PortailAccueilRechercherS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Nike : Jusqu’à 50% sur les articles de fin de saison
Voir le deal

Partagez
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5  Suivant
 

 [Avis sur ME] Edilivre

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 

 
JC Heckers
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  101
   Âge  :  55
   Localisation  :  Paris
   Pensée du jour  :  Rien ne sert de pourrir, il faut mourir à point.
   Date d'inscription  :  20/09/2009
    
                         
JC Heckers  /  Barge de Radetzky


Ouais, ben quand même, je préférerai toujours un véritable éditeur. On en trouve encore. Du genre qui va d'abord vous faire revoir votre copie, jusqu'à ce que vous ayez donné le meilleur de vous-même.
L'auto-édition, si on n'a pas une (petite) meute de bêta-lecteurs à ses trousses capables de pousser à parfaire l'œuvre, ça revient quand même à publier quelque chose qui reste de l'ordre du brouillon.
D'accord ça peut être joli un brouillon. On peut même en vendre quelques uns.
Mais ça reste... un brouillon.
http://chapitre0.blogspot.fr/
 
Le_conteur
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  2774
   Âge  :  56
   Date d'inscription  :  02/11/2010
    
                         
Le_conteur  /  Roberto Bel-Agneau


L'auto-édition à l'aventage de ne pas se prendre la tête à attendre le bon vouloir d'éditeur qui la plupart du temps, ne prendront même pas la peine de lire le texte avant de le refuser.

Par contre, c'est claire, qu'il faut avoir autour de soit des gens sincères qui vont prendre le temps de lire et commenter le texte et de le béta-lire.

Mais, en béta-lisant sois même (les textes du même genre que le votre) et en ayant un échange avec les auteurs ont progresse beaucoup.

Donc, on arrive tout de même à sortir un roman acceptable, sans l'attente interminable d'hypothétique répondse d'éditeur.
L'auto-édition a aussi l'aventage de refermer le projet (rien ne vous empèche dès lors de tenter l'édition basique) mais vous avez bouclé votre projet et pouvez vous lancer dans un autre.
Cette notion de tache accomplie n'est pas à prendre à la légère

++
Le_conteur
PS: on peut comparer cela à un diplome (ayant passé plusieurs diplomes au CNAM (cours du soir) cette notion de tache accomplie est semblable)
 
avatar
   
    
                         
Invité  /  Invité


@JC-heckers

Ca dépend pour qui et pour quoi on écrit.

Je ne pense pas que tenir compte d'avis souvent contradictoires, partiels et non professionnels permet de gagner en cohérence et de se perfectionner. Si on veut ratisser large, d'accord, on fait la moyenne de tous les avis et on essaie de contenter tout le monde, c'est alors très propre, ça glisse... Mais je préfère de loin, en tant qu'auteur, un beau brouillon qui fourmille qu'une soupe facilement ingérable.

Je ne dis pas ça pour dénigrer l'utilité des lecteurs, loin de là... Seulement, c'est quasi sociologique. Sur la plupart des points, les avis divergeront - et tant mieux ! Au lieu de vouloir en faire la synthèse à tout prix, mieux vaut se dire : cet aspect-là au moins suscite des réactions.
 
JC Heckers
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  101
   Âge  :  55
   Localisation  :  Paris
   Pensée du jour  :  Rien ne sert de pourrir, il faut mourir à point.
   Date d'inscription  :  20/09/2009
    
                         
JC Heckers  /  Barge de Radetzky


@ Le_Conteur: on trouve toujours des éditeurs qui savent lire; enfin je crois. Mais puisqu'il y a des béta-lecteurs qui feront un aussi bon boulot qu'un éditeur, après tout... Le gros truc avec l'auto-édition, c'est qu'il faut savoir gérer son autopromotion, c'est pas forcément donné à tout le monde. (Personnellement je ne sais pas faire...)

@ Ex-Nihilo: Les avis de "tout le monde" doivent être pris avec des pincettes. Les béta-lecteurs, c'est autre chose. On change de niveau. Ensuite, quoi qu'il en soit on tiendra ou pas compte des remarques, mais avec les béta-lecteurs on aura plus de chances d'éliminer les grosses bourdes.

