Knulp et Siddharta de Hesse (déjà cité lui, récits initiatiques de jeunes gens affamés)
Le parfum et Le pigeon de Süskind (l'un ne comprend des hommes que les odeurs, l'autre cherche la routine absolue)
Confession d'un masque de Mishima (l'homosexualité qui cherche à se refouler)
Solal de Cohen (trop brillant, explosif pour se couler dans une société)
Les vrilles de la vigne de Colette (miettes autobiographiques d'une femme à chats qui vous observe avec ses grands yeux lucides)
En fait, la marginalité est un thème immense. Qu'il recouvre les deux tiers de la littérature ne serait pas étonnant. Tu n'avais pas une idée un peu plus précise en tête?