Bonjour !

Je partage ton point de vue et ton ressenti
Mais surtout, ne baisse pas les bras

J'ai envoyé mon ouvrage à une première liste de 16 éditeurs (les grandes et très grandes maisons). Que des refus. Mais chose positive, comme dans ton cas, ils ont répondu ! Ce qu'ils ne font pas toujours !
Regarde, j'ai perséveré, j'ai envoyé une dizaine de manuscrits supplémentaires, et je vais être publié !

Surtout, ne perd pas confiance en toi!

Courage !

Jordan

Merci beaucoup Manstein.
J'ai tellement l'impression que le monde des écrivains publiés est loin, loin mais loin… Un peu comme si, le jour où ils apprennent leur futur publication, ils sont envoyés quelque part, ailleurs, comme des hommes canon
Du coup c'est étrange de lire quelqu'un qui dit "je vais me faire publier !"
Je pense "wow"
Et d'ailleurs comment cela s'est passé ?

De rien

Tiens, pour suivre mon aventure
http://jeunesecrivains.superforum.fr/t29205-la-genese-de-mon-premier-ouvrage-editions-du-menhir

Mais la perseverance est une qualité OBLIGATOIRE pour les écrivains en herbe que nous sommes !

L'année dernière, une soixantaine de primo-auteurs (n'ayant jamais été publié) ont signé un contrat à compte d'éditions. Chaque maison d'édition reçoit entre 1000 et 1500 manuscrits (suivant les dires)

Je t'épargne les calculs, mais il faut tenir bon !

Courage !

Je me posais justement la question :

Il y a 6 ans (à 18 ans) j'avais envoyé un premier manuscrit à 5 maisons différentes, forcément j'étais plus jeune et pas du tout "expérimentée" (le suis-je plus aujourd'hui ?).
Je n'avais reçu aucune réponse, sauf une ; une lettre type.

Là en effet Robert Laffont et Mercure de France ont répondu (il ne manque plus que P.O.L).
R. Laffont était très lettre type, Mercure de France par contre a cité le nom de mon manuscrit "Nous avons pris en considération la lecture de votre manuscrit "…" mais…" et la lettre me semblait plus longue (avec l'emploi d'adjectif pour décrire le manuscrit).
(Je vis à demi chez mes parents, c'est chez eux que je fais parvenir mon courier, du coup c'est ma mère qui m'a lu les lettres par téléphone :s)
Je sais que certains parmi vous me disent que c'est plutôt positif de recevoir une réponse de refus, ajouté au fait que celle de Mercure était plus expansive… Dois-je vraiment prendre cela comme du positif, dans le sens "arf p-e que je suis moins nulle maintenant" ou du pur hasard ajouté à un coup de bol ?

Si jamais j'ai publié deux/trois poèmes ici

Re

Je suis au travail, excuse moi pour le délai de réponse !
Si tu reçois une lettre "type", sache qu'ils ont déjà pris le temps de feuilleter ton ouvrage. Donc point postif, même minim
Si tu reçois une lettre manuscrite et personnalisée (chose que j'ai reçu de chez Flammarion), sache que c'est juste en dessous une édition selon moi

Tu as attirer l'attention d'une maison d'édition, par la qualité de ton ouvrage. Mais celui ci se situe en dehors de la ligne d'édition, ou le moment n'est pas le bon (agenda booké, ou autre)

Prend chaque petite chose pour une avancée, même minime

Je ne suis pas très bon critique de poésie, mais dès que mon travail le permet, je regarde ton poste

Je comprends ton propos, Float, mais c'est faux : un lecteur qui prend la peine de donner son ressenti sur un texte qui sera malgré tout refusé est louable. C'est même sur la base de ce genre de réponse que se bâtit la volonté de se dépasser et d'obtenir le Graal.