Je dois préciser que, quand même, moi, je dois plaider coupable, j'ai mis en ligne (du côté d'Alexandrie Online et de Sengoa) des bouquins qui sont des brouillons, finalement, même si j'ai travaillé et retravaillé parfois. Par contre je répugne un peu à faire payer pour "ça" (et à pousser à gâcher du papier).
http://chapitre0.blogspot.fr/
 
Le_conteur
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  2774
   Âge  :  56
   Date d'inscription  :  02/11/2010
    
                         
Le_conteur  /  Roberto Bel-Agneau


@ Ex-Nihilo

Je suis 'TRES' pas d'accord avec toi Smile

Dans un premier temps, il faut bien sélectionner les béta-lecteurs (j'entends par la, être bien sur la même longueur d'onde qu'eux, sur la nature des commentaires) Lorsqu'on a sous la main des gens sérieux et sincères, on se rend vite compte que leurs remarques sont (dans la plupart des cas) justifiées et que le texte y gagne.

Souvent, une fois le texte lu (et relu), l'auteur a du mal à faire la part des choses et apporter la touche finale qui bouclera le projet.

Après, libre à l'auteur de trier les commentaires. Mais je pense que c'est une erreur de ne pas tenir compte d'un avis (d'une personne qui sur de nombreux autres textes a eu un avis intéressant et souvent juste).

Moi, je n'aime pas modifier mon texte. Mais certaine fois, je tombe sur le cul devant une remarque si claire et limpide. Je ne change mon texte (généralement ce sont des ajouts pour mieux expliquer les choses) que si cela me semble pertinent et que je reconnais que cela améliore le texte.
Et bien souvent, un avis exterieur est nécéssaire. Je suis vraiment preneur d'avis de béta-lecteur et généralement je dois avouer que sans leur retour, je serais moins sur de moi.

++
 
avatar
   
    
                         
Invité  /  Invité


Je suis d'accord avec toi, Le_conteur! Les proches ou éventuels relecteur de notre entourage n'ont pas les mêmes motivations que les éditeurs!
L'éditeur veut clairement que le livre se vende le plus possible (même s'il faut changer les fondements du texte), alors que le béta-lecteur ne dit que ce qu'il aurait aimé lire au sein de cette histoire!
Je pense qu'il n'est pas toujours facile pour un jeune auteur (édité) de tenir tête à un éditeur pour garder l'âme de son texte! C'est la lutte du fondement contre le profit! (Certains comme Bragelonne ne se posent même pas cette question, le profit est le plus important)!
 
Hiendi Mond
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  5496
   Âge  :  27
   Localisation  :  ça bouge... Tout le temps...
   Date d'inscription  :  20/02/2010
    
                         
Hiendi Mond  /  Maîtrise en tropes


En même temps pour pouvoir faire vivre le fondement, il faut à un moment qu'il y ait du profit ^^'
http://diane-mond.kazeo.com/
 
Le_conteur
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  2774
   Âge  :  56
   Date d'inscription  :  02/11/2010
    
                         
Le_conteur  /  Roberto Bel-Agneau


C'est comme tout, faut savoir ou on place la barre.
J'ai rien contre le profit (étant gérant d'une société, moi même) mais lorsqu'on dénature tout pour le profit maximum, il ne faut pas s'étonner du marasme actuel.

C'est bien le problème actuel, lorsque la finalitée de toute chose n'est qu'argent. Pour moi, un éditeur (en langue Française) digne de ce nom, se doit d'éditer des auteurs Français et pas seulement faire traduire de la soupe Anglosaxonne sous prétexte qu'elle est digérable par la majorité et que les ventes sont assurées.

