Kid a écrit:

Sinon, unknown, tu peux faire comme Iggy Stooge, tu débarques chez l'éditeur, tu montes sur son bureau en hurlant et en agitant ton slip jusqu'à ce qu'il accepte pour que tu le lâches. Hm.

Hmm interessant. Pour les femmes y a plus simple: un grand decolte par exemple et dans la mojorite des cas (sauf si l'editeur est une femme) ca marche

Foxi a écrit:

Hmm interessant. Pour les femmes y a plus simple: un grand decolte par exemple et dans la mojorite des cas (sauf si l'editeur est une femme) ca marche

Tiens, comme c'est drôle, intelligent et bien écrit.

Mitsu a écrit:

Tiens, comme c'est drôle, intelligent et bien écrit.

Ironie ou verite? Surtout le mot mojorite et le manque d'accents mais je rapelle que bien que mon clavier soit muni de ę ś ć ó ł ą , il n'est pas muni d'accents et de cedilles

Citation :

Ironie ou verite? Surtout le mot mojorite et le manque d'accents mais je rapelle que bien que mon clavier soit muni de ę ś ć ó ł ą , il n'est pas muni d'accents et de cedilles

Il n'empêche que ... En plus, une fille qui balance ça. Et bien ...
Enfin sinon, c'était bien de l'ironie

Revan a écrit:

Enfin sinon, c'était bien de l'ironie

Enfin bref, pour recentrer le sujet, j'en avais discuté sur un forum avec un auteur publié, et il m'avait dit que c'était très variable : autant ça peut permettre de se faire remarquer plus facilement qu'en envoyant simplement son manuscrit par voie postale, autant certains éditeurs considèrent qu'ils ne viennent pas au Salon du Livre pour découvrir de nouveaux talents, et se montrent plutôt agacés par ce démarchage intempestif.

Je pense qu'avant de se lancer, c'est comme pour les envois postaux : il faut sélectionner quelques éditeurs et les connaitre à fond.

Mitsu a écrit:

Je pense qu'avant de se lancer, c'est comme pour les envois postaux : il faut sélectionner quelques éditeurs et les connaitre à fond.

C'est toujours la meilleure solution à mon avis. Après, je m'y connais absolument pas en édition. J'attends d'avoir un projet présentable. Mais c'est vrai qu'aborder un éditeur dans l'optique de parler de son roman ou de son recueil, ça peut paraître plus pratique que d'envoyer. On a sans doute l'impression de davantage maîtriser le processus qu'en restant simple spectateur.
Mais tu as raison ; ça dépend vraiment des éditeurs ^^

Etant donné que les éditeurs viennent dans des salons pour vendre les livres qu'ils ont déjà édités, ils ne sont pas nécessairement réceptifs ou disponibles à d'éventuels "prochains" ouvrages et le risque, c'est bien de s'entendre dire : "Ca n'est pas le moment..."
Pour ma part, si j'avais eu à me lancer dans cette démarche, j'aurais essayé d'arriver à l'aube ou tout du moins de me présenter au moins à un moment "tranquille", histoire de déranger le moins possible. ..

Foxi ça ne va pas du tout! Je ne parle pas de séduire l'éditeur, je parle de le rendre fou, de l'obliger à lui donner ce que tu veux, de lui tordre le cou!

En effet, ton livre sera publie et ce sera un double succes: Tres bien ecrit par un fou furieux de l'asile!!!

En reparlant du sujet, je crois que je suis d'accord avec Mitsu. Bien connaitre avant de se lancer