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| | [Marathon du 7-8 mai] Commentaires | |
| | Nombre de messages : 5683 Âge : 41 Localisation : En confinement dans moi-même. Pensée du jour : La solitude est la patrie des forts. Date d'inscription : 23/04/2010 | Orcal / Déesse du foyer à la retraite Mer 1 Mai 2013 - 21:08 | |
| Postez ici vos commentaires sur les extraits des textes écrits pendant ce Marathon et répondez aux commentaires reçus sur les vôtres ! En postant des extraits, vous vous engagez à commenter les autres.Participants : Elisabeth yvesfrançois ecriture kalam Penseur darty Pantheon sayanna TancrèdeD Nazek Downdawn aurely Marionde
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| | Nombre de messages : 1840 Âge : 28 Pensée du jour : Le meilleur moyen de se délivrer d'une tentation est d'y céder Date d'inscription : 18/05/2007 | ecriture / Journal du posteur Sam 11 Mai 2013 - 22:22 | |
| Je m'excuse de n'avoir pas posté de commentaire plus tôt, mais le voici enfin ! Pour le texte de TancrèdeD : c'est dur de se rendre compte de la qualité du texte sur un si petit extrait, évidemment, d'autant plus que ton style est particulier dans le sens ou c'est principalement de la narration sans qu'on ne connaissance vraiment, de façon précise, les sentiments du narrateur. Mais c'est justement ce style qui, je pense, sera essentiel pour le déroulement de l'histoire (enfin peut-être que je me trompe, je ne connais que cet extrait que tu as posté), je le trouve donc très intéressant et il pourra être exploité de façon originale. La seule chose que je pourrais éventuellement te reprocher, ce sont les nombreux participes présents que tu utilises, ça m'a parfois gênée parce que ça rend le style plus banal, les structures de phrases semblent être les mêmes et on pourrait se lasser à cause de ça, surtout qu'ils sont toujours placés au même endroit et jamais avant le sujet. - Spoiler:
La tête appuyée contre la vitre, j’essaye de m’enfoncer un peu plus dans la lecture de mon livre. La sublime horreur que dégage Maldoror essaye d’éclipser dans mon esprit l’odeur infâme qui assaille mes narines. Un mélange de sueur, de frites de mauvaise qualité et de vinasse douteuse. Mon bedonnant voisin empiète sur mon siège et s’étale dans une conversation bruyante et inintéressante, pendu à son téléphone.
Je haïs les transports en commun.
Descendant à mon arrêt, je m’empresse d’allumer une cigarette, encore debout au milieu du quai. La fumée embrase ma gorge, avant de filer lentement par mes narines. Les gens me bousculent, une femme essayant désespérément de faire rentrer une poussette dans le tramway bondé me fusille du regard. Visiblement, je la gène. Je la regarde avec indifférence avant de reprendre ma route.
Les clés tournent dans ma serrure, la porte s’ouvre, révélant le spectacle de désolation se tenant dans mon salon. Les vestiges de la veille. Une odeur de cigarette, d’herbe et de fluides corporels. Quelques fringues, encore éparpillées, un cendrier débordant, une bouteille de vin vide renversée. Son étiquette indique fièrement son origine.
« Mombazillac. 1990 »
Je ne peux esquiver le bref sourire qui étire mes lèvres. Le vin était un liquoreux correct. Je n’ai fais [fait] que recoller pour la huitième fois la même étiquette. Et elle a marché. Ce n’était pas exceptionnel, mais des plus plaisant. Elle est partie ce matin. Je lui ai promis de la rappeler. Je ne le ferais [ferai] probablement pas. Non. Je ne le ferais pas.