++
 
avatar
   
    
                         
Invité  /  Invité


Hiendi Mond a écrit:
En même temps pour pouvoir faire vivre le fondement, il faut à un moment qu'il y ait du profit ^^'

Pourquoi faudrait-il qu'il y ait du profit dans toutes choses pour qu'elle soit valable?
Parce que on nous l'a inculqué comme ça?
C'est justement ça la barrière!
Bien sur que les auteurs espèrent être appréciés par un maximum de leurs lecteurs, bien sur qu'ils espèrent pouvoir vivre de cet art mais avant tout, ils souhaitent communiquer un message, faire passer quelque chose. Et c'est ça qui importe, ce sens là!
alors, oui, il en a qui n'écrivent que pour devenir célèbre et ça peu fonctionner car étudier ce qui plait aux masses et s'en servir ce n'est pas compliqué! Mais est-ce là un art ou une mise de poker?
Moi, j'ai envie de laisser des messages comme certains de nos prédécesseurs de la SF!
 
avatar
   
    
                         
Invité  /  Invité


si vous voulez qu'un éditeur tienne le coup et puisse survivre, il faut bien qu'il vende des livres plus "commerciaux" que d'autres ou du moins dont la vente est assurée. Il y a toujours le probléme de l'argent, mais si cela pourrait permettre à de meilleures oeuvres de se faire édité mais qui aura un lectorat plus réduit alors ce n'en est que mieux !
Si les éditeurs n'éditaient que des livres tel que la poésie qui ne se vends qu'à très peu d'exemplaires alors ce serait la mort assurée de l'édition, ou du moins des petits éditeurs (puisque les grosses boites, elles, ont les racines suffisamment solidement implantées pour éviter de s'écrouler.)
Les petits éditeurs marchent plus facilement au coup de cœur et est aussi plus accessible.
Il ne faut juste pas oublié que dans n'importe quelle boite, un moment où un autre, il y aura une question de pognon ! l'éditeur est comme nous, il faut bien qu'il gagne sa vie ! et encore le plus souvent il fait un autre job à coté !
 
avatar
   
    
                         
Invité  /  Invité


[quote="Deborah-G" il faut bien qu'il vende des livres plus "commerciaux" que d'autres ou du moins dont la vente est assurée...[/quote]

N'est-ce pas un peu fataliste?
Cela voudrait dire qu'il faut abrutir les masses pour que quelques petits messages puissent parfois passer auprès de quelques personnes!!!!
Faire du commercial c'est tuer l'art même si ça permet parfois d'apporter certaines techniques!
En habituant les gens à lire ce genre de choses (c'est comme pour les films), on ne laisse plus aucune chance pour le reste!
Mais attention cela ne veut absolument pas dire qu'un livre qui se vend à des milliers d'exemplaires est forcément à vocation commercial! Tout dépend de la motivation de l'auteur et de l'éditeur!
 
Nausea
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  197
   Âge  :  121
   Localisation  :  Ailleurs
   Pensée du jour  :  Vide
   Date d'inscription  :  01/11/2010
    
                         
Nausea  /  Tycho l'homoncule


C'est le genre de débats sans fin puisque chaque parti a raison.
Oui, les maisons d'édition ont besoin de fric et non ce n'est pas juste de refuser des livres avec pour seule véritable excuse que le nom de l'auteur n'est pas assez connu, mais ce sera probablement toujours comme ça (et pas que dans le domaine littéraire, on peut le retrouver chez les petits musiciens qui ont de grands problèmes avec les maisons de disques...).
Et comme l'a dit Deborah-G, les petits éditeurs sont plus accessibles... C'est dur mais c'en est ainsi. Après, il faut se débrouiller pour faire la publicité de sa publication afin qu'elle se vende. Le succès est difficile à atteindre.

Philippe Paric a écrit:
En habituant les gens à lire ce genre de choses (c'est comme pour les films), on ne laisse plus aucune chance pour le reste!
C'est ainsi partout dans le milieu de l'art et même si c'est très dommage, as-tu juste une idée pour changer tout ça ? L'argent a plus d'attrait que la qualité, désormais.

Au final, la polémique n'a pas de conclusion et reste bloquée à un même endroit (mon message lui-même n'a aucune utilité). Si Édilivre ne vaut pas le coup, passez votre chemin et grattez dans la terre pour trouver quelque chose de mieux, au lieu de vous crêper le chignon (certains -comme moi Very Happy- feraient mieux de continuer leur oeuvre que d'alimenter ce débat, d'ailleurs :mrgreen:).

Voilà voilà, mon petit commentaire qui ne sert à rien...

Philippe Paric a écrit:
fataliste
FATALIS.
Euh oups, désolé. :mrgreen:
http://cyril-sche-sulken.e-monsite.com/
 
avatar
   
    
                         
Invité  /  Invité


Nausea a écrit:

Au final, la polémique n'a pas de conclusion et reste bloquée à un même endroit (mon message lui-même n'a aucune utilité).

