Nombre de messages : 752 Âge : 93 Localisation : Perpète-les-Alouettes Date d'inscription : 28/10/2016 | Grise Mine / Blanchisseur de campagnes Mer 24 Mai 2017 - 21:05 | |
| Il y a une phrase qui m'est restée en tête, mais elle ne vient pas d'un livre d'un auteur reconnu. C'était vers 2008, l'époque des blogs skyrock, écriture rose bonbon sur fond noir. Une fille de ma classe avait écrit sur son blog "la mélancolie est le bonheur des gens tristes". C'était peut-être tiré de son propre cru, je ne sais pas, et le contexte veut que ce n'était a priori pas très intello. Mais je l'ai retenue depuis tout ce temps, va savoir pourquoi ! |
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Nombre de messages : 32 Âge : 21 Localisation : Europe Pensée du jour : “Dreams are true while they last, and do we not live in dreams?” ― Alfred Tennyson Date d'inscription : 03/06/2017 | Pulvis / Petit chose Dim 4 Juin 2017 - 16:17 | |
| "All art is quite useless" Oscar Wilde |
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Nombre de messages : 30 Âge : 26 Date d'inscription : 12/07/2017 | Hwanghon / Petit chose Mer 12 Juil 2017 - 20:35 | |
| " Si je ne vaut pas mieux, au moins je suis autre " - Rousseau, Les Confessions. Illustre plutôt bien, je trouve, la lutte de celui qui veut se trouver unique à n'importe quel prix, parce que c'est un moyen logique de s'estimer soi-même. |
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Nombre de messages : 745 Âge : 34 Localisation : Gard Date d'inscription : 25/11/2010 | Matrix / Blanchisseur de campagnes Sam 15 Juil 2017 - 3:26 | |
| - Albert Einstein a écrit:
- Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.
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Nombre de messages : 2944 Âge : 119 Localisation : À l'Ouest mais sans rien de nouveau Pensée du jour : Aller cueillir les escargots nu sur les baobabs Date d'inscription : 12/09/2013 | Shub / Roberto Bel-Agneau Sam 15 Juil 2017 - 11:13 | |
| "Je n'ai rien à dire et c'est ce que je dis“ (JohnCage) |
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Nombre de messages : 9 Âge : 36 Localisation : Belgique Date d'inscription : 25/06/2017 | MorganeTryde / Magicien d'Oz Mer 19 Juil 2017 - 22:41 | |
| Pour ma part, je choisis une citation trouvée dans la saga L'Epée de vérité. - Terry Goodkind a écrit:
- Le mal ne tente pas de nous séduire en nous révélant l'atroce réalité de ses plans monstrueux. Au contraire, il vient à nous drapé des robes diaphanes de la vertu et nous murmure à l'oreille des mensonges enchanteurs qui visent à nous entraîner au plus profond du lit obscur de nos tombes éternelles.
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Nombre de messages : 71 Âge : 40 Localisation : Paris Date d'inscription : 14/03/2016 | Vallome / Clochard céleste Dim 13 Aoû 2017 - 16:55 | |
| "Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n'en as qu'une" Titre d'un roman de Raphaëlle Giordano sur lequel je suis tombé il y a quinze jours. Le contenu ne m'a pas trop emballé mais la phrase m'a interpellé car elle correspond un peu à un sentiment que j'ai commencé à ressentir il y a quelques années |
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Nombre de messages : 70 Âge : 33 Localisation : Lyon Date d'inscription : 04/08/2017 | Julien.diet / Clochard céleste Jeu 31 Aoû 2017 - 9:57 | |
| Mais l'homme qui revient après avoir franchi la porte dans le mur n'est jamais tout a fait le même que celui à y être entré. Il sera plus sage mais moins prétentieux, plus heureux mais moins satisfait de lui, plus humble en reconnaissant son ignorance et pourtant il sera mieux équipé pour comprendre les rapports entre les choses. Aldous Huxley : "Les portes de la perception"
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Nombre de messages : 745 Âge : 34 Localisation : Gard Date d'inscription : 25/11/2010 | Matrix / Blanchisseur de campagnes Mar 5 Sep 2017 - 0:07 | |
| - MorganeTryde a écrit:
- Pour ma part, je choisis une citation trouvée dans la saga L'Epée de vérité.
- Terry Goodkind a écrit:
- Le mal ne tente pas de nous séduire en nous révélant l'atroce réalité de ses plans monstrueux. Au contraire, il vient à nous drapé des robes diaphanes de la vertu et nous murmure à l'oreille des mensonges enchanteurs qui visent à nous entraîner au plus profond du lit obscur de nos tombes éternelles.
Quel tome?! |
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Nombre de messages : 11 Âge : 22 Date d'inscription : 02/09/2017 | William Oemain / Homme invisible Jeu 21 Sep 2017 - 18:50 | |
| Pour ma part, c'est une phrase qui est cité dans Coraline de Neil Gaiman : "Si les contes de fées sont plus vrais que vrais, ce n'est pas parce qu'ils disent que les dragons existent, mais parce qu'ils disent que les dragons peuvent être vaincus." G. K. Chesterton |
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| Invité / Invité Ven 22 Sep 2017 - 8:46 | |
| “Le monde est aveugle. Rares sont ceux qui voient.” Boudha |
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| Invité / Invité Dim 22 Oct 2017 - 17:40 | |
| "On ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux." Saint-Exupéry.
