([Espaces Comprises] n'est pas un éditeur. ;-))

Julian_Moutanga a écrit:

... Je viens d'imaginer une histoire d'un patron d'assurance devenu pauvre, pour avoir assumer une centrale nucléaire...

 
Euh, j'ai pas réagi dans un premier temps, mais c'est de la science-fiction : aucune assurance n'accepte d'assurer à elle seule une centrale nucléaire... Trop risqué, l'impact d'une catastrophe n'est pas quantifiable (on le voit bien avec Fukushima...).
 
L'assurance du risque nucléaire fonctionne donc dans un système dit de "pool" d'assurance.
 
http://www.newsassurancespro.com/artdossiers/lassurance-du-risque-nucleaire-en-france/0169183970

Certains États assurent les centrales, cas de la France.Certainement dû aux risques qu'ils le font en Pool aussi, je n'aime pas trop la science fiction si ce n'est de l'anticipation, sauf si je mise pour Thriller science fiction assez réaliste. Merci Faust, je vais tenir compte du Pool d'assurance.

Espaces comprises n'est pas un éditeur numérique?

Julian_Moutanga a écrit:

Oui, c'est vrai un recueil de nouvelle qui a le même personnage peut facilement devenir un roman et certains écrivains procède ainsi pour écrire des romans.

Shub ! Fais un schéma et termine le roman, surtout si tu fais du Thriller, il faut nager entre 60.OOO et 100.OOO mots...Je compte sur toi.

C'est pas gagné mais je te remercie  de l'encouragement !
Des fois, il faut laisser dormir quelque temps, lire d'autres choses sans compter, dans mon cas les polars et tout ce qui a rapport avec ce qu'on écrit et puis des fois l'idée jaillit ... Vous connaissez ce phénomène vous qui écrivez, l'impression d'être en panne et tout à coup à un moment où on s'y attend pas, une idée ?
Ça peut être un mot, une phrase voire une idée de développement ou un autre personnage à introduire.
Ce qui est génial c'est que ça peut arriver n'importe quand, devant la télé, dans le métro, en se baladant dans la rue... J'aime ces moments-là !

Julian_Moutanga a écrit:

Espaces comprises n'est pas un éditeur numérique?

Il suffit d'un clic pour savoir que non. ;-)

Shub a écrit:

Julian_Moutanga a écrit:

Oui, c'est vrai un recueil de nouvelle qui a le même personnage peut facilement devenir un roman et certains écrivains procède ainsi pour écrire des romans.

Shub ! Fais un schéma et termine le roman, surtout si tu fais du Thriller, il faut nager entre 60.OOO et 100.OOO mots...Je compte sur toi.

C'est pas gagné mais je te remercie  de l'encouragement !
Des fois, il faut laisser dormir quelque temps, lire d'autres choses sans compter, dans mon cas les polars et tout ce qui a rapport avec ce qu'on écrit et puis des fois l'idée jaillit ... Vous connaissez ce phénomène vous qui écrivez, l'impression d'être en panne et tout à coup à un moment où on s'y attend pas, une idée ?
Ça peut être un mot, une phrase voire une idée de développement ou un autre personnage à introduire.
Ce qui est génial c'est que ça peut arriver n'importe quand, devant la télé, dans le métro, en se baladant dans la rue... J'aime ces moments-là !

Je te conseille de prendre un temps comme je fais actuellement, il faut bien, mais je viens d'avoir une idée. Je sais pas si je dois l'introduire maintenant, je vais d'abord noter et approfondir mon idée,pis on verra. Bonne chance à toi, Shub !


Ok, Jo Ann V.

Un éditeur m'a écrit ceci:

Bonjour Mr ... ,
Les Editions .... fonctionnent au coup de coeur donc nous n'avons pas de critères précis, mis à part une mise en page agréable à lire et une bonne orthographe. Nous refusons les essais, poésies et pièces de théâtre car ces genres ne font pas partie de notre ligne éditoriale, mais le "polar fantastique" y entre parfaitement !
Si vous séduisez nos lecteurs, puis les directrices, nous vous proposerons évidemment un contrat. Les publications dépendant de nos moyens financiers, nous ne pouvons prévoir à l'avance si celles-ci se feront en numérique et en papier ou uniquement en numérique, mais en théorie nous proposons les deux.
J'espère avoir répondu à vos questions.
A bientôt !

