S'il y a d'éventuels commentateurs, c'est avec plaisir que je lirai leurs impressions.

Tiens, je suis le premier ? Ceux qui commentent le plus ne sont donc pas les plus commentés, ma pauvre Volte.
Si j'ai adoré Contemplation, de bout en bout, je ne peux pas en dire autant de RETRAITE. Je m'y suis complètement perdu, même après relecture.

Ce qui m'a gêné, dans ces phrases, c'est le changement de temps et le premier "où" qui, je pense, ne convient pas : "Elle ne recherche pas la foule, cependant : très vite, elle s’engouffre dans une allée transverse. Alors en hiver elle disparaît (disparaissait ?) jusqu’à midi, où on la retrouvait dans la salle attenante à la petite chapelle du quartier, où elle aide à servir les repas chauds."

Le "cette" est peu précis :" peut-être est-ce cette (son) attitude sereine et sûre, qui donne l’impression de ne rien pouvoir faire contre elle.

J'ai la sensation qu'il manque une transition avant cette étape, tu es passé du coq à l'âne :
"J’ai l’impression d’avoir toujours habité ici : certaines choses ont changé, d’autres pas. Tous mes voisins directs ont changé, ..."

Euh, je dois être complètement abruti puisque je n'ai rien compris à la fin : "Elle le connaît bien, Dieu ; c’est son mari, après tout."
Merci de me rassurer, ou pas.

Merci L, je suis désolée je n'étais pas très active ces temps-ci.

Je suis contente que Contemplation t'ait plu, d'autant que je dois avouer que j'en étais assez fière moi-même (je sais, c'est mal).

Pour Retraite... D'accord, tu as entièrement raison du début à la fin, je m'incline. Je vais corriger ça. Pour la fin, justement, je voulais dire par là que c'était une Soeur... Mais j'ai sûrement été trop vague, je vais tout retravailler au final.

Encore merci d'être passé donner ton avis^^

Une Soeur...ha oui, forcément, quand on le sait, tout s'éclaircit. Enfin, il n'y a quand même pas grand-chose à changer, juste quelques bricoles, je pense.
Au plaisir de découvrir tes prochains textes.

"Contemplation":

Malgré quelques tentatives (ratées, donc. Sans parler de la "chute"...), ce texe reste très banal.
Mais l'exercice scolaire, d'imitation aurait-on dit dans les lycées du second empire, c'est plutôt réussi, avec une plume à l'aise, capable par endroits d'un joli toucher.