[Semaine 62] Spécial Noël ! Constance du 24 au 30 décembre

22/08/2012

Citation :: 29/12/2012 :
CONSTANCE 1000
Texte : Revers périodiques
Notes : Bon bah tout d'un coup comme dirait l'autre ! C'est pas forcément de cette manière que je travaille le mieux mais je ne vais pas me plaindre. Je vais essayer de continuer un peu, voir ce que j'ai dans le ventre. Courage à tous !

31/07/2012

Citation :: 29/12/2012 :
CONSTANCE 5111/5000
Texte : Freddy le Zombie
Rythme: effréné pour terminer. Texte fini, mission accomplie.

12/05/2012

Citation :: Samedi 29 12/12
Constance 5927/5000
Rythme : Bah je fais tout et n'importe quoi, mais ça marche, hein, hein

Citation :: ARTICLE L132-2 DU CPI : "Ne constitue pas un contrat d'édition, au sens de l'article L. 132-1, le contrat dit à compte d'auteur."

[Semaine 62] Spécial Noël ! Constance du 24 au 30 décembre - Page 4 Capture_decran_2021-10-24_a_18.21.26

04/12/2011

Citation :: Semaine du 24/10/2012 :
CONSTANCE 3090/7000
Bilan : Avec un début enfin toute la semaine, je suis vraiment contente d'avoir écrit 3k. Je n'ai pas attention mon objectif, mais je suis super contente quand même.
Paresseeux

Dernière édition par flavie le Dim 30 Déc 2012 - 10:38, édité 1 fois

Citation :: Semaine du 24/10/2012
Constance 7086/5000
Bilan: Trop constante peut-être, jusqu'à l'overdose, du coup le point final n'est pas pour cette fois-ci mais je suis contente d'avoir gommé la majeur partie des incohérences.
Cela me fait Bizarre mais: CONSTANT

31/07/2012

Bravo Flavie pour ton effort à saluer. [Semaine 62] Spécial Noël ! Constance du 24 au 30 décembre - Page 4 Sourir10

Hel peut-être nous feras-tu lire quand même un petit extrait de ton texte.

05/09/2012

Citation :: Semaine du 24/10/2012 :
CONSTANCE 2031/2000

Bilan : Je me suis fixé mon objectif, j'ai pu voir que je n'ai guère le temps d'écrire plus de deux mille mots en une semaine. Par contre, je ne suis pas satisfait de moi vu que je n'ai pas terminé mon chapitre qui devrait a priori en avoir au moins quatre mille.

Constant !

Voici mon extrait:

Citation :: Reims septembre 367

L'évêque Donat admirait la grande bâtisse en pierres taillées, qui avait été construite en à peine une année. De la façade partait une longue nef et au bout une tour haute de quinze mètres dominant la ville et trois autres petites tours circulaires autour formaient une croix car il s'agissait d'une église, la première dans la belle cité de Reims. A l'intérieur les voûtes et les arcades donnaient une toute autre impression: les bras du transept avaient permis le percement de grandes fenêtres qui laissaient passer une lumière pratiquement magique sur l'autel. Donat était excité à l'idée de faire son premier sermon devant la foule des fidèles. Des bancs tous neufs étaient amenés par des esclaves pour que les familles chrétiennes les plus honorables de la ville fussent confortablement assises. A présent, devant les portes de l'église, s'étaient attroupés les citoyens qui attendaient avec impatience l'arrivée du consul, personnage considérable à qui la Gaule devait son salut.
Ce général avait battu les Barbares et l'empereur l'avait récompensé: le maître des milices Jovin, en dehors des campagnes militaires et de son récent séjour à Rome, habitait à Reims et voulait honorer sa ville d'un bâtiment à la mesure de son prestige.
Une troupe de cavaliers arriva par la grande rue, une dizaine de protectores revêtus d'armures et de casques étincelants précédaient une voiture couverte tirée par six chevaux blancs. Il en descendit un homme d'une cinquantaine d'années, aux cheveux courts et grisonnants, revêtu du paludamentum, un grand manteau de laine teinté de pourpre attaché sur le torse par une boucle en or. Il fut salué par la foule et les hommes les plus illustres vinrent à sa rencontre, les décurions de la cité, duumvirs en tête, le defensor plebis et l'évêque. Tous se penchèrent pour lui baiser la main. « Bienvenue Consul Jovin, la cité vous est éternellement reconnaissante pour cette magnifique église » déclara de façon obséquieuse le plus âgé des duumvirs. Une foule beaucoup plus grande de petites gens s'amassaient sur la place, tous voulaient voir le consul, le grand vainqueur des Alamans qu'ils admiraient comme s'il eut été l'empereur lui-même et il y eut une salve d'applaudissement et des hourras à son encontre. Un char tiré par des bœufs arriva près de l'entrée. Il transportait un objet très lourd.
- J'ai une surprise pour vous, dit le général, un objet que j'avais fait ramener de Rome, aujourd'hui je le place dans mon église.
- C'est trop d'honneur.
Le consul fut le premier à entrer dans l'église suivi par tous les hauts dignitaires et leurs serviteurs. Jovin s'assit à la place d'honneur sur le premier banc et une foule d'esclaves germains poussa un chariot sur lequel se dressait un grand sarcophage en pierre. Les esclaves placèrent avec beaucoup de précautions le monument tout au fond de l'église. Quand ils eurent fini leur dur labeur, ils se retirèrent et Jovin se leva afin d'aller présenter son cadeau. Donat s'approcha du sarcophage avec étonnement, il n'avait jamais vu quelque chose d'aussi beau: sur celui-ci étaient sculptés des personnages de taille humaine représentant une scène de chasse, la scène était si réaliste qu'on eut dit de véritables personnes statufiées pour l'éternité par la Gorgone et chose tout à fait étonnante, un cavalier qui combattait un lion avait le visage de Jovin.