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Nombre de messages : 137 Âge : 30 Localisation : Sherbrooke Pensée du jour : World is mine Date d'inscription : 10/10/2017 | Hiroko / Barge de Radetzky Mar 24 Oct 2017 - 10:20 | |
| Dans le film et le script (sous forme de livre) de Seul contre tous : - Gaspar Noé a écrit:
- — Et ça me fera bien plaisir ! Et puis le gosse, je peux l'avoir toute seule !
— T'en feras bien un petit pédé ! — Pas plus pédé que son père ! Aïe. |
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| Invité / Invité Mar 24 Oct 2017 - 13:23 | |
| Deux passages puissants Je ne vois pas l’interêt de se limiter à une phrase : Dans SCUM Manifesto - Valérie Solanas - Spoiler:
LA SEXUALITÉ (...) Dans notre société, les femmes charmantes ont le feu au cul. Mais comme elles sont atrocement charmantes, elles ne s'abaissent pas à baiser, tu parles, elles font l'amour, elles communiquent avec leur corps, elles établissent un contact sensuel. Les plus littéraires valsent au rythme d'Éros et s'enfilent l'Univers entier ; les mystiques se fondent dans le Principe érotique et fusionnent avec le Cosmos, et celles qui marchent à l'acide Vibrent. Les femmes qui sont les moins compromises dans la culture mâle, celles qui ne sont pas charmantes, ces esprits simples et grossiers pour qui baiser n'est que baiser, trop infantiles pour ce monde adulte de grands ensem- bles, d'intérêts à 14%, de casseroles et de merde de bébé, trop arrogantes pour respecter Papa, les « Grands » ou la profonde sagesse des Anciens, qui ne font confiance qu'à leurs instincts les plus bas, pour qui la seule Culture, c'est le déchaînement des femmes, dont le seul divertissement est de rôder à la recherche d'émotions et d'événements excitants, qui « font des scènes » et offrent le spectacle répugnant, vil, gênant, de salopes acharnées contre ceux qui leur agacent les dents, qui n'hésiteraient pas à planter un couteau dans le ventre d'un type ou à lui enfoncer un pic à glace dans le cul au premier coup d'œil si elles pensaient pouvoir s'en tirer, bref celles qui, selon les critères de notre « culture », sont la lie de la terre, les SCUM(1)... sont des filles à l'aise, plutôt cérébrales et tout près d'être asexuées. Débarrassées des convenances, de la gentillesse, de la discrétion, de l'opinion publique, de la « morale », du « respect » des trous-du-cul, toujours surchauffées, pétant le feu, sales et abjectes, les SCUM déferlent... elles ont tout vu – tout le machin, baise et compagnie, suce-bite et suce-con – elles ont été à voile et à vapeur, elles ont fait tous les ports et se sont fait tous les porcs... Il faut avoir pas mal baisé pour devenir anti-baise, et les SCUM sont passées par tout ça, maintenant elles veulent du nouveau ; elles veulent sortir de la fange, bouger, décoller, sombrer dans les hauteurs. Mais l'heure de SCUM n'est pas encore arrivée. La société nous confine encore dans ses égouts. Mais si rien ne change et si la Bombe ne tombe pas sur tout ça, notre société crèvera d'elle-même.
Christiane Rochefort : - Spoiler:
DÉFINITION DE L’OPPRIMÉ
Il y a un moment où il faut sortir les couteaux. C’est juste un fait. Purement technique. Il est hors de question que l’oppresseur aille comprendre de lui-même qu’il opprime, puisque ça ne le fait pas souffrir : mettez-vous à sa place. Ce n’est pas son chemin. Le lui expliquer est sans utilité. L’oppresseur n’entend pas ce que dit son opprimé comme un langage mais comme un bruit. C’est dans la définition de l’oppression. En particulier les « plaintes » de l’opprimé sont sans effet, car naturelles. Pour l’oppresseur il n’y a pas oppression, forcément, mais un fait de nature. Aussi est-il vain de se poser comme victime : on ne fait par là qu’entériner un fait de nature, que s’inscrire dans le décor planté par l’oppresseur. L’oppresseur qui fait le louable effort d’écouter (libéral intellectuel) n’entend pas mieux. Car même lorsque les mots sont communs, les connotations sont radicalement différents. C’est ainsi que de nombreux mots ont pour l’oppresseur une connotation-jouissance, et pour l’opprimé une connotation-souffrance. Ou : divertissement-corvée. Ou : loisir- travail. Etc. Allez donc causer sur ces bases. C’est ainsi que la générale réaction de l’oppresseur qui a « écouté » son opprimé est, en gros : mais de quoi diable se plaint- il ? Tout ça, c’est épatant. Au niveau de l’explication, c’est tout à fait sans espoir. Quand l’opprimé se rend compte de ça, il sort les couteaux. Là on comprend qu’il y a quelque chose qui ne va pas. Pas avant. Le couteau est la seule façon de se définir comme opprimé. La seule communication audible. Peu importent le caractère, la personnalité, les mobiles actuels de l’opprimé. C’est le premier pas réel hors du cercle. C’est nécessaire.
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Nombre de messages : 4577 Âge : 33 Pensée du jour : A la recherche du temps à perdre Date d'inscription : 24/04/2008 | Volte / JE's Official GO Mer 8 Nov 2017 - 11:44 | |
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| La phrase qui vous a marqué (une et une seule) | |
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