
"S'ils sont intéressés, bien sûr qu'ils feront passer ton manuscrit à la moulinette pour que ce soit conforme à ce qu'ils attendent et espèrent de ton manuscrit." --> bah c'est justement là où je pense que beaucoup de petits éditeurs n'en attendent pas grand-chose. Corriger pour vendre, oui, mais surtout pas trop, car ça prendrait du temps et ça ferait donc perdre des sous. Un correcteur ne corrige pas le fond, il corrige la forme. Le fond, c'est l'éditeur qui le corrige. Et beaucoup de petits éditeurs s'en passent allégrement (déjà de la forme, alors le fond, n'en parlons même pas...). Ce n'est même pas une question de le vouloir, c'est aussi que beaucoup de petits éditeurs ne sont pas formés et ne sont donc pas capable de corriger le fond. Je vais probablement paraitre prétentieuse en disant cela, mais être éditeur est à la portée de tous ceux qui veulent ou ont les moyens d'étudier. En revanche, être un BON éditeur, ça c'est une autre histoire... Je ne crache pas sur tous les petits éditeurs, mais pour avoir payé des livres où je me suis retrouvée avec 11 X "!?" en une page, 18 "!" et 17 "?" en deux pages, je me pose des questions. C'en était tellement insupportable à la lecture que je ne pensais plus qu'à les compter. Et c'est loin d'être le seul exemple... (malheureusement). Donc si c'est pour que ton livre soit publié ainsi... Enfin désolée quoi, je trouve que c'est juste du massacre ?

EDIT : au passage, on paye bien 450 euros pour que nos gosses apprennent à faire du piano. Ou du cheval. Ou du tennis, du foot, ou ce que tu veux... T'enlèves 3 ou 4 restos dans l'année, ou de ciné, je suis certaine que ça reste faisable. Ce n'est pas "qui peut se permettre", mais "qui souhaiterait" utiliser son argent à ça. Comme quoi, pour la plupart, je pense que c'est bien une histoire de priorité. Cependant je respecte qu'on ne veuille pas forcément utiliser son argent à ça, et que 4 restos peuvent être plus intéressants que la correction orthographique de son livre.


Dernière édition par Gwenouille le Mar 8 Juil 2014 - 17:29, édité 1 fois
 
avatar
   
    
                         
Invité  /  Invité


monilet a écrit:
Donc il n'enlève pas vraiment l'espérance.

Non, mais c'est le but recherché.
 
monilet
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  1604
   Âge  :  74
   Localisation  :  Essonne -France, chtimmi d'origine et coeur
   Pensée du jour  :   monilet= auteur Claude Colson
   Date d'inscription  :  29/06/2011
    
                         
monilet  /  Fiancée roide


D'accord, Gwenouille, avec cette analyse des petits éditeurs, dans leur immense majorité.
https://claudecolson.wordpress.com/
 
idmuse
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  728
   Âge  :  48
   Localisation  :  Montréal
   Date d'inscription  :  12/06/2012
    
                         
idmuse  /  Blanchisseur de campagnes


Gwenouille a écrit:
Mais en lisant les expériences d'édition, j'ai parfois le sentiment que ce travail n'intéresse que peu de gens.
Il est un peu dommage de ne pas tenter les grandes et les moyennes maisons, et de se dire d'avance que ce n'est pas possible.

Totalement d'accord. Mon éditrice a déjà accepté un texte en disant qu'il fallait le retravailler, elle a envoyé certaines modifs et la personne lui a dit: ben là, si c'est tout à retravailler, pourquoi l'avoir accepté? Bah... parce que ça fait partie du travail.

Et pour la correction et tout le bazar... il faut un minimum de base. Si tu veux jouer au foot en tong, pas sûre que ça fonctionne. Alors il faut lire, relire, re-relire, savoir jouer de la typo, soigner un maximum son histoire (tu l'envoies à un pro, c'est comme une audition, même si tu es bon, possible que tu te plantes, hein). On ne te demande pas des chaussures à 100 euros pour jouer, mais si y'a un faiblesse, que tu le sais, et que ton écriture rebute, il vaut mieux y remédier (à force d'écrire, on fait moins de fautes, techniquement).

La seule fois où j'ai fait appel à une correctrice, c'est pour de l'auto-édition. Et là, c'est une autre histoire.
http://www.suzanneroy.net
 
Shub
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  2944
   Âge  :  119
   Localisation  :  À l'Ouest mais sans rien de nouveau
   Pensée du jour  :  Aller cueillir les escargots nu sur les baobabs
   Date d'inscription  :  12/09/2013
    
                         
Shub  /  Roberto Bel-Agneau


Gwenouille a écrit:


Non, justement je parle d'auteurs qui se contentent d'une super correction orthographique alors que la plupart du temps, le problème est un problème de fond.

Le problème de fond, c'est qu'il faut que ton manuscrit soit "formaté" éditeur et édition. Et ça c'est compliqué car nous, on écrit pour nos lecteurs, pas pour des éditeurs. Hé oui! Pour la plupart d'entre nous, il y a un étape intermédiaire qui manque ou fait défaut. En gros, ce qui le rend "vendable", pour les éditeurs puis en librairie. Et pour ça, y'a pas de recettes.