Je m’enfonce sous la douche, laissant l’eau brulante me purifier de la crasse citadine, laissant mes pensées morne s’écouler à travers le siphon. Elles reviendront bien vite. Le temps n’a pas de signification lorsque je suis là, mon esprit se perd, les idées s’accumulent. Tout comme les dépenses sur ma facture d’eau…
Le repas est vite préparé. Des nouilles chinoises, chauffant au micro-onde. Normalement, je suis un fanatique de la cuisine. C’est une chose sacrée pour moi. Mais pour l’heure, je n’ai pas la foi. Je préfère manger mon bol de nouille de mauvaise qualité, en tailleur sur mon canapé, en regardant une chaine d’information quelconque. Un attentat. Interpellations entre députés à l’assemblée nationale. La tradition du tressage de panier en osier au fond de la campagne. Pathétique.
Transport en commun. Encore. Cette fois ci, j’ai réussi à n’avoir personne à coté de moi, et je peux lire tranquillement, consacrer tout mon esprit à l’ouvrage. La scène est horrible. Textuellement, l’auteur ne s’étend par sur cette vision impure. Je vais en faire de même. En face de moi, une femme, saoule, essaye de me demander ce que je lis. Je lui explique que c’est vaguement de la poésie. En prose. Non, ce n’est pas romantique. C’est sombre, c’est malsain, c’est glauque. C’est beau. Elle ne comprend pas. Peu importe. Pour le texte de Marionde : pas mal de répétitions du mot doigt mais c'est peut-être fait exprès, je le signale quand même au cas où. Quant à ton texte j'ai l'impression qu'il est pas mal mais que tu pourrais décrire davantage ce qu'il se passe au début, cette histoire de mur qui s'ouvre, pour que ce soit plus clair et que l'effet rendu soit plus impressionnant. On a l'impression que tu visualises la scène dans ta tête, de façon très précise, mais que tu eu ensuite un peu de mal à la retranscrire sur le papier. Avec un peu plus de détails, cette scène pourrait paraître plus vraie. C'est la remarque que je pourrais te faire pour le reste de ton texte également. Tu as voulu mettre de la description, mais en ne nous livrant que quelques aspects de ce que tu décris parce que tu n'as peut-être pas une vision très précise de ce dont tu parles - je me trompe peut-être, mais j'ai ce problème dans la description et j'ai l'impression de le retrouver un peu dans cet extrait. Je prends tout bêtement cet extrait vers la fin de ton texte " une petite boîte sans couvercle pleine de liquide" : on a un peu du mal à se représenter cet objet, qui n'a pas de couvercle - qui est rempli d'un liquide qui nous est inconnu - cette boîte jouera-t-elle un rôle important ? Si oui il faudrait plus la décrire, sinon on se demande pourquoi tu en parles. Ce que je veux dire, c'est que j'ai l'impression que tu maîtrise plus la narration mais que tu as l'impression que ton texte va trop vite, donc tu mets de la description pour compenser et l'équilibrer un peu mais du coup, c'est parfois fait maladroitement. J'ajouterai que tu devrais davantage insister sur les sentiments qu'éprouve Anna, tu ne parles que très peu du fait qu'elle est effrayée, mais je pense que tu peux développer encore un peu ce côté là. Ce n'est qu'un conseil bien sûr, je ne voudrais pas dénaturer ton texte, c'est toi qui choisit ton style. Sinon cet extrait ne révèle pas grand-chose de l'histoire mais il est quand même intriguant et donne envie de lire la suite, une fois que tu auras revu quelques petits points de "technique" disons, l'effet rendu pourra être vraiment crédible et ton texte pourra être encore plus captivant. Il ne manque plus qu'un petit quelque chose, je pense, pour que le lecteur parvienne vraiment à visualiser la scène. Bon courage ! - Spoiler:
Insensiblement, un changement s’opère au bout des doigts d'Anna. Elle les sent s'échauffer, et se coller à la pierre. Par moment, elle a même l'impression que ses doigts pénètrent le mur comme dans de la pâte à modeler. Ce n'est pas désagréable mais le phénomène devient un peu pesant. Anna a la sensation inquiétante désormais que ses doigts, et sa main, sont aspirés par le mur.
Elle ouvre finalement les yeux, persuadée que c'est une illusion kinesthésique, mais elle hurle de frayeur et tombe en arrière, s’asseyant lourdement dans la terre battue.