He bien! Avec une telle vision des choses, nous ne pourrions pas débattre de pas grand chose et rien ne pourrait jamais changer, en effet!
Nous ne nous crépons pas le chignon!! Nous échangeons!
Et tu as dis les mots justes: "Le succès est difficile à atteindre"! Ceux qui le cherchent ne sont en rien des artistes! Ceux qui le trouve peuvent l'être!
En quoi, le succès doit être un objectif? Pourquoi toujours vouloir chercher fortune? Utopie, folie, mensonge..., peut-être en partie. Si tout artiste cherche à plaire à un maximum c'est pour que son message passe le plus possible et touche un maximum de gens (peintre, écrivain, sculpteur, musicien...), alors ne nous éloignons pas de cela et n'en faisons pas une industrie sans âme!

Je ne comprends pas FATALIS????
 
Le_conteur
   
    Masculin
   Nombre de messages  :  2774
   Âge  :  56
   Date d'inscription  :  02/11/2010
    
                         
Le_conteur  /  Roberto Bel-Agneau


Je cris au scnadale, c'est de la PUB déguisée !!
Citation :

FATALIS.
Euh oups, désolé.
C'est honteux, car je suis certain qu'il n'est pas du tout 'désolé' !!

Mais en faite t'as raison
Citation :

(certains -comme moi - feraient mieux de continuer leur oeuvre que d'alimenter ce débat, d'ailleurs ).
car c'est aussi mon cas

++
 
Nausea
   
    Féminin
   Nombre de messages  :  197
   Âge  :  121
   Localisation  :  Ailleurs
   Pensée du jour  :  Vide
   Date d'inscription  :  01/11/2010
    
                         
Nausea  /  Tycho l'homoncule


Le_conteur : Chut-euh, y a pas d'petit profit, comme on dit xD

Citation :
Avec une telle vision des choses, nous ne pourrions pas débattre de pas grand chose et rien ne pourrait jamais changer, en effet!
Je suis d'accord, mais c'est aux éditeurs qu'il faut dire tout ça, pas juste à quatre littérateurs avertis (à moins que le message ne se répande).

Citation :
Nous ne nous crépons pas le chignon!!
Second degré, je voisbien qu'il n'y a pas de match à mort dans votre discussion, c'était... "Humoristique". Wink

Citation :
Ceux qui le cherchent ne sont en rien des artistes! Ceux qui le trouve peuvent l'être!
Héhé, je suis bien d'accord là-dessus ! Certains (et en particulier certains éditeurs) devraient te lire.

Citation :
En quoi, le succès doit être un objectif? Pourquoi toujours vouloir chercher fortune? Utopie, folie, mensonge..., peut-être en partie.
Je n'ai pas dit ça; mais si l'on peut tirer bénéfice de sa passion, n'est-ce pas fantastique ? C'est du moins ce que je trouve. Je ne dis pas qu'il faut faire la course au fric et au succès, loin de là, mais ce doit être agréable de pouvoir "améliorer sa vie" (terme très approximatif) à partir de ce que l'on aime.

Citation :
Si tout artiste cherche à plaire à un maximum c'est pour que son message passe le plus possible et touche un maximum de gens (peintre, écrivain, sculpteur, musicien...), alors ne nous éloignons pas de cela et n'en faisons pas une industrie sans âme!
Exact, ceux qui cherchent à plaire dans un but tout autre ne méritent pas le titre d'"artistes"... Mais soit, je ne parlais pas de ça, je disais juste que le débat sur les éditeurs est sans fin.


Je donne juste mon opinion sur le sujet, à savoir que c'est une polémique (quoique je trouve ce terme violent), je me répète, sans fin. Je ne le dis pas pour me faire saquer. ^^

Edit: Et Fatalis, c'est le titre de ce que j'espère finir d'écrire un jour ^^
http://cyril-sche-sulken.e-monsite.com/
 
   
    
                         
Contenu sponsorisé  /  


 

 [Avis sur ME] Edilivre

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 3 sur 5Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum des Jeunes Écrivains :: Ressources :: Édition et Autopublication :: Maisons d'Édition-