Gwenouille a écrit:

"S'ils sont intéressés, bien sûr qu'ils feront passer ton manuscrit à la moulinette pour que ce soit conforme à ce qu'ils attendent et espèrent de ton manuscrit." --> bah c'est justement là où je pense que beaucoup de petits éditeurs n'en attendent pas grand-chose. Corriger pour vendre, oui, mais surtout pas trop, car ça prendrait du temps et ça ferait donc perdre des sous. Un correcteur ne corrige pas le fond, il corrige la forme. Le fond, c'est l'éditeur qui le corrige. Et beaucoup de petits éditeurs s'en passent allégrement (déjà de la forme, alors le fond, n'en parlons même pas...). Ce n'est même pas une question de le vouloir, c'est aussi que beaucoup de petits éditeurs ne sont pas formés et ne sont donc pas capable de corriger le fond. Je vais probablement paraitre prétentieuse en disant cela, mais être éditeur est à la portée de tous ceux qui veulent ou ont les moyens d'étudier. En revanche, être un BON éditeur, ça c'est une autre histoire...
Ils ne vont jamais t'expliquer comment transformer ton roman en un roman "vendable", les éditeurs. Ils se contentent de le passer au crible de leur critère et bien sûr le premier, est  de savoir si ça fera un succès en librairie.

Gwenouille a écrit:
au passage, on paye bien 450 euros pour que nos gosses apprennent à faire du piano. Ou du cheval. Ou du tennis, du foot, ou ce que tu veux... T'enlèves 3 ou 4 restos dans l'année, ou de ciné, je suis certaine que ça reste faisable. Ce n'est pas "qui peut se permettre", mais "qui souhaiterait" utiliser son argent à ça. Comme quoi, pour la plupart, je pense que c'est bien une histoire de priorité. Cependant je respecte qu'on ne veuille pas forcément utiliser son argent à ça, et que 4 restos peuvent être plus intéressants que la correction orthographique de son livre.
C'est pas juste une question de correction orthographique. Beaucoup de gens peuvent faire cela et comme tu le disais, à force d'écrire, on finit par repérer les fautes, les répétitions, l'abus d'auxiliaires, etc.
Ce sont des passeurs entre nous et les lecteurs, ces éditeurs, et ils ont des critères drastiques compte tenu du nombre important de manuscrits qui leur parviennent. C'est comme pour le théâtre en tant que comédien: il faut le talent, un certain savoir-faire, l'obstination... et le coup de bol!!!
 
QuillQueen
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  6087
   Âge  :  35
   Localisation  :  Liège
   Pensée du jour  :  La "recherche d'équilibre" sur JE est interrompue, ça manque de mécènes en temps de crise.
   Date d'inscription  :  11/01/2010
    
                         
QuillQueen  /  Wallonne OUvreuse de LIttérateurs POstiches


Franchement, je ne saisis pas ce qu'il y a de nouveau dans ce message... t'as été refusé ? Tu vas ailleurs. Pourquoi viser galligrasset ? Galli grasset a trois maisons, qui n'ont ni poutre ni chevron ♫ Et si en plus t'envoies dès que tu as posé le mot "fin" HUMHUM je pense que je dirais niet aussi... Entre mon mot "fin" et ma vraie ultime version avant envoi aux éditeurs, doit bien y avoir deux ans de boulot à chaque fois...

je crois pas qu'ici y ait vraiment des gens remplis d'espoir d'être pris pour leurs premiers romans par des gros bazars... au mieux, espérer un retour, ce serait déjà énorme. On est donc déjà bien assez réalistes.
Si tu as cru utile de réclamer un poste de team leader sans avoir eu de contrat dans ton domaine, faut revoir ta gestion des envois. Mais ces généralités sont idiotes, genre les moyennes éditions c'est comme ne pas être publié ?
Désolé mais il est là le manque de sens des réalités...

Tu sais, j'ai refusé à un éditeur son contrat parce que je ne me sentais pas accord avec sa vision marketing. Il voulait bien m'éditer hein, et sans que je débourse un balle bien sûr, mais je me suis dit "non, je trouverai mieux".
Pas "plus gros". "Mieux". Faut se sentir à l'aise avec l'édition elle-même d'abord ! Si on envoie sans s'être renseigné sur les éditeurs (et j'ai déjà causé avec des éditeurs, je peux vous dire qu'ils en ont marre de recevoir des machins complètement à côté de leur ligne éditoriale), normal que la plupart des réponses sont négatives.

Enfin bref, discours du nivellement par le bas qui est pas très en phase avec le milieu de l'édition...
 
   
    
                         
Contenu sponsorisé  /  


 

 Lettre ouverte à ceux qui rêvent d'être édités

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 15Aller à la page : Précédent  1, 2, 3 ... 8 ... 15  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum des Jeunes Écrivains :: Ressources :: Édition et Autopublication-