A l'emplacement de la curieuse lumière, là où ses doigts étaient posés, une étrange vision mange le mur et s'étend comme une lèpre, s'agrandissant, se propageant. Et devant Anna médusée, figée de peur et de surprise, le mur s'ouvre désormais sur une scène d'horreur.
Dans une lumière orangée, des cadavres de femmes ensanglantés, dépecés, martyrisés, sont couchées [couchés] sur des tables d'inox superposées. Les cheveux sont empesés de sang, collés en lourdes mèches qui dégringolent ici ou là des couchettes. Anna contemple avec une frayeur glacée la dentition obscène que la figure d'une des femmes présente. La tête a glissé de la table d'inox, elle est renversée vers Anna. Les lèvres ont été coupées, et les dents, rangées comme à la parade, d'une blancheur presque surnaturelle, à peine tachées ici ou là (le "ici ou là" n'est pas une expression qu'on retrouve couramment dans un texte et le retrouver deux fois dans le même paragraphe peut paraître un peu lourd peut-être)d'un peu d'hémoglobine, sont fichées sur les mâchoires putrides, dont la muqueuse se détachent par endroit.
S’arrachant au morbide spectacle, Anna recule aussi vite qu'elle le peut et saute littéralement dehors. Elle se réfugie derrière un des battants de la porte et ose à nouveau un regard vers le fond de la pièce : le mur s'est refermé, ne subsiste que la curieuse petite lumière.
Anna n'a alors qu'une hâte : partir, retrouver son appartement. Elle referme les portes du garage, se précipite vers la rue, fait faire trois tour à la chaîne et, les mains tremblantes, tente de refermer le cadenas. Mais c'est un modèle spécial, apparemment, qui ne se clipse pas tout seul. Anna se sent à bout (cela est un peu étrange parce que cette expression fait mois littéraire que le reste de ton texte, se "sentir à bout" selon moi c'est plus une expression qui s'utilise à l'oral), la peur qui desserrait un peu son étau à mesure qu'elle partait, serre à nouveau sa gorge. Elle ne veut laisser aucune trace de son passage ici, elle doit refermer ce cadenas. Elle fouille ses poches, trouve le trousseau de clés, les laisse tomber. « Merde ! » murmure Anna. Elle se penche pour ne voir qu'une petite boite sans couvercle pleine de liquide, mais pas de clés. « Putain de merde ! » Prise d'un doute, elle renverse du bout du pied la petite boite. Les clés sont là ! Au milieu de la flaque qui s'est déversée de la boîte. Elle les essuie rapidement avec un bout de son blouson de jean, ferme le cadenas et file, le tête pleine de mystères.
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| | | Invité / Invité Mar 14 Mai 2013 - 9:29 | |
| J'ai vu qu'il n'y avait quasiment pas de commentaires donc... TancredeDEn vrac : - Citation :
- La sublime horreur que dégage Maldoror essaye d’éclipser dans mon esprit l’odeur infâme qui assaille mes narines.
La sublime horreur, bof. - Citation :
- . Visiblement, je la gène.
Gêne - Citation :
- Je n’ai fais que recoller pour la huitième fois la même étiquette.
Je n’ai fait - Citation :
Interpellations entre députés à l’assemblée nationale. Interpellations, bof.(c'est surtout dans le sens ou ça sonne étrange) - Citation :
Cette fois ci, j’ai réussi à n’avoir personne à coté de moi, et je peux lire tranquillement, consacrer tout mon esprit à l’ouvrage. A côté ->Globalement j’ai trouvé ça fluide assez bien écrit, mais un peu mou. C’est très descriptif, mais un descriptif qui manque de rythme, trop linéaire dans ta façon d’enchaîner les descriptions et les actions du narrateur. Après difficile de juger seulement sur un extrait, mais si le ton est toujours le même, perso je m’ennuierais. En l’état je ne vois pas trop où tu veux en venir, un peu dommage. MariondeEn vrac : Insensiblement, un changement s’opère au bout des doigts d'Anna. Elle les sent s'échauffer, et se coller à la pierre. Par moment, elle a même l'impression que ses doigts pénètrent le mur comme dans de la pâte à modeler. Qu’ils ? (pour éviter la répétition) - Citation :
- Ce n'est pas désagréable mais le phénomène devient un peu pesant. Anna a la sensation inquiétante désormais que ses doigts, et sa main, sont aspirés par le mur.