J'avoue que je suis tenté de leur envoyer mais ne connaissant pas les normes et lignes éditoriales je sais pas quoi faire. Peut-être patienter en attendant de retrouver un second souffle qui me permettrait d'atteindre la barre fatidique des 30.000 mots pour mon roman alors que j'en suis à environ 25.000 mots.
J'ai un peu peur de brûler mes vaisseaux en me disant que peut-être avec un peu plus de temps je tiendrais éventuellement un roman présentable à des éditions plus ... hmmm... connues ! Pourquoi pas ? Ou alors l'enregistrer sous sa version actuelle (qui pour moi est achevée mais peut-être augmentée)  à un organisme genre SGDL pour les droits d'auteur et leur envoyer pour voir ce qu'ils disent et éventuellement (!) proposent !!

Comme on dit en portugais, mieux vaut un oiseau dans la main que deux en liberté...
Soumets toujours, tu n'as rien à perdre. Et rien ne garantit qu'un « connu » te prendra, même si tu augmenteras ton texte pour te plier aux exigences éditoriales...

Oui en effet, je comprends !
L'avantage des petites maisons éditoriales est qu'elles prennent des risques en publiant des inconnus (es) mais l'inconvénient est qu'elles peuvent disparaitre d'une année sur l'autre. En général leur ligne éditoriale s'établit sur des textes d'inconnus avec des exigences, naturellement comme celle de ne prendre ni poésie ni théâtre et de demander une orthographe parfaite, au moins correcte.
En terme de stratégie éditoriale, il peut se produire un coup de chance pour ces maisons, qui publiant un inconnu voit celui-ci avoir un succès et du coup, cette maison peut prendre son essor ! C'est déjà arrivé, notamment dans l'histoire avec Jules Verne qui a vu ses manuscrits refusés partout jusqu'au moment où un imprimeur, Hetzel, l'a accepté.

Cette maison que j'ai contactée et qui m'a répondu s'appelle les "éditions Calepin".  Jamais entendu parler mais je vais me renseigner. Sans doute à tenter en effet pour voir au moins ce qu'ils disent !
De toute façon pour répondre à ce que tu dis, il n'y a absolument aucune garantie qu'un éditeur connu ou moins connu ne prenne mon texte, ça j'en suis convaincu !

Oui, des petites maisons ferment, mais elles ne ferment pas toutes. Il y a des inconvénients partout. Pour mes textes parus et à paraître, j'ai fait le choix des petites maisons (soumissions uniques et à aucune « grande ») et si je pouvais revenir en arrière, je referais les mêmes choix.

Calepin, ça va.

Je pense que la forme (nombre de page, police, manière de traiter les chapitres, manière de commencer et finir) doit être au service du contenu.
Elle ne doit, pour moi, pas dépendre de quelle longueur on veut donner à son histoire.
Si ton histoire est parfaitement menée, bon rythme, qu'elle commence et termine parfaitement, qu'elle se suffit à elle même, alors, pour moi, elle est terminée.

Renseignements pris, cette maison "calepin " a seulement deux titres format papier dans son stock mais au niveau distribution zéro.
C'est en tout cas ce que dit mon libraire qui lui, a un fichier professionnel. Hé oui, l'inconvénient de ces petites maisons d'édition c'est la distribution. Les gens ne peuvent se procurer votre livre que de bouche à oreille. Bon c'est déjà ça me direz-vous ? Certes ... mais je crois qu'il vaut mieux savoir à qui on s'adresse car ces renseignements sus-cités ne figurent pas sur Internet et seuls les libraires sont en mesure de les posséder à cause de leur fichier professionnel.
Donc se faire éditer et à n'importe quel prix (ou coût) ? Le débat est ouvert ...

On ne devrait pas se faire éditer à n'importe quel prix (surtout pas !).

Pourquoi ?

SDCX a écrit:

Pourquoi ?

Bonne et très bonne question ...
Je pense qu'il y a des gens qui veulent se faire éditer, quelqu'en soient les conditions et loin de moi de leur faire  un quelconque reproche ...
Ceci dit, il faut savoir que même dans des petites maisons d'édition il y a un contrat. Et si la maison capote, quel est le statut de l'écrivain qui a déposé des droits d'auteur, signé un contrat avec une maison qui n'existe plus ou qui ne distribue pas bien ? Peut-il chercher ailleurs ?
J'y connais rien, j'avoue ... mais dans  ce dernier cas, je crois qu'il vaut mieux se faire éditer à compte d'auteur comme ça on ne s'embarrasse pas des contrats, des clauses qui stipulent que ... Je suis actuellement en démêlé avec un prestataire de voyage bien connu dont je tairai le nom, et la première impression c'est que le juridique c'est un peu la galère ! Déjà ça signifie des délais terribles et il faut se prendre son mal en patience dans des situations qui sont un peu conflictuelles, où on est certain (c'est mon cas) d'être dans son bon droit, d'avoir une réclamation légitime etc.
Donc quant à moi, je me dis que si par chance (ou miracle !) un éditeur accepte de me publier, je préfère qu'il soit un peu connu sur la place de Paris.