[Semaine 62] Spécial Noël ! Constance du 24 au 30 décembre - Page 4 780px-10

Tombeau de Jovin

Index:

Spoiler:

Citation :: CONSTANCE: Noosphère, un billet par jour.

Même avec le manque de temps et un accès difficile à la toile, j'ai réussi!

Constant ! :bummies:

Rikomer, je n'ai pas vraiment de goût particulier pour les récits historiques alors je ne pense pas être en mesure de te donner un avis objectif sur ton extrait.
Apparement bien documenté, l'atmosphère et la scène me paraissent tout à fait crédibles, je verrais bien quelques modifs pour la fluidité, mais comme j'ai tendance à toujours en souligner un peu l'impression à la longue d'imposer ma façon de voir, donc je vais m'abstenir. Bravo pour l'objectif tenu.

J'avais zappé qu'on devait mettre un petit extrait. Voilà:

Citation :: Suzanne Moreau était une femme aussi frêle que chétive, une silhouette qu'elle tentait de noyer sous des jupes flottantes mal ajustées, à cela s'ajoutait des yeux fuyants qu'elle dissimulait sous un amas de mèches rebelles qu'elle n'avait jamais tenté de discipliner. Physiquement elle déclenchait une espèce d'indifférence, allant même jusqu'au mépris chez certains. Il faut dire qu'elle détonnait particulièrement dans la masse de ses collègues apprêtées et tirées à quatre épingle, attirant leur indignation tout autant qu’une incompréhension certaine. Une attitude qu’on ne pouvait blâmer et
qui résultait plus du milieu dans lequel elles évoluaient, qu’à leur nature propre. Milieu où en plus
de la compétence et des performances requises, de la disponibilité même en cas d’urgence de dernière minute, l’allure comptait pour beaucoup. Un contexte d’une compétitivité telle, que tous
les coups bas étaient permis pour défendre son territoire ! Aussi malgré ses nombreuses qualités et son efficacité à mener à bien chaque besogne lui incombant, Suzanne n’avait pu hériter d’un poste fixe, ses collègues s’étant méticuleusement employées à se faire l’écho de son insignifiance. Soulignant comme il serait mal à propos qu’on associe cette femme gauche et bizarrement attifée à l’image du cabinet. Rien n’avait été dit clairement, mais en coulisse sous-entendu de manière assez efficace
pour que Suzanne soit tenue en retrait, et se coltine les tâches et les dossiers les plus ardus, où le labeur était une contribution anonyme n’exigeant pas une sortie de l’ombre et encore moins une récolte de lauriers... Suzanne cheminait donc, bon gré, mal gré, bordée d’effluves de jalousie
vis à vis de son talent, et de mépris à l’égard de sa personne.
C’est dans ce contexte particulièrement tendus que les chemins d’Emile Tourcoing et de Suzanne Moreau se croisèrent.

