En fait, j'ai compris. La reine Netta a engagé les gardes du corps de François Hollande.
D'où leur passivité.
Tout s'éclaire !

Revan, tu m'as tué >

Spoiler:

Orcal

Spoiler:

Revan, concernant ton commentaire.
Arf, oui, effectivement, merci de me l'avoir fait remarqué.
Concernant la narration confuse, c'était le but même de l'extrait : déboussoler complètement le lecteur pour ne laisser que les choses les plus évidentes, ne pas faire une suite d'action mais des petits tableaux qui montrent les principales étapes de la tentative de survie de Liliane, la comparaison avec la partie d'échec qu'elle fait car, dans une partie d'échec, les chances des deux adversaires dépendent beaucoup de leur talents, et elle souhaite croire qu'elle en a beaucoup pour ne pas sombrer dans le désespoir, de croire qu'elle peut-être talentueuse juste grâce à sa volonté de survivre. Ce qu'elle fait entre ces éclats de texte ? Je crois que je ne le sais même pas moi-même. Liliane non plus ne le sait plus, elle a oublié aussi, ça ne comptait pas pour elle.
Après, j'ai conscience que ça peut paraitre confus et si ça l'ai vraiment j'essayerais de modifier un maximum ça.
Merci.

bon, grossomodo, pour répondre au fond (et la vague de "il" je l'ai constatée aussi mais j'ai du mal à la dissiper, j'attends de prendre du recul) :

j'adore ce que m'a dit Encre parce que ça résumé exactement ce qu'il se passe dans le récit

S'ils ne l'évacuaient pas tout de suite, ils auraient au moins du l'entourer, guetter la foule pur intercepter le moindre geste suspect, faire évacuer les gens, tirer sur quiconque est louche.

Dans l'extrait que j'ai posté, vous avez les soldats qui reviennent près de la reine(Youguera, Féjole, Anité), le Général Féjole qui va encadrer la reine et ses demoiselles pour qu'elles sortent protégées, Anité tue un type qu'il juge louche (il le reconnaît car l'homme faisait partie de l'attaque de son fiacre, ça, je le précise dans le récit peu avant l'extrait posté). Ensuite, Goune, Youguera et Anité vont poursuivre les suspects pendant que la foule s'enfuit par l'autre bout. Et à vrai dire, les soldats sont peu préoccupés par les personnes présentes dans la salle, ils ne s'occuperont pas de les évacuer correctement. Ils ne cherchent qu'à maîtriser/mettre à néant les bandits et protéger la reine avec ses demoiselles.
Ce que vous ne savez pas, c'est que : la reine a pris quatre de ses meilleurs soldats pour l'encadrer, mais n'en prend pas plus, car la peur n'a pas encore gagné les citoyens, et trop de soldats dans un gala de charité eût été louche.
Que juste avant, Anité et Goune sont allés au secours d'Aeliga qui se rendait aux toilettes pour femmes dans un couloir annexe, et Anité y a tué un autre homme. Ce qui explique que Goune ne soit pas près de la reine, et qu'Anité ait couru depuis un autre bout de la salle.

Pour la forme, je voulais être expéditive, qu'on comprenne que tout se déroule assez vite finalement. Mais c'est étrange de voir que d'une part il faudrait des détails, et d'un autre les enchaînements seraient trop lents. Je peux zapper une partie du dialogue, mais ce que le Général Youguera apprend à Anité est un élément clé dont je ne peux me passer. Dur dur

Encore merci. J'achèverai mes commentaires demain.

Encre a écrit:

Par contre, c'est peut-être moi mais j'ai presque eu l'impression que Dorleï n'est pas là, inconsciente, morte... pas assez active.Peut-être que c'est dans le passage juste avant ou dans le passage juste après, et dans ce cas là ma remarque sera injustifiée, mais, à part une phrase, pour moi, Dorleï n'était pas vraiment présente bien qu'au centre de l'action en quelque sorte.

Ah. Donc j'ai retranscrit ce que je voulais.
Näoreen a un peu "éliminé" Dorlei du paysage, pendant cette scène. C'était nécessaire. Sinon, je crois qu'elle se serait écroulée.
Ensuite, lorsque la tension retombe et que les hommes sont morts, elle redescend sur terre, en quelque sorte, et Dorlei vient à la vie dans son esprit.

Merci pour ton avis très intéressant