Doigts x3 avec celui-ci - Citation :
- Elle ouvre finalement les yeux, persuadée que c'est une illusion kinesthésique, mais elle hurle de frayeur et tombe en arrière, s’asseyant lourdement dans la terre battue.
Un problème avec cette phrase, un peu bancale à mon impression, on peine à dégager le sens. Peut-être tout d’abord persuadée que c’est une…pour finir par hurler de frayeur (juste une idée, sinon c’est surtout le mais qui me dérange) - Citation :
- A l'emplacement de la curieuse lumière, là où ses doigts étaient posés, une étrange vision mange le mur et s'étend comme une lèpre, s'agrandissant, se propageant.
->à la pace serait peut-être moins lourd qu’à l’emplacement. - Citation :
- Dans une lumière orangée, des cadavres de femmes ensanglantés, dépecés, martyrisés, sont couchées sur des tables d'inox superposées.
->lumière x2 - Citation :
- Les cheveux sont empesés de sang, collés en lourdes mèches qui dégringolent ici ou là des couchettes.
Empesés sonne étrange ici, ici et là ? - Citation :
- Anna contemple avec une frayeur glacée la dentition obscène que la figure d'une des femmes présente. La tête a glissé de la table d'inox, elle est renversée vers Anna.
->beaucoup de Anna aussi . - Citation :
- Les lèvres ont été coupées, et les dents, rangées comme à la parade, d'une blancheur presque surnaturelle, à peine tachées ici ou là d'un peu d'hémoglobine, sont fichées sur les mâchoires putrides, dont la muqueuse se détachent par endroit.
->ici ou làx2 - Citation :
- S’arrachant au morbide spectacle, Anna recule aussi vite qu'elle le peut et saute littéralement dehors.
->littéralement un peu lourd. ->Répétition de cadenas dans la fin ->Une scène intrigante, un bon rythme vers la fin qui marque bien la panique. Mais sinon beaucoup de répétitions, notamment Anna qui devient un peu indigeste, et je trouve même que ça casse le rythme du développement. Parfois peut-être un ton un peu trop ampoulé, mais ça c’est vraiment subjectif. Je resterais sur l’impression de curiosité de l’étrangeté de la scène. Ecriture En vrac : - Citation :
- Nous étions allongés dans l'herbe, côte à côte, ou peut-être étions-nous adossés à un arbre, je ne sais plus, je ne sais pas, tout mon être était absorbé par le mouvement de ses lèvres et les sons qu'elles créaient, je m'imprégnais de ces mots et déjà mon esprit fuyait, des images apparaissaient devant mes yeux, aucune n'échappait à mon regard et, à mesure qu'il enchaînait ses phrases et racontait son histoire, les images s'animaient, elles devenaient chaque seconde plus belles et plus vraies, comme si chacune de mes visions faisait réellement partie de ce décor merveilleux.
A lire en apnée ? Un peu longue la phrase. Je ne sais plus/ je en sais pas : à mon sens, je ne sais pas, je ne sais plus, plutôt. Mais ça fait un peu tournure artifice (bien que je sois capable de l’employer aussi, je me rends compte) trop tentative d’effet visible. - Citation :
- J'avais fini par oublier le contenu même de ses paroles, et les flots de mots qui se déversaient dans ma conscience ne formaient plus qu'un rythme, une douce mélodie qui m'avait fait basculer dans un état second et qui venait d'ouvrir dans mon esprit cette porte immatérielle, barrière empêchant ma conscience de se mêler à mon inconscient.