Dernière édition par Hel le Dim 30 Déc 2012 - 14:32, édité 1 fois

12/07/2011

On ne doit pas mettre un petit extrait, on peut... Et encore. Je pense que je finirais par retirer ce point des règles, parce que finalement, il n'est pas vraiment cohérent avec le principe de la constance. Et peu appliqué, de toute manière.

Félicitation à ceux qui ont tenu la constance, courage aux autres Smile

04/12/2011

Fleurdepat: Si tu veux je le met dans quelque heures. La je suis sur le point de partir.

10/12/2012

Citation :: Semaine du 24/10/2012 :
CONSTANCE 0/2500
Bilan : L'horreur, l'enfer. Échec cuisant, mais je persévèrerai la semaine prochaine, ça reste un bon concept ces constances. Je repasserai voir la liste des textes à commenter, quand on joue le jeu, faut le faire jusqu'au bout x) Bravo aux constants !
Paresseux...

04/12/2011

Voilà l'extrait.
Iris et Théo cherhce à entrer dans un souterrain où il ya des personnes riches. A la surface, ce n'es qu'un bidonville. Par contre, c'est un premier jet. Aucunes corrections.

Citation :: Comment entrer dans ce souterrain ? Ou était-il ? Quelqu’un devait le savoir. Je devais trouver qui. Je pouvais aussi y aller à la méthode « bourin » comme Théo disait et faire des trous partout mais je n’avais pas envie de débarquer dans ce trou sans rien savoir sur celui-ci. Pour une fois, je préférais une méthode plus douce.

Je devais regarder les gens. Voir leurs attitudes, s’ils me remarquaient ou pas. J’étais devenue forte à ce petit jeu depuis le temps. Maintenant, j’étais quasiment imbattable. EN fait, personne ne m’avait encore égalé, personne n’arrivait à lire me sentiments. Personne sauf Nylith. Après tout, c’était elle qui m’avait appris les bases de cet « art ». Mais elle n’était pas la seule. Toutes les Hertz arrivaient à cacher leurs sentiments et à lire dans les nôtres. Pratique pour savoir si nous étions amis ou ennemi.
Je reportai mon attention sur ma droite. Deux personnes se battaient. Enfin un adulte bâtait l’enfant. Celui-ci devait avoir cinq ou six ans. Comme Théo quand je l’ai rencontré. L’homme devait être son père. Il avait probablement trop bu pour battre son fils. Ou peut-être pour le simple plaisir ? Non. Personne n’éprouvait du plaisir à tabasser un gamin. Le petit garçon allé finir par mourir sous les coups de son père. Il le suppliait, mais rien ne fonctionnait. Je lançai un regard à Théo qui hocha la tête. Je le remerciai d’un sourire.
Je stoppai le père alors qu’il allait porter un autre coup à l’enfant. Il hurla et jura avant de se débattre pour que je le lâche. Ça tactique ne marcha pas. Je lui pris l’autre bras avant de l’envoyer valser en face. Je me concentrai ensuite sur le garçon. Il avait de nombreux bleus, un œil au beur noir. Il était salement amoché. Et ça ne datait pas que d’aujourd’hui. Il devait se faire battre chaque jour comme ça. Sans raison. Je réprimai mon envie de tuer le père et prit le garçon. Il avait besoin d’un médecin. De nourriture. D’un foyer. Mais ici, il n’y avait rien.

31/07/2012

Alors voici à mon tour un petit extrait :

