1230 !

Coco > Quel est le titre de ton nouveau roman ?

243, j'imprime un rythme correct.

De rien pour mes musiques, j'espère que ça vous plaira. Le début est plutôt mélancolique, mais il y a des phases épiques, oniriques et psychédéliques par moment ^^
Si vous gardez le lien, vous pourrez voir que je la modifie assez souvent, en ajoutant de nouvelles choses variées. Bonne écoute ^^

1800 mots.

Honnêtement je ne l'ai pas encore trouvé. J'ai vraiment du mal à lui trouver un titre, je voudrais vraiment qu'il soit parfait.

Coco, j'ai mis un an et demi à trouver mon titre ^^'
Je crois pas que ce soit le plus urgent à déterminer dans un nouveau texte, d'ailleurs, nombre de roman ont d'abord un titre de projet, avant d'en avoir un à eux, qui reflète leur essence.
Après, on peut aussi partir d'un titre pour écrire, mais c'est encore autre chose

2690 mots. Je finis mon chapitre, et ce sera tout pour ce soir (c'est déjà pas mal)

Je m'accorde une pause mais je garde un oeil dans le coin

2174 mots.

2427, on reste stable

Bonne nuit à tous, j'ai avancé d'un millier, c'était bien sympathique, bien que le tchat soit plus distrayant qu'aidant quand on est lent du ciboulot   , il y a une vraie émulation, merci à vous !

+300 mots avec un message de jeu de rôles. Je vais tenter de revenir sur mon roman mais j'ai un gros coup de barre :/

2545 mots. Chapitre 1 terminé, il ne reste plus qu'à le corriger maintenant.

624, je viens de finir un gros pavé. Je pars sur un nouveau paragraphe après une petite caresse à mon chat ^^ (paye ta pause minable juste pour faire une pause)

3005 ! Pause gâteau !

514 mots, entrecoupés par de nombreuses pauses. Maintenant, je fais le sypnopsis et mon plan. Ça m'aidera à m'avancer !

931 de purs délires ce soir    Ce nouveau chapitre "DELIRIUM" de Las Vegas Legend va entrer dans la légende  

Citation :

Il ne restait plus qu'la rouge ! J'm'étais trompé ! Diable ! Risquais-je d'avoir d'irrémédiables séquelles si j'ingurgitais ce cachet. Peut-être, mais... Peut-être pas. Je l'avalais donc. J'étais sous leurs emprises. Le ciel se déformait, les étoiles filaient à toutes allures. Ces trois petites pastilles étaient fortes puissantes. Tout tournait, et en même temps... Rien ne bougeait. Je priais dieu, celui auquel j'ne croyais pas, d'arrêter ce bus. Nous allions droit vers le mur, le chauffeur semblait fou, peut-être était-il même sou. Arrête-toi donc l'ami ! lui criais-je. Il ne voulait pas nous déposer, heureusement l'arbitre entra pour calmer les hostilités. Je ne compris pas pourquoi il m'envoya sur la touche au milieu de Diana Ross et Lionel Riche. Chanter devant ce public semblait aisé, je prenais donc le vase en faïence mexicaine et entonnais The Star-Spangled Banner. Les fans étaient là, le feu chauffait, je ne pouvais pas laisser les chamallows brûler. Il fallait s'engouffrer dans l'incendie et risquer sa vie. Tant pis pour ma JCPenney, la dame du pressing serait ravît. Le chef d'escadrille me prêta son casque. J'étais le premier sur la liste. J'entrais dans la maison, c'était une fête surprise. C'n'était pourtant pas mon anniversaire. Le gâteau arriva, belle pièce montée de trois mètres de haut. Deux mariés s'y trouvaient au-dessus. Un nain, probablement trisomique, tournait autour. Diable ! Dans quel monde étais-je. Était-ce la drogue ou bien la réalité ? Non... Non. Rien de tout cela n'existe, mon esprit se joue de moi ! Mais alors... Comment expliquer cette gogo sur la table de mon salon. Je ne lui avais jamais dit mon adresse. Et ce coyote bleu, que fait-il là ? J'ignorais que la loi autorisée l'exercice de la taxidermie aux blondes, encore plus quand elles sont des hommes. Fallait-il partir. J'décidais d'être rationnel, tout ceci n'était que de simples images générées par l'interconnexion de neurones. Si j'fermais les yeux, tout cesserait. Je prenais donc le parti de lutter... Lutter contre cette folie. Mais c'était impossible. Quelle diablerie de drogue, je n'étais plus maître de moi. Je compris aussi que c'était un des mélanges de Crappy le Doc. Je descendais la rivière Amazone à la recherche d'or. Mon treillis se gorgeait d'eau. La pluie battait la surface du fleuve. Il faisait froid, mais qu'importe, nous devions récupérer cette fille, le président nous en avait donné l'ordre. La mission paraissait compromise, les illuminatis nous suivais, mais, qu'importe ! Ces p'tits indiens avaient beau être de grands malins, mais... Qu'importe ! N'avais-je pas un tic avec ce... Qu'importe ? Qu'importe, à l'abordage cria un moussaillon. La lutte semblait inévitable. La multitude de cannibales en pantalons d’ouvriers amérindiens nous surmenaient. Il fallait s’échapper, tant pis pour les blessés, le maréchal vaudou les rapatrierait. Mais comment démarrer cet avion, il n’y avait même pas d’clefs ! « Mayday ! Mayday ! Les moteurs prennent feux, je répète les moteurs prennent feus ! » Nous allions droit vers un crash, le gouvernement ne nous retrouverais jamais, nous devions partir.