Qui/qui et qui, et sinon encore une fois, tu enchaînes les phrases longues. Peut-être virer les « et » pour séparer les différentes idées. - Citation :
- Une main se baladait devant mes yeux, je crois même que l'autre, posée sur mon épaule, me secouait doucement, mais je ne pouvais en être certain, à ce moment précis je n'étais plus là devant lui, j'étais déjà bien loin.
Lui ? - Citation :
- Je regardais émerveillé l'herbe se transformer en petites gouttelettes bleues, ces petites gouttelettes s'assemblaient ensuite et grandissaient, et bientôt elles formèrent une immense étendue d'eau sur laquelle le bateau s'aventurait fièrement. Comme dans un rêve il semblait se déplacer seul, sans équipage pour le guider, avançant uniquement par la seule force des éléments. Une vague le poussait en avant et le vent l'aidait à ne pas s'essouffler, il s'éloignait, il revenait, il tournait autour de moi et rien ne venait freiner sa course. Mais déjà une secousse faisait basculer le bateau qui se retrouva bien vite sous les vagues. Il ne resta plus rien d'autre qu'un océan agité, et le soleil. Un soleil bleu, un soleil océan. Et de nouveau les secousses. Mon esprit tentait désespérément de s'accrocher à cette image et de ramener le bateau avalé par les vagues, mais cette vision s'obscurcissait, l'océan et le soleil bleu ne furent plus que des esquisses, les esquisses des ombres, les ombres un néant, le néant une tignasse blonde, des yeux bleus et un sourire étonné.
->sur ce paragraphe beaucoup de mots répétés, bateau, océan, soleil, ombres, ça devient un peu lassant du coup ->Globalement je n’ai pas grand-chose à dire sur le fond, puisque sur cet extrait difficile de comprendre de quoi il en retourne. |
| | Nombre de messages : 106 Âge : 56 Localisation : Paris Date d'inscription : 04/05/2013 | Marionde / Barge de Radetzky Mer 15 Mai 2013 - 13:01 | |
| C'est la première fois que je dois dire ce que je pense d'extraits sortis ainsi de leurs contextes, ce n'est pas facile du tout pour moi. J'ai l'impression qu'il me manque beaucoup d'éléments pour comprendre.
Je ne vais pas non plus faire un retour sur l’orthographe, ou les répétitions, d'autres l'ont fait, je ne ferais pas mieux.
Tancrède : Je n'ai pas bien compris pourquoi en si peu de temps le personnage reprend le métro, ou le tram. C'est surement lié au phénomène "extrait". Mais on le suit bien, en quelques phrases ou mots on visualise bien les lieux, les situations. On sent aussi un personnage en lutte avec ses contemporains : il déteste les gens du tram, arnaque ses invités sur la qualité du vin, etc... Il m'a semblé hautain et d'une complaisance déplaisante pour lui-même (il semble content de lui, de son "originalité", de se sentir plus cultivé que la dame, etc...). Un caractère se dessine au travers des actions, c'est bien mené. Le seul bémol peut-être c'est que le personnage me semble un peu trop caricatural.
Ecriture : rendre de façon convaincante, sans que cela soit téléphoné, le passage de la réalité au rêve (même éveillé) n'est pas facile. C'est tout l'enjeu de ton texte. On voit bien le passage progressif entre l'écoute active (le personnage voit les images en lien avec ce qu'il écoute) au rêve personnel, totalement déconnecté. La progression est bien menée je trouve. Le premier paragraphe, explicatif (je suis un ado qui, etc...) ne me semble peut-être pas nécessaire. A voir en fait selon le reste, ce qui vient avant et après l'extrait. Si le personnage est très imaginatif, on le voit dans ses actes, dans ses émotions, etc... Il est peut-être inutile d'expliquer. Je n'ai pas été convaincu par : "Une main se baladait devant mes yeux, je crois même que l'autre, posée sur mon épaule, me secouait doucement, mais je ne pouvais en être certain, à ce moment précis je n'étais plus là devant lui, j'étais déjà bien loin." On essaye de le réveiller ? Si vite ? Il vient à peine de "déconnecter". Je ne comprends pas bien ce qui se passe. Peut-être le sait-on plus tard. |
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