Citation :: A dire vrai, ce n'était pas la première fois que Freddy, et son groupe rock zombie jouaient dans des petites structures, mais il n'avait jamais inauguré une maison de retraite.
Dès le lendemain il se mit en quête de « se faire beau » pour son premier rendez-vous avec Marcel et la directrice de la maison de repos qu'il se faisait fort de parvenir à convaincre. La ligue l'avait déjà prévenue, qu'elle avait droit à une soirée animation gratuite de la part de l'association des « jeunes retraités », elle ne devrait donc pas faire trop de problème. Freddy mit son plus beau costume pailleté d'os et sa croix gammé de fer, son bracelet incrusté de laid. Il étala sa crème moréal et se maquilla. Il jeta un regard gaillard au miroir : « qui c'est le plus pourri ? C'est Freddy ! »
La limousine les déposa à 16 heures 30 devant l'hospice. En tant que star Freddy n'était jamais à l'heure, il aimait se faire désirer, sentir la salle surchauffée scander son nom. Il avait juste oublié que la directrice revêche d'une maison de retraite, n'était pas une fan de rock alternatif, et il avait peut-être commis une erreur en la faisant attendre comme une groupie ;
Ce qui ne l'empêcha pas de poser le pied sur le gravier de l'allée, en conquérant. Peu de gens résistait à son charisme. A l'école d'outre tombe il était le meilleur en manipulations et fraudes. Le temps légèrement brumeux lui convenait parfaitement, l'automne était d'ailleurs sa saison favorite, tout était en place pour que ce jour soit le sien.
La porte s'ouvrit sur un gaillard d'au moins un mètre nonante à la carrure impressionnante : « c'est pourquoi ? » Freddy resta quelques secondes interloqué... comment ça, c'est pourquoi ? Cet abruti n'était-il pas au courant de sa venue ? Mais bien sûr, ce n'était qu'un simple employé, un sous-fifre, voilà pourquoi il ne savait rien. Freddy prit son air le plus classe : « c'est nous, Rock Zombie ! » L'employé resta impassible quelques secondes avant de poursuivre : « vous avez rendez-vous ? » Freddy sentait monter en lui une colère qu'il s'obligea à maîtriser car s'il commençait le carnage à la porte d'entrée, il aurait bien du mal à mener son plan à exécution. Aussi prit-il sur lui pour répondre le plus calmement possible : « oui avec la directrice Madame Guilbaud. » Freddy s'apprêta à suivre l'employé, mais celui-ci lui referma la porte au nez. Il fallut toute la persuasion des autres membres du groupe, pour que Freddy n'explose pas sur le pallier. Lorsque le costaud revint, il avait l'air encore moins avenant qu'au départ : « vous aviez rendez-vous à neuf heures, Madame la directrice n'a plus le temps de vous recevoir, elle a un entretien important à dix heures. Téléphonez-lui pour une autre entrevue». Là, personne ne put empêcher Freddy de se ruer à la gorge de l'employé, il sut heureusement en dernier recours, se maîtriser suffisamment pour juste le zombifier, bien que l'envie de le dévorer le tenaillait. Au moins, il en avait fait un serviteur docile. Lorsque ses yeux devinrent vitreux, Freddy lui imposa d'aller convaincre la directrice de le recevoir. Finalement cette mission ne démarrait pas aussi bien qu'il ne se l'imaginait, Lucien le nécromancien lui avait fait la remarque : « ton orgueil te perdra » ce à quoi Freddy avait répondu que perdu pour perdu autant l'être par l'orgueil, ce qui avait beaucoup fait rire Gertrude la succube. Il est vrai que Freddy était un peu le bout-en-train des soirées de la ligue.

Pour Rikomer: Bien trop complexe de mon point de vue, plus un texte historique qu'un roman pour néophytes.

Pour Flavie: A part quelques fautes sur la fin c'est assez sympa sauf qu'on se demande juste dans quel univers on est.

Pour Hel: J'ai connu ton écriture plus fluide mais on reconnaît tout de même ton talent pour instaurer les atmosphères.

Pour tous ceux qui n'ont pas pu finir: Bravo quand même d'avoir essayé
Pour ceux qui n'ont pas commencé: la prochaine fois réfléchissez avant de vous lancez dans de tels paris.

D'autre part je déplore également que plusieurs personnes n'aient pas suivi les règle à savoir:
Lundi à samedi: et viennent régulièrement donner des nouvelles sur ce sujet.
Au moins sur ce sujet là.

Concernant mon cadeau je choisis celui-ci "Freddy le Zombie" car je voudrais savoir si ce style de petites nouvelles dans le genre "contes de la crypte" pourraient se publier et être appréciées.
Voici le lien où l'amicale des commentateurs pourra trouver mon texte:
Freddy le Zombie

14/10/2012

Citation :: Semaine du 24/10/2012 :
CONSTANCE 3178/3000

Bilan : Objectif atteint, la correction du chapitre III est faite aussi.
Niveau qualité,comme d'hab dans ce genre de situations, c'est à reprendre...