Ah, ça a l'air de se débloquer, on croise les doigts!

Oui, mais j'ai eu bien des fois cette promesse, alors.... Je reconnais que cette fois ça paraît un peu plus sérieux. Je reste adepte de Saint Thomas.

Bravo pour cette édition !
Cela doit être à la fois long et exaltant.
Des mois d'attente... et maintenant le projet de publication arrive à son terme.

Je suppose que tu auras assez rapidement, le visuel de couverture, le BAT et, enfin le livre entre tes mains.

Je ne jure plus de rien : les 48 h expirent à 21h40 et je n'ai toujours rien... J'ai eu tant de fois cette "promesse". A priori il ne restait que le problème de la couverture, mais je ne vois pas en quoi cela empêcherait d'envoyer la maquette texte.
Long certes, mais plus exaltant du tout : c'est mon 5 ème livre édité (7 même si je compte 2 éditions à C.A.), alors c'est surtout insupportable.

Les 48 heures sont écoulées depuis hier soir... Bon, c'est le week-end.... ouais.... (bis et multi repetita non placet). Je vous tiens au courant.

Toujours pas reçue 109 heures après.(je vais devenir fort en math.)

Je suis vraiment navrée pour toi que ça se passe aussi laborieusement... y a-t-il une clause au contrat concernant ce genre de promesses non-tenue (type non-respect des délais)?

Non, il a un an pour éditer et ensuite 6 mois après mise en demeure. Il y a une semaine il m'a dit que si je souhaitais éditer ailleurs il ne m'en voudrait pas, reconnaissant sa négligence, mais ce n'est pas ce que je souhaite ; j'aimerais avoir ce livre rapidement ; j'essayais de le faire éditer depuis pas mal de temps ( avec des fortunes diverses : un caractériel a dit oui, puis non quand j'ai discuté ; un autre voulais que j'ajoute une partie ; pas mal de refus aussi).

monilet a écrit:

En théorie je n'ai pas le droit de vendre en salon les exemplaires que j'achète à prix réduit, mais ça peut faire l'objet d'un accord avec le directeur.

Ne te gêne pas pour vendre tes exemplaires de ton côté : d'une part, je doute qu'une petite maison engage des frais de justice pour entrer en contentieux, d'autre part, à moins qu'il soit prévu une sanction pécuniaire chiffrée en cas de manquement à cette obligation, le calcul de celle-ci dépendra des ventes réalisées effectivement. Pas grand risque, donc.

Pour l'instant , si tu lis le fil, je n'ai aucun livre. Merci de l'info.

J'ai bien compris qu'il y avait un souci avec le quatrième de couv'. Mais si jamais tu t'auto édites, ne te soucie pas d'eux.

Salut Monilet. Tu es persévérant dis-moi! Perso, les promesses chimériques, j'ai déjà donné. Si je dois à nouveau tenter l'aventure de l'édition, j'y regarderai à deux fois parce que, depuis l'aventure Kiro, j'ai du mal à faire confiance en dehors de mes deux éditeurs numériques (Booxmaker et l'Ivre-book). Je me demande si tu n'aurais pas meilleur compte de t'auto-éditer (à moins que ça te bloque l'accès à certains salons). C'est en tout cas une option que j'étudie pour mon roman (qui devait être édité chez kiro) pour une publication papier (L'Ivre-book est intéressé pour son édition numérique). Je suis donc en pleine réflexion.

Je serais toi, je casserais le contrat avec ton éditeur pour récupérer tes droits. Y'en a assez de ces vendeurs de rêves qui se foutent royalement des auteurs et qui ternissent à long terme l'image des éditeurs (parce que sont pas tous pourris quand même, mais là, c'est un peu l'arbre malade qui cache la forêt luxuriante). Courage!

En choix personnel je ne suis pas tenté par l'autoédition. Euh, sinon je suis monilet.

Oui, pardon, j'ai édité ton pseudo.
Ok, c'est un choix qui se respecte. C'était juste une piste à explorer au cas où...

Tant que c'est pas moulinet, ha ha !